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Qui sommes nous ?

Qui sommes nous ?
Créé en 1947, l’INRS est une association loi 1901. Il est géré par un Conseil d'administration paritaire constitué de représentants des organisations des employeurs ou des salariés. Organisme généraliste en santé et sécurité au travail, l’INRS intervient en lien avec les autres acteurs institutionnels de la prévention des risques professionnels. Il propose des outils et des services aux entreprises et aux 18 millions de salariés relevant du régime général de la Sécurité sociale. Une association à but non lucratif Association loi 1901, sans but lucratif, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) est soumis au contrôle financier de l’État. Un acteur impartial et indépendant L’INRS est géré par un Conseil d'administration paritaire(/accueil/inrs/ca-inrs.html) constitué de représentants des employeurs et des organisations syndicales de salariés. Des compétences variées De nombreux partenaires

Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences (GPEC) est une gestion anticipative et préventive des ressources humaines, en fonction des contraintes de l’environnement et des choix stratégiques de l’entreprise. C'est aussi en France une obligation[1] de négociation triennale qui doit permettre d'éviter les restructurations brutales. La GPEC (en anglais, « strategic workforce planning ») est composée par l'ensemble des démarches, procédures et méthodes ayant pour objectif de décrire et d'analyser les divers avenirs possibles de l'entreprise en vue d'éclairer, d'analyser et d'anticiper les décisions concernant les ressources humaines. En se référant au Rapport d'Henri Rouilleault[2]publié le 1er août 2007 ( on peut à la suite de Thierry et Sauret, "définir la GPEC comme : Enjeux de la GPEC[modifier | modifier le code] La GPEC permet :

Déchets d’activités de soins à risques infectieux (/accueil/pages-contact/FormulaireEnvoyerLien.html?currentUrl=http%3A%2F%2Fwww.inrs.fr%2Faccueil%2Fsecteurs%2Fenvironnement%2Fcollecte-tri-traitement%2Fdasri.html¤tTitle=D%C3%A9chets%20d%E2%80%99activit%C3%A9s%20de%20soins%20%C3%A0%20risques%20infectieux) ( (/accueil/pages-contact/Choixformulaire.html? Poches de sang, compresses et champs opératoires souillés, gants usagés… En manipulant certains déchets d’activité de soins, les travailleurs de la santé et les personnels de nettoyage sont exposés à des risques infectieux. De quoi parle-t-on ? Il s’agit de tous les déchets des activités de soins potentiellement souillés par du sang ou un liquide biologique ainsi que : des matériels et matériaux piquants ou coupants destinés à l’abandon, qu’ils aient été ou non en contact avec un produit biologique, des produits sanguins à usage thérapeutique incomplètement utilisés ou arrivés à péremption.

La délégation Déléguer est un acte de management. Il ne faut pas le confondre avec les notions de « délégation de pouvoir », « délégation de fonction » ou encore de « délégation de signatures ». Le temps est une denrée rare pour le responsable. Il doit donc être utilisé au mieux, pour les missions dont lui seul peut s'acquitter. Savoir libérer du temps Le processus de délégation doit toujours commencer par une analyse de sa propre mission selon la fameuse loi de Pareto (sociologue et économiste italien, 1848-1923) : environ 80 % des effets sont le produit de 20 % des causes. > Faites le test : Identifier les pièges du temps > Un document : Les lois du temps Il s'agit de repérer les actions qui demandent beaucoup de temps au responsable, l'empêchant de se concentrer sur les questions stratégiques de son poste. Mais attention, déléguer, ce n'est pas seulement « gagner du temps » mais c'est aussi l'occasion de permettre à un collaborateur de monter en puissance professionnellement ou de se remotiver.

QQOQCCP Cinq W QQOQCCP (pour « Qui ? Quoi ? Ce concept est notamment utilisé en journalisme. Les cinq W sont particulièrement utilisés en agence de presse[3], qui exige que les réponses aux cinq questions soient données dès le début de la dépêche, ce qui permet un découpage de l'information par priorité. Cette méthode est également utilisée de façon courante dans l'éducation pour l'étude de documents, ainsi qu'en gestion de la qualité, comme première étape d'une analyse de cause racine de problèmes. Origine et histoire[modifier | modifier le code] Chez Aristote et les scolastiques[modifier | modifier le code] Le sigle a pour origine un moyen mnémotechnique latin (« Quis, Quid, Ubi, Quibus auxiliis, Cur, Quomodo, Quando ») utilisé par les savants scolastiques pour la mémorisation des particularités d'un acte telles que définies par Aristote[4],[5]. Plusieurs autres utilisations ont ensuite assuré la persistance de l'expression jusqu'à aujourd'hui : Sous forme de tableau[modifier | modifier le code]

Diagramme de Pareto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pareto. Diagramme de Pareto sur les causes des retards au travail (les données sont hypothétiques) Le diagramme de Pareto est un graphique représentant l'importance de différentes causes sur un phénomène. Ce diagramme permet de mettre en évidence les causes les plus importantes sur le nombre total d'effet et ainsi de prendre des mesures ciblées pour améliorer une situation. Diagramme[modifier | modifier le code] Ce diagramme se présente sous la forme d'une série de colonnes triées par ordre décroissant. Ce diagramme est construit en plusieurs étapes[1] : collecte des donnéesclassement des données au sein de catégoriescalcul du pourcentage de chaque catégorie par rapport au totaltri des catégories par ordre d'importance Histoire[modifier | modifier le code] L'inventeur de ce diagramme est Joseph Juran, l'un des fondateurs de la démarche qualité. Notes et références[modifier | modifier le code]

Diagramme de causes et effets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Diagramme de causes et effets, ou diagramme d'Ishikawa, ou diagramme en arêtes de poisson ou encore 5M, est un outil développé par Kaoru Ishikawa en 1962[1] et servant dans la gestion de la qualité. Description et fonctions[modifier | modifier le code] Ce diagramme représente de façon graphique les causes aboutissant à un effet. Ce diagramme se structure habituellement autour du concept des 5 M. Chaque branche reçoit d'autres causes ou catégories hiérarchisées selon leur niveau de détail. Le positionnement des causes met en évidence les causes les plus directes en les plaçant les plus proches de l'arête centrale. Variantes[modifier | modifier le code] Les termes « Moyens » ou « Machines » remplacent parfois la catégorie « Matériel ». Une caractéristique peut également être ajoutée dans les univers de production avec un neuvième « M », celui de « Maintenance ». Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Matthew A.

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