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Dirty Biology #56 Cette guerre microbiologique que nous sommes en train de perdre -

Dirty Biology #56 Cette guerre microbiologique que nous sommes en train de perdre -

http://www.youtube.com/watch?v=LIDBmyT3YfA

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Qu'est-ce que le diabète ? Le diabète se caractérise par une hyperglycémie chronique, c’est-à-dire un excès de sucre dans le sang et donc un taux de glucose (glycémie) trop élevé. Découvrez dans cet article et dans la vidéo ci-dessous tout ce qu’il y a à savoir sur le diabète de type 2 et le diabète de type 1 (insulinodépendant) : causes, symptômes, traitements, facteurs de risques, dépistage... Retrouvez cette vidéo dans notre playlist dédiée aux fondamentaux du diabète sur notre chaîne officielle Youtube. Définition : qu'est-ce que le diabète ? Résistance aux antibiotiques ⋅ Inserm, La science pour la santé Les antibiotiques ont permis de faire considérablement reculer la mortalité associée aux maladies infectieuses au cours du 20e siècle. Hélas, leur utilisation massive et répétée, que ce soit en ville ou à l’hôpital, a conduit à l’apparition de bactéries résistantes à ces médicaments. Qui plus est, les animaux d’élevage ingèrent au moins autant d’antibiotiques que les humains ! Résultat : la résistance bactérienne est devenue un phénomène global et préoccupant.

Obésité Composition et rôle régulateur du tissu adipeux Il a été découvert que les adipocytes ne constituent qu’un tiers des cellules qui composent les tissus adipeux. Dans les deux tiers restants, on trouve des cellules souches, des lymphocytes et d’autres cellules du système immunitaire, des cellules vasculaires, des terminaisons nerveuses… Or la composition de ce tissu joue un rôle important dans la progression de l’obésité et les complications associées. Une étude Inserm, réalisée chez la souris, a montré que c’est la composition du tissu adipeux plus que sa taille qui est prédictive du risque de complications liées à l’obésité. Des souris obèses présentant un tissu adipeux riche en cholestérol oxydé et infiltré par des cellules pro-inflammatoires (notamment des macrophagesmacrophagesCellule du système immunitaire chargée d’absorber et de digérer les corps étrangers) ont une espérance de vie réduite d’un tiers. Rôle de l’épigénétique dans l’obésité

Pourquoi la résistance est courante pour les antibiotiques, mais rare pour les vaccins - CITIZEN4SCIENCE La résistance aux antibiotiques est un problème mondial dans la mesure où il existe un risque grave que les infections courantes deviennent bientôt incurables. Entretemps, les vaccins mis au point il y a près d’un siècle nous protègent toujours contre des maladies mortelles. Qu’est-ce qui pourrait expliquer cette différence ? Les bactéries ont développé une résistance à tous les antibiotiques développés. Parfois, cela s’est produit très peu de temps après l’introduction d’un antibiotique.

La révolution génomique - L'Esprit Sorcier - Dossier #27 Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee ! Un dossier préparé parJean Fauquet et Benjamin Robert Rédaction en chefFrédéric Courant Direction artistique et techniquePascal Léonard La théorie de l’évolution : une révolution pour les stratégies thérapeutiques ? - Décryptages Lorsque des cellules cancéreuses apparaissent dans l’organisme, elles doivent d’abord survivre aux attaques du système immunitaire qui les reconnaît comme “étrangères”. Parfois, certaines cellules passent sous le radar ; elles prolifèrent alors plus ou moins rapidement et, dans le cas des tumeurs solides, elles finissent par former un agrégat. Lorsque la tumeur est diagnostiquée, les cellules cancéreuses sont à nouveau soumises, en même temps que leur proche environnement, à des attaques venues de l’extérieur (radiothérapie, chimiothérapie). Certaines cellules peuvent déjà disposer de capacités de résistance, d’autres peuvent acquérir ces capacités en évoluant rapidement sous la pression des traitements. Dans tous les cas, elles trouvent une abondance de ressources nutritives qui, auparavant, étaient consommées par la population cellulaire dominante de la tumeur initiale. La compréhension de ces phénomènes est cruciale pour faire baisser la mortalité par cancer.

Résistance aux antibiotiques Certaines résistances posent surtout problème à l’hôpital. Les souches de Staphylococcus aureus résistantes à la méticilline (SARM) sont responsables d’infections diverses, pulmonaires et osseuses, ainsi que de septicémies, en particulier dans les unités plus sensibles (soins intensifs). Toutefois, des mesures spécifiques, notamment d’hygiène, ont permis de réduire ces résistances en France (33% en 2001, 15,7% en 2015). Acinetobacter baumannii est également redoutée à l’hôpital.

L'ancêtre de l'humain se serait domestiqué lui-même Le chien ne serait pas la première espèce domestiquée par l'humain. En effet, des chercheurs auraient trouvé des preuves génétiques de la domestication de l'humain par... lui-même. Pour cela, ils se sont appuyés sur l'étude d'un gène impliqué dans le syndrome de Williams : BAZ1B. Que se cache-t-il derrière cet acronyme barbare ? Thérapie génique Travailler ex vivo permet de mieux contrôler les étapes, d’utiliser moins de vecteurs et d’éviter la dispersion du traitement dans des organes non ciblés. Cette solution est la plus souvent utilisée pour le traitement des maladies sanguines, car il est possible de prélever les cellules à corriger par une simple prise de sang. Par exemple, le premier médicament de thérapie génique ex vivo (Strimvelis, arrivé sur le marché en 2016) correspond à des cellules hématopoïétiques CD34+ prélevées à des patients atteints d’un déficit immunitaire sévère (ADA-DICS), modifiées au laboratoire pour qu’elles expriment le gène qui leur fait défaut, puis réadministrées.

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