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Comprendre la dette

Comprendre la dette

Aidons l'argent à revenir des Paradis fiscaux Déflation "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de déflation Etymologie : du latin deflare, souffler sur, enlever en soufflant, mépriser, faire fi de. En économie, la déflation est un phénomène de baisse générale des prix constatée sur une période suffisamment longue de plusieurs trimestres. Elle est la conséquence d'une demande globale qui ne suffit pas à absorber la quantité de biens et services produits par l'économie. Les périodes de déflation sont peu fréquentes contrairement à l'inflation qui est le phénomène opposé. Le terme déflation désigne également les mesures prises par les gouvernements pour lutter contre l'inflation et le déséquilibre du commerce extérieur par la restriction de la demande et réduction de la masse monétaire en circulation : encadrement du crédit, baisse des dépenses publiques, augmentation des impôts. La déflation peut être sectorielle quand elle affecte un secteur particulier de l'économie Exemple de périodes de déflation :

The Most Addictive Drugs in the World Many people think that heroin is the most addictive drug in the world. The truth is, that although heroin is one of the most dangerous drugs in the world, it is NOT the most addictive. You may be surprised to learn that some of the drugs the experts have found to be most addictive are actually legal. The most addictive drugs Nicotine. Caffeine. Heroin. Cocaine. Alcohol. For the most part, those with alcohol and drug addiction are unlikely to admit, on their own, that they have a problem. Obviously, some of the substances listed above are more dangerous than others. At Michael’s House, we treat individuals who have seen their life take a wrong turn as a result of drug addiction. For addiction treatment that gets real results, contact Michael’s House today.

Selon une étude de l’EPFZ, 147 multinationales contrôlent l’économie mondiale. Interview du professeur Mauro Baranzini 147 multinationales contrôleraient pratiquement l'économie globale. C’est du moins la conclusion d’une étude suisse unique en son genre. Pour mettre un frein aux dérives de la concentration du pouvoir, de nouvelles institutions supranationales sont nécessaires, plaide l'économiste Mauro Baranzini. Les chercheurs de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) ont disséqué le réseau des connexions reliant les sociétés actives au niveau planétaire. Ces théoriciens spécialisés en systèmes complexes estiment qu'un groupe extrêmement restreint de sociétés contrôle environ 40% du chiffre d'affaires de plus de 40'000 entreprises actives sur les cinq continents. swissinfo.ch: Cette concentration du pouvoir est-elle négative en soi ou peut-elle au contraire avoir des côtés positifs ? Mauro Baranzini: Il y a certainement des avantages. swissinfo.ch: Lesquels ? M. swissinfo.ch: UBS et Credit Suisse font partie de cette «super entité» identifiée par l'étude de l'EPFZ. M. M. M. M. M.

Les gagnants et les perdants de la réforme de l'AP-HP La lourde restructuration de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a élargi les responsabilités de ses directeurs. Mais de nombreux cadres supérieurs se retrouvent aujourd’hui sur la touche. Pouvoirs renforcés, responsabilités supplémentaires, autonomie accrue… En imposant une gouvernance commune aux hôpitaux d’un même territoire de santé avec de nouveaux “groupes hospitaliers”, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a promu une poignée de directeurs opérationnels et élargi sensiblement leur champ d’intervention. Une petite révolution qui place ces “superdirecteurs” en première ligne pour porter la restructuration sans précédent de l’institution. 123 millions d'euros de déficit Programmé dans le plan stratégique 2010-2014 de l’Assistance publique, le rassemblement des 37 hôpitaux publics franciliens en 12 groupes hospitaliers est effectif depuis janvier 2011. Mais s’est dressée une opposition elle aussi renforcée. Rétrogradés Nouveau plan de carrière Sylvain Henry

Plus de 8 millions de pauvres en France Conséquence de la crise, une étude de l'Insee note une augmentation de la pauvreté en 2009. 1 Français sur 7 vivait avec moins de 954 euros par mois en 2009. C'est ce qui ressort d'une étude de l' Insee publiée mardi, d'après laquelle l'impact de la crise économique sur l'économie et le marché du travail en France s'est traduit en 2009 par le ralentissement de la progression du niveau de vie et par la remontée du taux de pauvreté. D'après l'Institut de la statistique, la France métropolitaine comptait 8,2 millions de pauvres en 2009, soit 13,5% de la population. C'est 400.000 pauvres de plus qu'en 2008. Des statistiques jugées "en-dessous" de la réalité de 2011 par le Secours populaire français . Les plus modestes trinquent Toutefois, si la crise a "touché tous les ménages, elle a davantage affecté les plus modestes", constate Jean-Louis Lhéritier. Les inégalités progressent

Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ? La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. Cela est-il donc si nouveau ? Dans les temps anciens, vous vous donniez rendez-vous quand le soleil se trouvait au zénith. Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ? En quelque sorte si. Le progrès et le rythme auquel nous le construisons nous détruit-il nécessairement ? Le développement techno-économique accélère tous les processus de production de biens et de richesses, qui eux-mêmes accélèrent la dégradation de la biosphère et la pollution généralisée. Pourquoi cherchons-nous systématiquement une utilité au temps qui passe ? Prenez l’exemple du déjeuner. Pourquoi ? A qui la faute ? Oui ! Voilà. Non, non.

15 comptes à suivre sur Twitter quand on démarre - William Rejault sur LePost.fr (16:35) twitter | DR Retrouvez moi sur Twitter : Vous démarrez sur Twitter et vous ne connaissez personne. On vous a bien dit à la télé que madame la Secrétaire d'Etat twittait tous les jours mais vous vous en fichez un peu...et, très honnêtement, elle "utilise" plus Twitter qu'elle ne s'en sert ( Dans le genre, allez plutôt lire Anne Hidalgo sur son compte. On vous a expliqué que le jeune mari de Demi Moore avait 4 millions de lecteurs (de "followers"). Voici quinze personnes que je lis tous les jours sur Twitter pour me rafraîchir les idées, pour aller plus loin que les idées reçues et pour apprendre. 1 @koztoujours : de droite et catholique. 2 @fredCavazza : Frédéric est un geek non ennuyeux. 3 @nathansoret : Nathan est belge, il a quatorze ans. 4 @LouisCalvero : un des plus brillants invités du Post. 6 @papilles : Anne cuisine sur son blog et le raconte tous les jours sur Twitter.

Pour une coopération renforcée dans la zone euro LE MONDE | • Mis à jour le | Par Guillaume Klossa, président d'Europa Nova, et Maria Joao Rodrigues, ancienne ministre portugaise de l'emploi Avec la crise, les citoyens européens ont pris conscience de l'inadaptation de nos Etats-nations, de l'Union européenne et de la zone euro face à la nouvelle donne mondiale. Plus inquiétant, la succession des Conseils européens de la dernière chance - plus d'une quinzaine depuis le début de la crise grecque - a mis en évidence l'incapacité de la méthode intergouvernementale à proposer des solutions ambitieuses pour faire face à la crise. La difficulté et la lenteur à mettre en oeuvre les engagements européens ont miné la crédibilité de l'Europe. Dans l'immédiat, l'urgence est d'abord d'apporter une réponse crédible, durable et acceptable par tous à la crise et de remettre l'Europe et la zone euro sur le chemin de la stabilité et de la croissance. Un nouveau traité n'est donc pas nécessaire.

L'esclavage de la dette - Comment elle a détruit Rome et comment elle nous détruira si nous la laissons faire (CounterPunch) par Michael HUDSON Le livre V de La Politique d’Aristote décrit l’éternel cycle des oligarchies qui se transforment en aristocraties héréditaires —pour finalement être renversées par des tyrans ou se déchirer entre elles quand certaines familles décident de "mettre la multitude dans leur camp" et de réinstaurer la démocratie dont émerge à nouveau une oligarchie, suivie d’une aristocratie et ainsi de suite tout au long de l’histoire. La dette a été la force motrice de ces évolutions —seules les stratégies changent. La dette clive la richesse en créant une classe de créanciers dont le pouvoir oligarchique est renversé par de nouveaux leaders ("tyrans" dans le vocabulaire d’Aristote) qui obtiennent le soutien populaire en supprimant la dette et en redistribuant les biens ou en gardant les profits que génèrent ces biens pour l’état. Depuis la Renaissance, cependant, les banques se sont mises à soutenir les démocraties. La finance internationale est devenue le fer de lance d’un nouveau type de guerre.

Le fonctionnement du G20 Allez au contenu ,Allez à la navigation Rapport d'activité de la Banque de France 2013 Espace unique de paiement en euros Toutes les entreprises doivent se mettre en conformité à SEPA de manière urgente afin d’être assurées de pouvoir payer leurs salariés, régler leurs fournisseurs et être payées par leurs clients après le 1er février 2014. Si la date butoir du 1er février est restée inchangée, la commission européenne a proposé d'instaurer une période de transition de 6 mois - avant le 1er août - ce qui devrait permettre aux entreprises retardataires de finaliser leur passage au SEPA dans de bonnes conditions. Pour plus d’informations et répondre aux questions concernant le passage aux moyens de paiement SEPA : - urgence-sepa.fr Communiqués de presse : - Migration SEPA : une avancée décisive en février Interventions du gouverneur La Banque de France recrute > Tous les taux

films, communauté, appels à projets STACI par Grégori BELLUCO Ajouté il y a environ 1 mois Vues : 9 Votes : 25 A travers le regard de deux de ses clients, on découvre l'offre innovante de STACI, une entreprise d logis... Une Sonate (a sonata) ... par Pierre-Louis Umdenstock Ajouté il y a 2 mois Vues : 11 Votes : 45 "Il l'aime. Elle va mettre son amour à l'épreuve. Dans l'ombre, un regard les observe en silence." avec ... LES CHEMINS DE MELLE par Grégori BELLUCO Ajouté il y a 5 mois Vues : 51 Votes : 80 Après de nombreuses années,, Gilles revient dans sur les lieux de son enfance, suite au décès de son père. ... Dans La Peau De Philip... par Lyèce Boukhitine Ajouté il y a 5 mois Vues : 15 Votes : 79 Mention Prix Stratégie 2013 réal Lyèce Boukhitine , Cake Films prod, agence La Chose Traveling par edechab Ajouté il y a 5 mois Vues : 11 Votes : 84 a few images gathered around the world.

AAA, la dégradation qui vient - A Quiberon, le 16 décembre 2011.REUTERS/Stephane Mahe - Changement de ton au gouvernement, après la volte-face de Nicolas Sarkozy sur la dégradation de la France par les agences de notation. On avait compris que le maintien de la note maximale du AAA constituait pour le président de la République un objectif majeur, au moins jusqu’à l’élection présidentielle, afin de pouvoir se présenter devant les Français fort d’un bilan économique qui aurait été jugé crédible par ces mêmes agences. Pas sûr que les Français auraient apprécié que des agences privées soient prises comme juges arbitres des efforts demandés dans le cadre d’une politique d’austérité. publicité Quand le malade oublie le thermomètre… Mais coup de tonnerre: le triple A français ne devrait pas tenir jusque là. «Ce qui compte avant tout, c'est la crédibilité de notre politique économique et notre stratégie déterminée de réduction de nos dépenses». Fini, le triple A; seule compte la conviction d’avoir raison. Gilles Bridier

EXCLUSIF. L'appel de très riches Français : "Taxez-nous !" - Economie "Nous, présidents ou dirigeants d’entreprises, hommes ou femmes d’affaires, financiers, professionnels ou citoyens fortunés, souhaitons l’instauration d’une "contribution exceptionnelle" qui toucherait les contribuables français les plus favorisés. Cette contribution serait calculée dans des proportions raisonnables, dans le souci d’éviter les effets économiques indésirables tels que la fuite des capitaux ou l’accroissement de l’évasion fiscale. Nous sommes conscients d’avoir pleinement bénéficié d’un modèle français et d’un environnement européen auxquels nous sommes attachés et que nous souhaitons contribuer à préserver. Cette contribution n’est pas une solution en soi : elle doit s’inscrire dans un effort plus global de réforme, tant sur les dépenses que sur les recettes. Retrouvez cet appel dans Le Nouvel Observateur du jeudi 25 août.

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