Cloud : flexibilité et coûts motivent les entreprises françaises D’après la nouvelle édition des indicateurs CloudIndex de PAC, 23% des entreprises et administrations interrogées déclarent utiliser des solutions Cloud. Si selon le cabinet français, le score de maturité du Cloud en France a légèrement progressé (le score passe de 443 à 446 sur 1.000), la part de répondants témoignant d’une utilisation du Cloud a nettement reculé puisqu’elle était de 33% en juin. Faut-il en déduire que les entreprises se retirent de ces architectures ? Non, c’est plus sûrement un ajustement méthodologique - et de l'échantillon - qui explique cette variation. PaaS et IaaS encore souvent « l’apanage des technophiles » En ce qui concerne les types de Cloud déployés, c’est dans le domaine du SaaS que les entreprises s’avèrent les plus matures. C’est donc essentiellement le SaaS qui tire l’adoption du Cloud en France. 65% des répondants exploitent au moins une application de ce type, contre respectivement 28% et 11% ayant recours à l’IaaS et au PaaS.
Cloud computing : connaître les risques et savoir l'utiliser L'informatique dans les nuages, le cloud computing, modifie notre façon de conserver les données en les déplaçant de notre disque dur à internet. Quelles sont les risques et les précautions à prendre pour se protéger ? Le vol de données (piratage) Le risque de piratage n'est pas nouveau et existait déjà bien avant qu'on évoque le cloud computing. Mais cette nouvelle façon de gérer les fichiers facilite le travail des pirates. Alors qu'ils devaient auparavant s'introduire dans un réseau d'entreprise ou sur l'ordinateur d'un particulier pour accéder à des données, il leur suffit maintenant de trouver les identifiants d'un compte en ligne. Les gros ennuis commencent lorsque des personnes malveillantes réussissent à s'introduire directement sur le réseau d'une entreprise gérant un service de cloud computing. Certains groupes de hackers ont fait de la sécurité du Cloud leur cheval de bataille et regardent d'un oeil méfiant la multiplication des services d'hébergement de données.
Numérique : cliquer, c'est polluer “Le numérique n’a rien d’immatériel”, écrit l’Ademe dans un rapport, “ La face cachée du numérique”, publié en novembre 2019. Ce document est l’une des quelques études qui mesurent l’empreinte laissée par l’informatique sur notre environnement. L’impact n’est pas neutre et va même croissant mais n’est pas si simple à quantifier. Revue des principales connaissances sur le sujet et des solutions envisagées : le 16 décembre 2020, la Commission du développement durable au Sénat a notamment adopté une proposition de loi visant à créer un délit d'obsolescence programmée. Une empreinte de plus en plus importante “À l’échelle planétaire, en 2019, le numérique est constitué de 34 milliards d’équipements pour 4,1 milliards d’utilisateurs. L’étude montre aussi que le numérique consomme 5,5% de l’électricité mondiale et génère 3,8% des gaz à effet de serre émis par l’humanité. Pour autant, ces mesures ne suffisent pas à rendre compte de l’empreinte globale. Les solutions pour réduire la consommation
Première formation certifiante en France sur le cloud Florence Durand, directrice de Centrale Paris Executive Education. Crédit photo : D.R Centrale Paris Executive Education et l'organisme de formation informatique Global Knowledge se sont associés pour créer une formation qualifiante qui permettra aux architectes et aux responsables informatiques d'étudier le cloud en profondeur. Le cloud computing a très fortement impacté l'organisation des entreprises et leurs équipes. Les métiers se sont transformés et il devenu nécessaire de développer les compétences nécessaires pour construire des systèmes d'information compatibles avec les services cloud en cours de généralisation. « On est en train de passer d'un modèle où l'on faisait tout nous mêmes, à un mode mi externalisé, mi automatisé, qui entraîne une transformation des métiers d'études, d'infrastructure et de support », a souligné Hubert Tournier, adjoint du DSI du groupement des Mousquetaires. 20 000 € pour 21 jours de cours * Mise à jour
La pollution numérique, qu’est-ce que c’est ? La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques. Le gros de cette pollution a lieu au moment de la fabrication du matériel (et non lorsqu’on les utilise). Lutter contre la pollution numérique c’est donc d’abord utiliser moins d’objets informatiques, et les faire durer plus longtemps. "*" indique les champs que vous devez remplir. La pollution engendrée par la fabrication de nos terminaux numériques Dans l’ère numérique, paradoxalement, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Par exemple, saviez-vous que la production d’un téléviseur exige d’extraire 2,5 tonnes de matières premières, et génère 350 kg de CO₂ ? A cette démesure énergétique, s’ajoutent la pollution des écosystèmes et les drames humains liés à l’activité minière. Comment réduire notre pollution numérique ? 1. 2.
Cloud Gaming | NVIDIA GRID | Streaming de jeux multi-appareils Le streaming a révolutionné l'industrie du cinéma et de la musique. Aujourd’hui, des millions de personnes utilisent sur leurs appareils connectés (téléviseurs, PC ou tablettes) des services de vidéo et de musique en streaming comme YouTube, Pandora et Spotify. Comment résister à l’attrait des bibliothèques dans le Cloud, qui permettent de lire à distance de nombreux contenus sur tout type d’appareil ? Grâce à NVIDIA GRID, une technologie révolutionnaire de Cloud Gaming, vous allez bientôt pouvoir jouer à des jeux en streaming comme s’il s’agissait de n’importe quel autre média. "J’ai testé Street Fighter IV grâce à cette technologie. "NVIDIA GRID va entièrement changer notre approche des jeux vidéo."
Loi 15 novembre2021 Reen réduire empreinte environnementale du numérique | vie-publique.fr La fabrication des terminaux numériques (smartphones, tablettes, ordinateurs ...) représente 70% de l’empreinte carbone du numérique en France. Pour allonger la durée de vie des produits, il est prévu par exemple : de rendre plus opérationnel le délit d’obsolescence programmée ; de renforcer la lutte contre l’obsolescence logicielle ; d'informer le consommateur des caractéristiques essentielles de chaque mise à jour de son appareil numérique, "notamment l’espace de stockage qu’elle requiert, son impact sur les performances du bien et l’évolution des fonctionnalités qu’elle comporte". Par ailleurs, la loi interdit : aux fabricants de rendre impossible la restauration de l'ensemble des fonctionnalités d'un terminal réparé ou reconditionné ; les techniques empêchant le consommateur d’installer les logiciels ou les systèmes d’exploitation de son choix sur son appareil au bout d’un délai de deux ans.
Shadow vs Nvidia GeForce Now PC & Mac : le match du cloud gaming - Tech Nvidia change sa formule de cloud gaming pour se rapprocher de l'offre des français de Shadow. Petit comparatif des deux solutions. Jouer sur un client léger ou un client logiciel à des jeux récents lancés sur des serveurs distants n’est plus un rêve. Nous testons Shadow depuis plusieurs semaines maintenant et le service français ne cesse de nous impressionner — et même nos confrères les plus réticents ont été convaincus par l’expérience. Avant cela, Nvidia proposait une solution maison sur ses produits Shield : un service nommé GeForce Now qui permet, sur abonnement, de jouer à des jeux choisis par le constructeur. L’occasion de mettre les deux services face à face. MatérielMatériel nécessaire Shadow s’est lancé en bêta en voulant assurer ses arrières : les Français livrent aux utilisateurs un Shadow, petit boîtier qui permet d’accéder au service. Nvidia se débarrasse de la nécessité de la Shield : on accède au service avec un client logiciel, disponible sur Windows 10 et macOS.
Cloud Gaming – Gaming as a Service (GaaS) | NVIDIA GRID Streaming video and music to TVs, PCs and tablets using cloud services like Netflix, YouTube, Pandora and Spotify has become the predominant way to enjoy content for connected devices. The convenience of large cloud-managed libraries of content with stream-anywhere capability is impossible to resist. Now with revolutionary NVIDIA GRID cloud gaming technology, you'll soon be able to stream video games from the web just like any other streaming media. GRID renders 3D games in cloud servers, encodes each frame instantly and streams the result to any device with a wired or wireless broadband connection. The result of NVIDIA GRID is nirvana for the gamer. When service operators use NVIDIA GRID as the foundation for their on-demand Gaming as a Service (GaaS) solution, you can experience tremendous advantages over traditional console gaming systems. Any-device gaming: High-quality, low-latency, multi device gaming on any PC, Mac, tablet, smartphone or TV.
LiquidSky arrive avec ses nouvelles offres de « cloud gaming », dont une financée par la pub Après plusieurs mois de tests, la nouvelle version du service de « cloud gaming » LiquidSky arrive. Sa particularité ? Il est possible de l'utiliser quelques heures contre de la publicité. Le modèle va néanmoins devoir se frotter aux Français de Blade et leur Shadow, ainsi qu'à GeForce Now. C'est au CES de Las Vegas que nous avons pour la première fois rencontré les équipes de LiquidSky, une société fondée en 2014 par Ian McLoughlin qui a levé 8 millions de dollars depuis un an et a récemment été mise en avant par AMD lors de sa présentation des Radeon RX Vega. Pour faire simple, il s'agit d'un service de « cloud gaming » à la manière de ce que proposent les Français de Blade et leur Shadow, mais avec un modèle un peu différent, actuellement en pleine mutation. LiquidSky, l'autre société qui veut réinventer le « cloud gaming » Ainsi, plus qu'un accès aux jeux, vous avez à une machine complète à distance, celle-ci pouvant être équipée d'une configuration haut de gamme.