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Parov Stelar - The Mojo Radio Gang

Parov Stelar - The Mojo Radio Gang

http://www.youtube.com/watch?v=-BsAl6HVZ-Y

L’irrésistible ascension de l’électro swing Certains artistes comme Alice Francis et Parov Stelar ont osé l’improbable : marier l’esthétique des années folles et la musique électronique d’aujourd’hui. Le résultat ? L’électro swing. Se cuisiner un statut.Des noms aux verbes dans l’étude de la stratification sociale Jack Katz Résumé En mangeant, nous cuisinons tous, en combinant de façon personnelle les ingrédients à notre disposition pour aiguiser notre appétit ; mais peu d'entre-nous sont appelés cuisiniers. Yes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Yes En 2002, Rick Wakeman revint au groupe pour la tournée célébrant ses 35 ans d'existence. Le tour s'acheva en 2004, en partie à cause de problèmes de santé d'Anderson et Wakeman. Après une pause, Yes reprit le chemin des studios avec le claviériste Oliver Wakeman et le chanteur Benoît David[2],[3]. Après la sortie de Fly from Here (2011), qui vit le retour de Downes aux claviers, le groupe recruta Jon Davison, chanteur de Glass Hammer, afin de remplacer David.

Le designer : ingénieur et artiste, suffisamment des deux… Chargé de la Mission Design par les ministres de l'Économie, de la Culture et de l'Éducation nationale, Alain Cadix expose chaque semaine pour L'Usine Nouvelle sa vision des mutations de l'industrie par le prisme du design et de l'innovation. Cette semaine, il nous explique en quoi le designer, suffisamment ingénieur et suffisamment artiste, peut devenir une figure régénératrice de la société contemporaine. Lorsque j’arrivai à la direction d’une grande école de design industriel, on me persuada que le designer n’était "ni ingénieur ni artiste" et qu’il se situait ailleurs. Peu de temps après je m’étais convaincu qu’il devait être "et ingénieur et artiste" ; au moins suffisamment des deux…

5000 films tombés dans le domaine public à télécharger gratuitement : golem Dès qu’une œuvre tombe dans le domaine public, elle peut être « uploadée » sur le site archive.org. La liste ne peut donc que s’agrandir. Pour les cinéphiles, c’est une véritable caverne d’Ali Baba. On peut déjà y trouver près de 5000 long-métrages, regardables en streaming, mais également disponibles en téléchargement (très souvent de haute qualité). Films noirs, films d’horreur, cinéma Bis, screwball comedy, le choix est vaste.

Le design industriel est mort En préparation de la journée Design au Proto204 du 25 septembre, nous interrogeons des acteurs du design. Dominique Sciamma (directeur de l’école de design Strate College) nous donne son point de vue, autour des questions d’enseignement du design et de lien avec la recherche. Vous dirigez un établissement chargé de former de futurs designers, quels sont les enjeux associés à l’enseignement du design ? Les enjeux de l’enseignement du design sont de former des femmes et des hommes capables d’apporter de la simplicité, de la justesse et de la beauté dans un monde de plus en plus complexe. Cette question doit de notre point de vue être reliée, sinon confondue avec celle de la question des évolutions de l’enseignement du design.

Effets de lieu et processus de disqualification sociale 1La problématique de l’effet de lieu fait l’objet d’un chapitre entier dans le premier manifeste de la Géographie sociale [Frémont, Chevalier, Hérin, Renard, 1984]. Dans l’introduction du chapitre, les auteurs posent successivement trois questions : « Dans l’organisation des sociétés humaines, existe-t-il un ‘effet de lieu’ ? Ou, si l’on préfère, l’espace intervient-il comme facteur explicatif et isolable de l’organisation sociale ? Le Grand Paris, une question de taille Bruno Marzloff, sociologue et directeur du groupe Chronos, auteur de Sans bureau fixe, sera au Forum «A nous le Grand Paris !» samedi 29 novembre prochain. Il participera au débat «Un métro nommé futur», de 16h à 17h30. Les illusions de l’innovation inutile Par Cyrille Frank, auteur de Mediaculture. Lunettes en réalité augmentée, impression 3D, internet des objets… les pontes de la Silicon Valley et les vendeurs de pelles ne jurent que par ces innovations incroyables qui vont changer nos vies, ils en sont sûrs. C’est oublier un peu vite les freins socio-culturels. Chaque jour apporte son lot d’inventions et d’innovations technologiques relayées par une presse technologique enthousiaste et une multitude de “geeks” plus ou moins béats d’admiration. Les nouveautés de la Silicon Valley, qui abrite le noyau de start-up le plus dynamique au monde, est relayé par une multitude de sites et blogs américains qui promeuvent cette idée de “révolution technologique permanente”. Pourtant, régulièrement depuis 15 ans, la Silicon Valley se plante.

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