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Monnaies en Dbat

Monnaies en Dbat

Pesticides : une diffrence bien relle entre les aliments bio et non bio Générations Futures a comparé les teneurs en résidus de pesticides des fruits, légumes et céréales provenant de l'alimentation conventionnelle avec ceux issus de l'agriculture biologique. Résultat : 223 fois moins de pesticides dans le bio ! Après avoir réalisé une enquête sur la présence de substances chimiques dans les aliments traditionnels fin 2010, l'association Générations Futures a souhaité cette année renouveler l'expérience avec des produits issus de l'agriculture biologique, et ce, en se concentrant uniquement sur les résidus de pesticides. En décembre 2010, l'analyse des aliments non bio composant les repas types d'une journée d'un enfant de dix ans avait révélé la présence d'un certain nombre de substances. Toxique et pourtant autorisé dans l'agriculture biologiqueLe piperonyl butoxyde ou PBO est un synergisant autorisé en agriculture biologique, uniquement pour le nettoyage des lieux de stockage vide des céréales. Des résultats indiscutables en faveur du bio

Le soutien à l’emploi associatif et à la formation des bénévoles Les délégués départementaux à la vie associative (DDVA)Les missions d’accueil et d’information des associations (MAIA)Les centres de ressources et d’information des bénévoles (CRIB)Le Fonds pour le développement de la vie associative (FDVA)Le fonds de coopération de la jeunesse et de l’éducation populaire (FONJEP)Les guides pratiques Les délégués départementaux à la vie associative (DDVA) La circulaire du Premier ministre n° 5811-SG du 29 septembre 2015 relative aux nouvelles relations entre les pouvoirs publics et les associations confirme les missions des services déconcentrés du ministère chargé de la vie associative (les DDVA) et incite à la mise en place des Missions d’accueil et d’information des associations (MAIA). Le rôle des DDVA est explicité dans l’annexe 5 de ce décret. la formation des bénévoles, des dirigeants associatifs et des "correspondants associations" des services déconcentrés de l’Etat ; la connaissance du tissu associatif ; les questions liées à l’emploi associatif ;

Singapour : De llectricit directement partir des dchets Singapour / / Asie Un entrepreneur de 68 ans voit enfin le bout du tunnel après 10 ans de recherches ininterrompues sur une pile à combustible qui utilise la biomasse. La technologie est séduisante et les premiers clients sont là. Présentation de Philip Wong lors du sommet asiatique des leaders économiques "Global Entrepolis" en 2007. © Singapore Fuel Cell Community Philip Wong crée sa société RTE (Real Time Engineering) en 1993. Suite à la crise financière asiatique de 1997, son entreprise de recherche et développement dans le domaine informatique est proche de la faillite. Le choix de l’hydrogène lui apporte cependant bien des soucis. Hydrogène issu de la biomasse RTE choisit donc d’utiliser la biomasse pour produire son gaz : son unité de production électrique fonctionne avec de la sciure de bois, des épluchures de fruits et légumes ou autres déchets végétaux. On se positionne comme un fournisseur d’électricité. Un succès technologique et surtout humain.

Monnaies locales : pile ou face ? (deuxième partie) Lire aussi sur cafebabel.​com la pre­mière par­tie de ce pa­no­rama consa­crée aux mon­naies lo­cales En France, pas moyen d’ar­rê­ter la planche à billet. De­puis 2009 et le lan­ce­ment de « L'abeille » à Vil­le­neuve-sur-Lot et de « L'Oc­ci­tan » à Pé­ze­nas (Sud de la France, ré­gion Lan­gue­doc-Rous­sillon, ndlr), des mon­naies lo­cales au ca­rac­tère bien gau­lois poussent comme des cham­pi­gnons. Réunie au sein d’un ré­seau, elles par­tagent la ca­rac­té­ris­tique d’être « fon­dantes », à sa­voir qu’elles perdent de leur va­leur au fil du temps. Pour­quoi ? Car une mon­naie com­plé­men­taire vise tout d’abord à sti­mu­ler la consom­ma­tion lo­cale. Mais l’ex­pé­rience fran­çaise qui aura sans doute le plus fait par­ler d’elle vient de Tou­louse. Fe­de­rico Piz­za­rotti, maire de Parme et 39 ans. Une ten­dance qu’on re­trouve aussi en de­hors de la France. Gare à l’ « ivresse mo­né­taire » La pêche à Volos et le poids de l'éco­no­mie ?

Comment investir dans les nergies renouvelables sans devenir un affreux spculateur Changer le système énergétique français. Telle est l’ambition d’Énergie partagée, une association qui collecte l’épargne populaire pour financer les énergies renouvelables, et d’Enercoop, qui, depuis l’ouverture du marché à la concurrence, distribue à 10 000 clients de l’électricité 100 % renouvelable. Des outils pour développer une énergie écologique, collective et coopérative. En attendant le retour à un service public de l’électricité ? Le parc éolien coopératif de Béganne, dans le Morbihan, verra-t-il bientôt le jour ? Lancée il y a huit ans, cette aventure à rebondissements multiples pourrait voir les pâles de ses quatre éoliennes tourner dès 2012. C’est l’association nationale Énergie partagée qui va se charger de collecter cette épargne populaire, via son « Fonds citoyen d’investissement ». L’écologie avant le profit Les sommes récoltées seront versées pour compléter les fonds propres de projets de production d’énergie renouvelable. Achetez une électricité 100 % renouvelable

Monnaies alternatives locales : pile ou face ? La Grèce va-t-elle enfin sortir de l’Euro ? En tout cas, la ville de Volos, à mi-chemin entre Athènes et Thessalonique, est prête. Enfin, presque. Le temps, c’est de l’argent En Grèce, on recense une quinzaine de Sel actifs ou en cours d’activation depuis que la crise frappe et les plans de rigueur se succèdent. En France, on recense 500 Sel, certains très actifs, avec une centaine de membres, d’autres en sommeil. Au Nord, on frappe sa monnaie Dans les pays de l’Europe du Nord, ces monnaies alternatives se sont émancipées des systèmes de troc et entraide. Nouvelle édition de billet correspondant au Brixton Pound et faisant figurer David Bowie. En effet, la cible de ces monnaies n’est pas plus l’Euro que le fonctionnement de l’économie dans son ensemble. Avec 70 000 B£ en circulation et un système de payement par sms testé auprès de 400 souscripteurs, c’est dans les restaurants et cafés qu’on a plus de chances de voir échanger ces billes.

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