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Ordinateurs, télévisions, tablettes... Sommes-nous accros aux écrans?

Ordinateurs, télévisions, tablettes... Sommes-nous accros aux écrans?
La vie par écrans interposés? Une exaltation continument relancée. A chaque seconde, un échange, une information, une image, un récit, une enfilade de surprises. Soi, et le monde pour soi, grâce à un clic. Et voilà que des scientifiques viennent gâcher la fête. D’abord celle qui concerne l’écran le plus regardé: la télévision. Il désigne plus que tout son rôle néfaste dans l’environnement éducatif des enfants. Où sont les virtuoses du multitasking? Les thuriféraires de la Web culture peuvent-il se réjouir de cette vision à charge contre «l’ancêtre d’internet»? Ces accusations contre la société des écrans s’inscrivent dans la suite d’autres analyses récentes, par exemple, celles du journaliste Nicholas Carr (Internet rend-il bête? «Les profits de Google sont directement liés à la rapidité à laquelle les gens absorbent de l’information… Chacun de nos clics crée une rupture de notre concentration, une perturbation ascendante de notre attention…. Engourdissement Envie de décrocher?

Le cerveau à l'ère high-tech Parviendrez-vous à lire cet article d'une seule traite, sans vous interrompre pour regarder le message électronique qui vient d'arriver, le correspondant qui vient de vous biper, l'alerte d'information qui vient de clignoter ? Nicholas Carr, un essayiste américain, vient de publier en France un livre très remarqué aux Etats-Unis : "Internet rend-il bête ?" (1). Excellente question... à laquelle ce passionné des nouvelles technologies, qui n'a rien d'un rabat-joie nostalgique, répond oui, sans hésiter. L'acte d'accusation est lourd. A force d'être sollicité par Facebook, Google, Hotmail, Twitter et toutes ces tentations mouvantes que contiennent les écrans, le cerveau humain ne sait plus ou donner de la tête." La mémoire à long terme, en effet, obéit à une géométrie variable. Addiction. L'esprit humain, de surcroît, est bien différent du système d'exploitation d'un ordinateur. La solution à tout cela, dira-t-on, consiste juste à faire un usage modéré, raisonné d'Internet. 1.

Megaupload porte plainte contre Universal Music Emmanuel Gadaix, responsable de la division mobile du site Magaupload/Megavidéo était l’invité de France Info hier soir. Réagissant au conflit qui oppose sa plateforme au major du disque Universal, il a déclaré « Nous ne sommes pas un site pirate » Universal a mis le feu aux poudres en choisissant de retirer de Youtube un clip vidéo à la gloire de Mégaupload dans lequel apparaissent des artistes tels que Will.i.am, chanteur des Black Eyed Peas, Snoop Dogg, Kanye West, Chris Brown, Lil John, Alicia Keys, Kim Kardahshian ou Serena Williams. Ces artistes ont acceptés de figurer dans une publicité qui a pour objectif de redorer l’image des sites comme MégaUpload et MégaVidéo, souvents caractérisés comme des « voyous » par les lobbys américains. En réponse, Mégaupload qui revendique 1 milliard d’utilisateurs et 4% du trafic mondial de données annonce attaquer en justice la major Universal. Source : France Info

Combattre le streaming illégal, oui, mais comment ? Depuis quelques semaines, la lutte contre le « streaming » illégal fait l’unanimité à droite et chez les pros. Les solutions pour y parvenir, beaucoup moins. Explicateur. Le système Hadopi a été créé pour combattre le téléchargement illégal. Cette pratique – qui n’est pas « surveillée » par la Hadopi – consiste à regarder des films ou écouter de la musique sur Internet gratuitement et sans téléchargement. Le ministre de la culture Frédéric Mitterrand était mardi dernier l’invité de Pascale Clarke sur France Inter : « Je m’attaque au streaming ? Frédéric Mitterrand interrogé par Pascale Clarke, le 6 décembre. Oui, c’est compliqué, technique... Blocages mou, dur et déférencement Trois syndicats français du cinéma ont assigné en justice des fournisseurs d’accès à Internet (Free, Orange, SFR...) et des moteurs de recherche (Google, Yahoo ! L’action en justice ne vise même pas à faire fermer les sites en question : juste à empêcher les internautes d’y accéder. Blocage mou Blocage dur

Métro Montréal - Les jeunes enfants manquent d'encadrement lorsqu'ils utilisent l'internet Seul un parent québécois sur deux discute des dangers liés à l’utilisation d’internet avec son enfant, selon un sondage dévoilé mardi par la Fondation Marie-Vincent et Cyberaide. Pourtant, 75% des enfants de 3 à 12 ans utilisent l’internet, selon ce même sondage. René Morin, porte-parole du Centre canadien de protection de l’enfance, rappelle que les jeunes s’exposent à des risques chaque fois qu’ils se connectent. «Des délinquants sexuels peuvent s’immiscer dans les jeux en ligne, où l’on peut clavarder, pour établir un lien avec leurs victimes, par exemple.» Dans les moteurs de recherche, une requête mal orthographiée peut aussi mener l’enfant à du contenu à caractère sexuel. Le sondage révèle qu’un parent sur deux croit que son enfant a déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes sur l’internet, de façon volontaire ou non. Le sondage téléphonique sur l’usage d’internet chez les enfants de 3 à 12 ans comporte une marge d’erreur de 3,1%.

Smartphone : les ados plus prudents que les adultes Les adolescents sont plus prudents que les adultes lorsqu'il s'agit de stocker des données personnelles sur leur smartphone, révèle mardi une étude de la Cnil , qui donne dix conseils pour une meilleure maîtrise de cette nouvelle génération de téléphones portables. «On dit toujours qu'il y a un risque pour les enfants, mais là, c'est plus nuancé, il s'avère qu'ils ont un usage (de leurs portables) plus averti que leurs parents» , a commenté devant la presse Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). Selon cette étude, réalisée par l'institut Médiamétrie pour le compte de la Commission, 82% des 15-17 ans estiment «gênant d'enregistrer ses codes secrets» (contre 76% en moyenne) et seulement 13% d'entre eux n'ont aucun verrouillage sur leur appareil (27% en moyenne). Alors, les 15-17 ans, «un exemple à suivre?» (Source AFP) Lire les réactions à cet article.

Niveau informatique des digital natives : la fin d’un mythe La génération Y (ou digital native ) dispose d’une compétence incontestable aux yeux de beaucoup d’observateurs : la maîtrise complète des outils informatiques, du web et des smartphones. La presse est d’ailleurs l’un des relais importants de cette théorie. Pourtant une analyse sérieuse du phénomène amène le mythe à s’effondrer très rapidement. Le grand quiproquo La naissance d’un mythe des compétences informatiques de cette génération tient bien sûr à des observations bien réelles. Chacun de nous voit les adolescents branchés en permanence sur Facebook, des enfants de 3 ou 4 ans naviguer intuitivement sur un iPhone, des jeunes pirates mettre à mal la sécurité de firmes internationales… Cette génération apparaît donc comme des surdoués de l’informatique. Il y a cependant un grand malentendu dans ce raisonnement : la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. Pour éclairer mon propos, prenons l’exemple d’un produit nettement plus simple : la voiture.

La « massification » du web transforme les relations sociales Internet du futur © Inria / Photo S. Tetu - La Company Nouveaux enjeux, nouveaux défis, nouveaux risques, nouvelles craintes… L’Internet de demain, dont la recherche trace dès aujourd’hui les contours, est au cœur de nombreux débats concernant notamment la protection de la vie privée. Débat entre Anne-Marie Kermarrec, Directrice de recherche et Dominique Cardon, Sociologue. Quelles sont les grandes échéances de l’internet de demain ? Anne-Marie Kermarrec : Au cours des années, l’utilisation du réseau Internet a considérablement évolué. Dominique Cardon : Cette « massification » du Web transforme aussi les sociabilités. Anne-Marie Kermarrec : Ces transformations n’ont pas été prévues, ni anticipées. Dominique Cardon : Le risque n’est pas limité à la seule prise de contrôle par des entreprises. Anne-Marie Kermarrec : Ce constat est à l’origine des travaux que nous menons au sein d'Inria. Passer d’un Internet piloté par des sociétés à un Internet centré sur l’utilisateur.

La sécurité des entreprises mise en danger par les jeunes Il ressort de l’étude que les employeurs ont des raisons de s'inquiéter du comportement de leurs juniors dont le style de vie imbrique intimement les activités privées et professionnelles. Adeptes, voire addicts à l’internet, les jeunes utilisent les dispositifs mobiles de leurs employeurs pour utiliser le réseau sans fil des voisins, les réseaux Wi-Fi gratuits des cafés, ou encore des appareils appartenant à d’autres personnes pour accéder aux données d’entreprise. 36% des travailleurs disent ne pas respecter les règles de leur département informatique et, dans le même temps, les recruteurs et les départements informatiques devront utiliser des conditions de travail de plus en plus flexibles dans l'espoir que les talents de la prochaine génération génèrent un avantage concurrentiel. C’est ce que l’on appelle le NWOW (New World of Work), basé sur la consummérisation informatique (l’usage des appareils privés des employés) et l’intégration du temps de travail et du temps de loisirs.

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