Xerfi Telos | Agence Intellectuelle [robin-woodard] Accueil du site > Dossiers, alternatives, politiques et réflexions > Economiques De la domination allemande (ce qu’elle est, et ce qu’elle n’est pas) (Economiques) par Frédéric Lordon samedi 6 juillet 2013 L’Allemagne prendra-t-elle bientôt conscience du ressentiment croissant dont elle est l’objet – non pas seulement dans les pays du Sud, dont, par une sorte de « racisme économique », elle se moque comme d’une guigne, mais au cœur même de l’Europe, et notamment en France ? La régulation bancaire au pistolet à bouchon (Economiques) mardi 19 février 2013 par anik Ce sera sans doute la perle de la crise. Compétitivité = travailleurs piégés (Economiques) De Jean-Marie Harribey lundi 12 novembre 2012 par anik Commençons par une question bleue : dans le prix d’une marchandise, n’y a-t-il que le coût du travail de compté ? Question blanche : les profits sont-ils inclus dans les prix ? Refusez le budget militaire 2013 (Economiques) Du Mouvement de la Paix mercredi 7 novembre 2012 par anik
Fondation Jean-Jaurès Crottaz Je vous ai produit plusieurs fois des vidéos avec comme intervenant Nigel Farage. Ce dernier avait été remis à l’ordre par la commission européenne qui lui avait infligé une amende parce qu’il s’était plaint que Monsieur Van Rompuy n’avait pas été élu et qu’on ne savait pas d’où il débarquait et surtout Nigel Farage l’avait traité de serpillière humide. Aujourd’hui avec ce qui se passe dans la zone euro et sur l’euro lui-même, plus personne ne semble oser lui tenir tête, surtout pas M. Baroso qui se fait traiter de fantôme…. Pour faire court, voici la teneur (pour ceux qui ne comprennent pas très bien l’anglais (et je n’ai pas la prétention d’être un génial traducteur)) de l’intervention de Monsieur Farage. Monsieur Van Rompuy vous êtes en place depuis 1 an et pendant cette période l’édifice s’effritePendant ce chaos la monnaie manque, je devrais vous remercierregardez les visages de cette assemblée. Le marché est en train de s’occuper des pays cité par M.Farage.
Accueil JP CHEVALLIER CERI Un texte de Bayram Balci et Nicolas Monceau Au pouvoir depuis bientôt vingt ans, le président turc Recep Tayyip Erdoğan est donné perdant à la prochaine présidentielle prévue en juin 2023 par pratiquement tous les instituts d’opinion, et ce quel que soit son rival : le leader du Parti républicain du peuple (CHP), Kemal Kılıçdaroğlu, le maire d’Istanbul, Ekrem Imamoğlu, ou le maire d’Ankara, Mansur Yavaş. Cette élection présidentielle est roganisée de façon concomitante avec avec un scrutin législatif mais ce dernier est d’importance moindre. En effet, dans le nouveau système politique turc, le président de la République possède des pouvoirs considérables qui lui permettent de contourner le parlement en cas de désaccord, notamment par l’adoption de décrets-lois. En d’autres termes, même en cas de « cohabitation à la turque », un parlement d’une majorité politique différente de celle du président ne pourrait empêcher l’action de ce dernier, seulement quelque peu la freiner.
Pro-AT