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Les légumes anciens interdits à la vente - Ariège Ils égayent nos marchés avec leurs couleurs années « 70 » et leurs formes improbables, à mi-chemin entre des mini Barbapapa amusantes et des sex toys turgescents. Sauf que… vendre de vieux légumes ou légumes anciens peut nous mener tout droit au panier à salade. À tout le moins au regard de la loi. En effet, le commerce de fruits, légumes et semences de plantes potagères est soumis à une réglementation des plus strictes. Les maraîchers n'ont pas le droit d'acheter des graines de vieux légumes, a fortiori de les vendre ni même de les échanger. Une législation sous fond de rentabilité, que certaines associations et autres défenseurs de la biodiversité dénoncent avec plus ou moins de virulence. Denis, lui, est un petit producteur ariégeois qui ne laisserait son espace de liberté en jachère pour rien au monde.

La Trame verte et bleue La Trame verte et bleue est une mesure phare du Grenelle Environnement qui porte l’ambition d’enrayer le déclin de la biodiversité au travers de la préservation et de la restauration des continuités écologiques. La Trame verte et bleue est un outil d’aménagement du territoire qui vise à (re)constituer un réseau écologique cohérent, à l’échelle du territoire national, pour permettre aux espèces animales et végétales, de circuler, de s’alimenter, de se reproduire, de se reposer... En d’autres termes, d’assurer leur survie, et permettre aux écosystèmes de continuer à rendre à l’homme leurs services. Nature en ville : la trame verte & bleue de... par developpement-durable

Economie des écosystèmes et de la biodiversité TEEB | Planetemploi, emplois et stages environnement TEEB : L’économie des écosystèmes et de la biodiversité dans les affaires et les entreprises « The Economics of Ecosystems and Biodiversity in Business and Enterprises » Le rapport de TEEB (The Economics of Ecosystems and Biodiversity) vient de paraitre en décembre 2011. Intitulé » (« L’économie des écosystèmes et de la biodiversité dans les affaires et les entreprises« ). L’Économie des écosystèmes et de la biodiversité (TEEB) est une étude mondiale lancée par le G8 et cinq grands pays en voie de développement qui est axée sur « le bienfait économique mondial de la diversité biologique, les coûts de la perte de biodiversité et l’échec à prendre des mesures de protection par rapport aux coûts de conservation efficace ». Le présent rapport offre un résumé à l’attention des entreprises, accompagné d’exemples tirés de tout un éventail de sociétés et de secteurs, et pose les questions suivantes : • Quels risques et opportunités le changement écologique présente-t-il pour les entreprises ?

Les Nations Unies lancent la Décennie de la Biodiversité Les Nations Unies ont lancé de , et le Secrétaire Général Ban Ki-moon a exhorté l’humanité à vivre en harmonie avec la nature à et préserver et gérer correctement ses richesses pour la prospérité des générations actuelles et futures, d'après un communiqué des Nations Unies. « Garantir le développement vraiment durable pour notre famille humaine croissante dépend de la diversité biologique et des biens et services essentiels qu’elle offre » a déclaré Ban Ki-moon pour l’évènement de lancement de de « Tandis que les pauvres sont les premiers et les plus affectés par la perte de la biodiversité, l’ensemble de a société a quelque à perdre de cette extinction massive. Il y a aussi les coûts d’opportunités : quels remèdes et quelles autres découvertes utiles ne découvrirons-nous jamais parce qu’un habitat a été détruit pour toujours, ou parce que la terre est polluée ? » a-t-il indiqué. Le principal objectif est de développer la biodiversité à différents niveaux.

La biodiversité ultra-marine en danger La biodiversité disparaît 60 fois plus vite en outre-mer qu’en métropole Si les DOM-TOM ne représentent que 18 % du territoire français, 85 % de la biodiversité de notre pays est située dans ces territoires et elle disparaît 60 fois plus vite qu’en métropole. En Guyane tout d’abord, l’orpaillage met à mal les forêts. A Saint-Pierre et Miquelon, c’est surtout l’introduction du cerf de Virginie pour la chasse en 1953 qui menace l’équilibre de la forêt boréale et fait pression sur la flore. Pour développer l’île de Mayotte, devenue récemment un département français, les élus ont voté à la majorité la construction d’une piste d’aéroport de 2,6 kilomètres de long. En Martinique, certaines terres agricoles sont dédiées aux panneaux solaires. D’une manière générale, les territoires ultra-marins souffrent du fort développement de l’urbanisme et du tourisme, qui rend la gestion des déchets et de l’épuration plus compliquée. Crédits photos : flickr - Adrien G / Cedric Cottaz

Pesticides : une différence bien réelle entre les aliments bio et non bio Générations Futures a comparé les teneurs en résidus de pesticides des fruits, légumes et céréales provenant de l'alimentation conventionnelle avec ceux issus de l'agriculture biologique. Résultat : 223 fois moins de pesticides dans le bio ! Après avoir réalisé une enquête sur la présence de substances chimiques dans les aliments traditionnels fin 2010, l'association Générations Futures a souhaité cette année renouveler l'expérience avec des produits issus de l'agriculture biologique, et ce, en se concentrant uniquement sur les résidus de pesticides. Cette étude répond ainsi aux interrogations de certains consommateurs qui se demandent s'il existe réellement une différence entre des aliments bio et non bio. En décembre 2010, l'analyse des aliments non bio composant les repas types d'une journée d'un enfant de dix ans avait révélé la présence d'un certain nombre de substances. Caractériser la présence de pesticides dans l'alimentation bio Des résultats indiscutables en faveur du bio

Le Grenelle de l’environnement fête son premier anniversaire ! - Changer de gouvernance La mise en œuvre de Grenelle de l’environnement a été l’occasion pour de nombreux acteurs qui, d’ordinaire ne se croisent pas, de se rencontrer et d’échanger. Le mode de réflexion a été plutôt original puisque tous les débats ont intégré les représentants de cinq collèges : représentants de l'État, partenaires sociaux, organisations syndicales et patronales, associations de la société civile et collectivités territoriales. Sur certains sujets, des consensus ont ainsi pu être dégagés assez facilement et cette « gouvernance à 5 » a séduit à tel point que de nombreuses mesures visent à l’étendre à la société toute entière. Plusieurs articles du projet de loi visent à répondre à ces attentes : Reconnaissance des ONG Le projet de loi Grenelle 1 prévoit de mieux intégrer les associations et les fondations œuvrant pour l’environnement dans les lieux où sont recueillis les avis en amont de la prise de décision. Mobiliser les collectivités Transparence et indépendances de l’information

Natura 2000 Natura 2000 Le réseau Natura 2000 est un ensemble de sites naturels européens, terrestres et marins, identifiés pour la rareté ou la fragilité des espèces sauvages, animales ou végétales, et de leurs habitats. Natura 2000 concilie préservation de la nature et préoccupations socio-économiques. Natura 2000 en quelques chiffres Natura 2000 en Europe Les sites Natura 2000 recouvrent le territoire de l’Union européenne à hauteur de 18,40% 5 491 sites classés en tant que zone de protection spéciale pour les oiseaux (ZPS) 22 594 sites classés en tant que zones spéciales de conservation (ZSC) 27 308 sites (terrestres et/ou marins) 26 410 sites terrestres soit 787 767 km2 2960 sites marins soit 251 565 km2 Directive Habitat-Faune-Flore Types d’habitats naturels : 233 Espèce animale : 1 563 Espèces végétales : 966Directive oiseaux Espèce oiseaux : 617 Source baromètre N 2000/CE – décembre 2014 Natura 2000 en France 1 758 Sites terrestres en France Directive Habitat, faune, flore Directive oiseaux

Un biocarburant directement produit par la photosynthèse En modifiant astucieusement les rouages de la photosynthèse réalisée par des bactéries, des chercheurs sont parvenus à leur faire fabriquer de l'hydrogène gazeux. De quoi transformer ces micro-organismes en usines à fabriquer du biocarburant utilisable dans les piles à combustible. Pour produire le dihydrohène (H2) utilisable dans les piles à combustible génératrices d'électricité, à qui on promet de nombreuses utilisations, comme la voiture électrique, les scientifiques explorent toutes les voies possibles. En voici une nouvelle, proposée par des biochimistesbiochimistes et consistant à détourner la photosynthèse réalisées par des bactériesbactéries. Utilisée par les plantes, des cyanobactérie et des bactéries photosynthétiques, la photosynthèse produit de l'énergieénergie (sous forme de glucidesglucides) à partir d'eau, de CO2 et de l'énergie lumineuse du soleilsoleil. Les chercheurs ne se sont pas arrêtés là. Le principe serait adaptable à d'autres enzymes et à d'autres bactéries.

L'"homme de la forêt" victime de l'huile de palme LE MONDE | • Mis à jour le | Par Catherine Vincent Le point commun entre les orangs-outans d'Indonésie et le FC Barcelone ? Carles Puyol. Il y a urgence. A cette menace s'ajoute celle de la chasse, devenue d'autant plus active que les conflits entre l'homme et le grand singe se multiplient. Dirigée par le biologiste Erik Meijaard, de l'Université du Queensland (Brisbane, Australie), cette étude a consisté à interroger, entre avril 2008 et septembre 2009, près de 7 000 personnes vivant dans 687 villages. Les motifs de ces abattages ? Il est malheureusement probable que les tensions entre les Indonésiens et les grands singes arboricoles ne s'apaiseront pas de sitôt. Le 21 novembre, le Jakarta Globe rapportait ainsi l'arrestation, dans le Kalimantan oriental, de deux hommes qui ont reconnu avoir tué plus d'une vingtaine d'orangs-outans en échange de récompenses offertes par des propriétaires de plantations de palmiers à huile.

Qui consomme vraiment l’eau de la planète Plus d’un cinquième de l’eau consommée sur la planète est englouti par des produits destinés à l’exportation. Et en important de la sorte des biens intensifs en eau, les pays développés augmentent les pressions sur des zones fragiles souvent dépourvues de politiques de conservation de cette ressource rare. Voilà les conclusions d’une étude, publiée lundi 13 février dans les Proceedings of the national academy of sciences, qui modélise les flux d’eau autour du globe et met en évidence les disparités dans son utilisation. A partir d’indicateurs commerciaux, de données démographiques et de statistiques sur l’usage de l’eau, souterraine, de surface mais aussi de pluie et celle recyclée, l’équipe de recherche de l’université de Twente aux Pays-Bas a quantifié et cartographié l’empreinte mondiale sur l’eau à une échelle géographique très fine. Résultat : entre 1996 et 2005, 9 087 milliards de mètres cubes d’eau ont été consommés chaque année à travers la planète. Audrey Garric

Vers une pêche durable ? La viabilité du secteur sur le long terme dépend directement de la capacité des stocks de poisson à se rétablir. La consommation moyenne mondiale de poisson par habitant dans le monde s’élève à environ 17 kg par an. Ce chiffre a plus que doublé depuis 1950. En France, on consomme le double de cette moyenne. Avec 34 kg de produits aquatiques mangés par an et par habitant (24 kg de poissons et 10 kg de fruits de mer), la consommation française est en hausse constante depuis quelques années. Pour un tiers de l’humanité, la mer constitue la principale source de protéines animales. Petit retour en arrière… Selon la FAO, la production mondiale des pêcheries était de 17,5 millions de tonnes (Mt) en 1950. Si l’aquaculture était insignifiante en 1950, elle fournit de nos jours plus de 50 Mt de poissons. Les pays en développement jouent un rôle majeur dans l’industrie de la pêche. Qu’entend-on par pêche durable ? Combien ça coûte et combien de personnes sont concernées ? Auteur : Matthieu Combe

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