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Communication, transmission, un couple orageux - Yves Jeanneret, article Communication

Communication, transmission, un couple orageux - Yves Jeanneret, article Communication
Le schéma linéaire « standard » de la communication, qui privilégie la transmission directe d'information entre un émetteur actif et un récepteur passif, n'a plus cours. La communication comme la transmission sont aujourd'hui conçues comme interactives, pleines d'obstacles et de contraintes médiatiques. Dans le sens commun, communiquer c'est transmettre de l'information, c'est diffuser des idées ou des contenus culturels. Il s'agit là de la transposition spontanée d'un modèle que la linguistique et les sciences de la communication ont formalisé pour tous les processus de communication : une ligne unit deux pôles, l'émetteur et le récepteur, et une entité diversement nommée (signe, signal, message) y subit divers traitements. On trouve une telle conception dite « transitive » dès le Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de Saussure (1857-1913). La communication comme forme active de la culture Le modèle de C. L'examen réel des médiations Yves Jeanneret

Evaluating qualitative research -- Stiles 2 (4): 99 -- Evidence-Based Mental Health William B Stiles, PhD + Author Affiliations Please address correspondence to William B. Stiles, Department of Psychology, Miami University, Oxford, OH 45056, USA. Email stileswb@muohio.edu. Qualitative research, like all scientific research, consists of comparing ideas with observations. Many qualitative investigators explicitly reject the possibility of absolute objectivity and truth. Qualitative research differs from traditional quantitative research on human experience in several ways. Les 10 textes essentiels de l’histoire de la communication et de l’information Réfléchir à notre monde de communication, ce n’est pas picorer en permanence sur la Toile, écouter les analyses d’experts en communication ( qui se trompent souvent ), ou suivre les liens qu’on vous transmet ( par tweeter, facebook, ..). Généralement, nous restons frustrés. Par le buzz, qui s’éteindra aussi vite. Par la pauvreté de l’information. Faites votre shopping dans mon magasin. Les étudiants en sciences de l’information et de la communication peuvent aussi être perdus. Car la communication n’est pas une science, mais une croisée de chemins de plusieurs disciplines. C’est ce qui en fait sa richesse. Dans un monde aussi imprégné que l’information, sous toutes ses formes, c’est un métier passionnant que de s’intéresser à ce domaine. Voilà pourquoi se nourrit ici ces ébullitions. Voici les textes essentiels qui permettent à chacun de prendre du recul, d’avoir la pertinence dans l’analyse de notre monde réel ou virtuel. Bateson, vers une écologie de l’esprit. Mais il y en a un onzième.

La culture de jeunesse et la transmédiation | Les dits d'Oldwishes « [La culture de jeunesse est] fondée sur une série de signes qui dépassent largement les frontières propres à chaque médias : les œuvres mettent en valeur leur cohésion culturelle, en empruntant constamment aux thèmes et aux stéréotypes des autres médias[1] ». ———- Au XXIème siècle, il devient difficile d’envisager l’album et par extension la littérature de jeunesse sans les inscrire dans un environnement, des valeurs et des références qui leur sont propres. De ce fait, l’intertextualité est en train de devenir une caractéristique majeure de cette littérature. Mathieu Letourneux va plus loin en évoquant l’idée d’une transmédiation[2]. Bien que non spécifique à la jeunesse, la transmédiation est parfaitement mise en valeur dans ce contexte, aussi bien au niveau de la quantité qu’au niveau de la qualité. Elle s’inscrit, également, dans la culture de masse. « Par « culture médiatique », on peut entendre au moins trois choses. Un support et ses contraintes Une culture propre à un média

Psychologue - Thérapie de couple - Québec La thérapie de couple avec un psychologue La vie de couple peut assurément être une source d’énergie extraordinaire et contribuer à l'épanouissement de chaque personne mais, si elle n’est pas gardée vivante au quotidien, elle peut aussi devenir difficile à supporter et même nuire au bien-être et à l'équilibre personnel. Est-ce que la relation amoureuse, qui a alimenté la vie de couple au départ, s’enrichit ou s’appauvrit des différentes étapes de la vie à deux? Il arrive effectivement, qu’à certains moments, la vie de couple soit lourde à vivre pour différentes raisons comme, par exemple, un manque ou une absence de communication, un manque d’engagement, un déséquilibre dans le partage des responsabilités, une absence d’activités communes, des mésententes au sujet de l’éducation des enfants, des conflits de valeurs, une vie sexuelle peu satisfaisante, l’infidélité, la distance, etc. Thérapie de couple Psychologue pour thérapie de couple : Louis Mignault Le tarif horaire est de 130$. 1. 2.

Enseigner l'informatique, enseigner la culture informationnelle Enseigner l'informatique, enseigner la culture informationnelle Éric Delamotte Deux grandes familles scientifiques sont concernées par la recherche sur les TIC et la communication numérique. De plus, à l'intérieur de chacune des deux grandes familles, la spécialisation des savoirs a souvent cloisonné les chercheur(e)s qui travaillent sur la didactique. Ce dialogue est indispensable pour comprendre les enjeux de l'éducation à l'informatique (dont ceux relatifs aux finalités d'une « éducation à »). Le risque est évident de voir se développer et circuler des savoirs opportunistes qui ne correspondent ni à des concepts organisateurs, ni à une véritable capacité de prise sur le réel, mais à des jeux de reconnaissance et/ou de domination. Savoirs et pratiques sociales de références C'est en 1982, que Jean-Louis Martinand a introduit le concept de pratiques sociales de référence au sein de la didactique des sciences et de la technologie. La re-documentarisation L'usage des technologies

Presse ou médias, littérature ou culture médiatique ? Question de concepts 1 Bourdieu (Pierre), « Secouez un peu vos structures ! », dans Le Symbolique et le Social. La récepti (...) 1Pierre Bourdieu aimait à rappeler, après Marx, que les textes ne voyagent pas avec leur contexte1. Façon de souligner qu’il convient, en toute rigueur, de les lire sous le rapport d’ajustement relatif qu’ils entretiennent avec leur champ d’élaboration, qui est également à bien des égards leur aire d’intelligibilité et de pertinence. Invitation aussi à tenir compte des effets le plus souvent réducteurs, mais quelquefois féconds, exercés sur eux par leur exportation en d’autres champs ou d’autres états historiques d’un champ donné. 3Parler de médias et de culture médiatique pour aborder presse et littérature au xixe siècle – même sous l’angle de l’environnement technique et culturel dans lequel celles-ci se trouvent enveloppées l’une et l’autre – demande également un minimum de prudence. 10 Chateaubriand (François-René de), Mémoires d'outre-tombe, XXXII, 8, éd.

‘It wouldn’t be me if I didn’t have bipolar disorder’: managing the shift in self-identity with bipolar disorder - Inder - 2011 - Journal of Nursing and Healthcare of Chronic Illness Abstract inder m, crowe m, moor s, carter j, luty s & joyce p (2011) Journal of Nursing and Healthcare of Chronic Illness 3, 427–435 ‘It wouldn’t be me if I didn’t have bipolar disorder’: managing the shift in self-identity with bipolar disorder Aims and objectives. Method. Results. Conclusions. Relevance to clinical practice. Introduction Bipolar disorder is a chronic illness that significantly impacts on an individual’s life. As with other chronic illnesses, there are challenges faced by those with bipolar disorder in coming to terms with the diagnosis and the subsequent adjustment to how one perceives oneself. Charmaz (1995) describes chronic illness as an intrusion requiring an alteration and reconsideration of an individual’s identity. In bipolar disorder, there are particular aspects of the experience of the illness that have been highlighted as having a significant impact on an individual’s sense of self and identity. Discussion Strengths and limitations

Médias, culture et cognition : entretien avec le philosophe Pierre Lévy Entretien avec Pierre Lévy (découvrez également son site Internet, ainsi que son compte Twitter). Retranscription intégrale d'une heure d'échanges avec le philosophe. « Pierre Lévy est un philosophe qui a consacré sa vie professionnelle à la compréhension des implications culturelles et cognitives des technologies numériques, à promouvoir leurs meilleurs usages sociaux et à étudier le phénomène de l’intelligence collective humaine. Il a publié sur ces sujets une douzaine de livres qui ont été traduits dans plus de douze langues et qui sont étudiés dans de nombreuses universités de par le monde. Il enseigne aujourd’hui au département de communication de l’Université d’Ottawa (Canada) où il est titulaire d’une Chaire de Recherche en Intelligence Collective » (Source : le site de l'IEML). Pierre Lévy est entre autres l’auteur des ouvrages suivants : Les technologies de l’intelligence (1990), L’intelligence collective (1994), Qu’est-ce que le virtuel ? Tout cela, on l’a déjà.

Média Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Media. Le terme média désigne tout moyen de diffusion : ou direct (comme le langage, l'écriture, l'affiche) ;ou par un dispositif technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, Internet, la presse,. permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d'un message), soit de façon multi-latérale par un échange d'informations. Au sein de cet ensemble, l'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise un sous-ensemble important : les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complétée dans de nombreux cas par une demande de distraction. Dans les pays où les médias se sont largement développés, ces médias sont majoritairement détenus par de grands groupes industriels dont les dirigeants sont proches du pouvoir politique. Étymologie[modifier | modifier le code] par l'émetteur lui-même.

The real secrets to a longer life Most people who live to old age do so not because they have beaten cancer, heart disease, depression or diabetes. Instead, the long-lived avoid serious ailments altogether through a series of steps that often rely on long-lasting, meaningful connections with others, says University of California, Riverside, psychologist Howard S. Friedman, PhD, co-author with Leslie Martin, PhD, of the 2011 book "The Longevity Project." The book is a compilation of findings from their work on an eight-decade research project of the same name examining the longevity of more than 1,500 children first studied by psychologist Lewis Terman, PhD, in 1921. The Monitor spoke to Friedman about some of the most controversial of his findings — including the idea that stress isn't necessarily all that bad for us. Why is it so important for psychologists to be involved in longevity work? What drew you to Terman's study? Then one day it struck me: Build upon the Terman data, extending a study that began in 1921.

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