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L’industrie du Copyright - Un siècle de mensonge

L’industrie du Copyright - Un siècle de mensonge
Depuis plus d’un siècle les chiens du copyright aboient, la caravane qui transporte la création passe… Piano mécanique, gramophone, radio, film parlant, télévision, photocopieuse, cassette audio, mp3, internet… à chaque fois qu’est apparu une nouvelle technologie, elle a drainé inévitablement avec elle sa cohorte de réactionnaires hostiles[1] C’est alors toujours la même rengaine : on brandit la menace de la mort du message alors qu’il ne s’agit que de la mort des messagers qui profitaient du système précédent et qu’il y aura toujours des auteurs de messages. Une nouvelle traduction de notre ami Rick Falkvinge qui rend optimiste quant à l’issue du combat actuel. L’industrie du Copyright - Un siècle de mensonge The Copyright Industry – A Century Of Deceit Rick Falkvinge - 27 novembre 2011 - Torrent Freak(Traduction Framalang / Twitter : Kamui57, Yoha, Goofy, Jean-Fred, e-Jim et FredB) On dit qu’il faut étudier l’Histoire pour ne pas être condamné à répéter les erreurs du passé.

Outerra HADOPI vs ARJEL : attention ça va clasher chérie A force de créer des « Hautes Autorités » pour tout et n’importe quoi, et souvent pour n’importe quoi d’ailleurs, on arrive forcement un moment à des paradoxes assez intéressants. L’interruption de l’accès au site Megaupload de ce soir qui a agité la Twitosphère, m’a amené à tenter une petite manipulation me conduisant à suspendre momentanément le bloqueur de scripts publicitaires de mon navigateur web. Ceci m’a permis de constater avec une joie non dissimulée qu’une Haute Autorité française permettait à des entreprises de financer une petite mafia contre laquelle une autre Autorité française essaye tant bien que mal de lutter. L’ARJEL (la Haute Autorité de régulation des Jeux En Ligne), si vous ne vous en souvenez pas, c’est l’Autorité qui a inscrit dans notre droit, et en primeur, le blocage de sites Internet, là où logiquement, on s’attendait à ce que ce soit LOPPSI qui bloque les vilains pédo-criminels.

Raleigh, Montréal... quelle sera la première ville Open Source du monde ? Deux traductions pour s’interroger ensemble sur le concept de « ville Open Source ». Il s’agit de voir ici la ville comme une plateforme, une plaque tournante, un incubateur, bref un lieu privilégié où peuvent s’épanouir les entreprises et start-up qui placent l’open source au cœur de leur stratégie et de leur développement. Les villes de Raleigh (USA) et Montréal (Canada) souhaitent apparemment poser candidature et ont, semble-t-il, de bons arguments. Encore faudrait-il définir ce qu’est ou peut être une « ville Open Source », et se demander si il est pertinent de vouloir créer, favoriser ou labelliser de telles villes[1] L’un des auteurs nous propose ainsi trois critères : la volonté de partager, la volonté d’être informé, et une attitude ouverte à l’innovation, à la créativité et aux expérimentations de toutes sortes. Et en France, me direz-vous ? PS : Nous avions déjà évoqué la chose dans un billet sur une autre ville canadienne Vancouver : S’il te plaît… dessine-moi une ville libre. 1.

FGH (François Bon, Gallimard et Hemingway), ou l'alphabet du droit de l'édition numérique à l'heure des réseaux Mise à jour du 22 février: contrairement à ce que nous avions écrit trop hâtivement, le roman d'Hemingway sera dans le domaine public français en 2032, puisque «la durée de protection est celle accordée dans le pays d'origine de l'oeuvre sans que cette durée puisse excéder» celle prévue par la loi française, soit 70 ans après la mort de l'auteur (1962 +70). François Bon vient de publier une traduction du "Vieil Homme et la mer" d'Hemingway. Cet évènement n'a pas été du goût des éditions Gallimard, lesquelles lui ont signifié que la publication et la commercialisation de cette nouvelle traduction constituaient un acte de contrefaçon. Colère de François Bon qui pensait que le roman d'Hemingway était entré dans le domaine public. Domaine public pour qui ? Le Vieil Homme et la Mer a été publié aux Etats-Unis en 1951. - que l'oeuvre ait fait l'objet d'une déclaration initiale de copyright (copyright notice) Et en France? Réactions outrancières de part et d'autre Mauvaise cause, mauvais effets

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MegaUpload : la casse aux trésors Comment va-t-on se souvenir de ce moment dans quelques années? La grande catastrophe? La grande glaciation? On ne va pas pleurer ici la discographie complète de Lady Gaga, qui refera de toute façon surface et appartient à un autre débat. Il a fallu quelques jours pour que chacun fasse le point sur les dégâts et sèche ses larmes. Chez Smutshake Cupcake. «Oui, j'utilisais MegaUpload. « Ici gît Holyfuckingshit40000, affiche pour sa part Tolkkii sur son blog , qu'il a carrément vidé de tout son contenu. Chez Prog Mundo , un blog mexicain spécialisé dans le rock progressif de tous horizons, c'est «au moins 500 disques qui ont disparu» et qui ne seront pas tous repostés. Chez Holyfuckingshit40000 Au-delà de la «simple» fermeture de MegaUpload, son cas révèle une crispation mêlée de peur dans le milieu des blogs de partage responsable. Le choc n'est pas moindre parmi les habitués des blogs underground. Une fois passé l'anéantissement, que faire aujourd'hui?

La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Ultraviolet : le "DRM universel" refait parler de lui Discret depuis l'annonce de son adoption par 6 grandes majors hollywoodiennes en janvier dernier, le DRM Ultraviolet refait parler de lui aujourd'hui avec la mise en ligne d'un site permettant de se créer un compte. Présenté comme le « DRM universel » destiné à proposer du contenu dématérialisé protégé avec chaque DVD ou Blu-ray vendu et à garantir l'accès au contenu sur la totalité du matériel certifié Ultraviolet – TV, tablettes, smartphones, lecteurs DVD/BD… - ce nouveau standard n'est pour le moment pas intégré aux sorties matérialisées des majors qui l'ont officiellement adopté en janvier dernier. Une situation qui pourrait néanmoins changer dans les prochains mois, si on en croit la mise en ligne d'un site permettant d'ouvrir un compte Ultraviolet. Car l'utilisation des services proposés par Ultraviolet nécessiteront, à terme, un compte permettant d'accéder au contenu dématérialisé.

Download Tor Tor Browser Version 4.5.2 - Windows 8, 7, Vista, and XP Everything you need to safely browse the Internet. Learn more » Expert Bundle Windows 8, 7, Vista, XP, 2000, 2003 Server, ME, and Windows 98SE Contains just Tor and nothing else. Version 4.5.2 - OS X Intel Everything you need to safely browse the Internet. Version 4.5.2 - Linux, BSD, and Unix Tor (standalone) Install the Tor components yourself, run a relay, create custom configurations. Source Tarball Configure with: . The current stable version of Tor is 0.2.6.9. The current unstable/alpha version of Tor is 0.2.7.1-alpha. Want Tor to really work? You need to change some of your habits, as some things won't work exactly as you are used to. Use the Tor Browser Tor does not protect all of your computer's Internet traffic when you run it. Be smart and learn more.

L'après-Hadopi selon François Hollande - Le Nouvel Observateur "Hadopi est inapplicable et sera remplacée par une grande loi signant l'acte II de l'exception culturelle française", a promis François Hollande dimanche. Le Parti socialiste a fait de l'abrogation de la loi anti-téléchargement illégal Hadopi son fer de lance pour la campagne numérique. Une promesse aujourd'hui reprise par le candidat socialiste, qui évoque toutefois le remplacement par "une autre législation". Cette nouvelle législation ne sera pas détaillée ce jeudi 26 janvier, lors de l'officialisation du programme de François Hollande pour l'élection présidentielle de 2012. 1. "Il y aura d'abord une remise à plat de la fiscalité des fournisseurs d'accès à internet", explique Didier Mathus, responsable des enjeux numérique de la culture dans l'équipe de campagne socialiste. "Il ne s'agit pas forcément de nouvelles taxes, mais plutôt de repenser, de réinventer la fiscalité numérique pour tout remettre à plat et que tout le monde y contribue", précise Didier Mathus. 2. 3.

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