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Cloud computing : attention aux coûts cachés !

Cloud computing : attention aux coûts cachés !
La plupart des experts s'accordent à le dire: Le cloud a dépassé le simple niveau de phénomène pour commencer à offrir des avantages tangibles, au premier rang desquels la flexibilité et l'agilité. Mais l'aventure du cloud peut également signifier des coûts supplémentaires, dont certains sont cachés, estiment des DSI qui ont vécu l'expérience. Si de plus en plus de DSI s'interrogent sur l'opportunité d'aller vers le cloud, certains d'entre eux les avertissent de coûts induits liés à cette migration. Stockage des données, intégration applicative, test des logiciels, sont autant de sujet qui peut faire grimper la facture. Le stockage des données La migration des données vers un cloud public et leur conservation pendant une longue durée peuvent coûter plusieurs dizaines de milliers de dollars par an. Le principal coût dans le transfert des données réside dans la partie bande passante. L'intégration des apps provenant de plusieurs fournisseurs

HP/Cisco : le cloud comme terrain de bataille Crédit Photo: D.R Les deux fabricants IT sont devenus en quelques années des concurrents au sein du datacenter. Chacun fournit ses armes pour la bataille du cloud. La guerre des mots que se livrent HP et Cisco depuis près de deux ans met leurs partenaires de la distribution IT dans une position délicate. Un marché en forte croissance Au tournant de l'année 2009, Cisco et HP entretenaient une relation commerciale presque symbiotique. Guerre des chiffres Dans les tableaux de bord d'HP, Cisco a droit à une couleur à part pour le différencier du reste de la concurrence. Cloud : flexibilité et coûts motivent les entreprises françaises D’après la nouvelle édition des indicateurs CloudIndex de PAC, 23% des entreprises et administrations interrogées déclarent utiliser des solutions Cloud. Si selon le cabinet français, le score de maturité du Cloud en France a légèrement progressé (le score passe de 443 à 446 sur 1.000), la part de répondants témoignant d’une utilisation du Cloud a nettement reculé puisqu’elle était de 33% en juin. Faut-il en déduire que les entreprises se retirent de ces architectures ? Non, c’est plus sûrement un ajustement méthodologique - et de l'échantillon - qui explique cette variation. PaaS et IaaS encore souvent « l’apanage des technophiles » En ce qui concerne les types de Cloud déployés, c’est dans le domaine du SaaS que les entreprises s’avèrent les plus matures. C’est donc essentiellement le SaaS qui tire l’adoption du Cloud en France. 65% des répondants exploitent au moins une application de ce type, contre respectivement 28% et 11% ayant recours à l’IaaS et au PaaS.

cloud et sécurité par Franck Trognee, Country Manager France de SonicWALL Les administrateurs informatiques s’efforcent de fournir les meilleures solutions de sécurité réseau mais doivent faire face à des collaborateurs utilisant de plus en plus de logiciels encombrants, dangereux et surtout ayant un comportement à risque en termes d’utilisation d’Internet. Les firewalls utilisés aujourd’hui dans de nombreuses entreprises se réfèrent uniquement aux ports et aux protocoles et ne sont donc pas en mesure d’identifier les applications cloud et SaaS ainsi que les multiples services web 2.0 qui reposent sur le navigateur. Par conséquent, ces équipements ne peuvent distinguer le trafic productif de l’improductif. De ce fait, l’informatique en est réduite à un contrôle binaire du trafic, ne laissant le choix qu’entre blocage et autorisation. Faut-il donc bloquer des ports ou des protocoles entiers à seule fin de filtrer quelques applications indésirables ? 1- Un scanning de l’ensemble du trafic applicatif

Le salon Partner VIP veut accélérer l'adoption du SaaS Crédit Photo: D.R Pour leur 1ère édition, les rencontres d'affaires Partner VIP ont plongé au coeur du SaaS et des relations entre fournisseurs, distributeurs et partenaires professionnels de l'IT. Un triangle dans lequel se joue l'avenir commercial de toutes les formules de cloud computing et où se rencontrent également les principaux obstacles à leur réussite. « La révolution induite par le SaaS et le cloud en général touche avant tout les fournisseurs et leurs partenaires plutôt que les clients eux-mêmes », expliquait Jack Mandard, le PDG de Compubase, la société organisatrice de Partner VIP. Mais que l'on se rassure, indique ce dernier, la révolution du cloud est un phénomène lent qui mettra du temps pour rivaliser avec l'informatique traditionnelle. Les sessions plénières et les 44 ateliers proposé aux visiteurs étaient animés par quatre types d'intervenants : les VAD, les éditeurs, les opérateurs télécoms et les sociétés de financement. IBM a bénéficié d'un large temps de parole.

Numérique : cliquer, c'est polluer “Le numérique n’a rien d’immatériel”, écrit l’Ademe dans un rapport, “ La face cachée du numérique”, publié en novembre 2019. Ce document est l’une des quelques études qui mesurent l’empreinte laissée par l’informatique sur notre environnement. L’impact n’est pas neutre et va même croissant mais n’est pas si simple à quantifier. Revue des principales connaissances sur le sujet et des solutions envisagées : le 16 décembre 2020, la Commission du développement durable au Sénat a notamment adopté une proposition de loi visant à créer un délit d'obsolescence programmée. Une empreinte de plus en plus importante “À l’échelle planétaire, en 2019, le numérique est constitué de 34 milliards d’équipements pour 4,1 milliards d’utilisateurs. L’étude montre aussi que le numérique consomme 5,5% de l’électricité mondiale et génère 3,8% des gaz à effet de serre émis par l’humanité. Pour autant, ces mesures ne suffisent pas à rendre compte de l’empreinte globale. Les solutions pour réduire la consommation

cloud privé v/s cloud communautaire Par Georges Abou Harb, directeur général en charge des activités Future IT & Cloud chez Logica France Depuis quelques années maintenant, lorsque l’on demande à un DSI quel est le principal challenge auquel il doit faire face, la réponse est inévitablement la même : « faire plus avec moins ». Cet état de fait a participé à la montée en puissance du cloud computing comme la technologie la plus prometteuse de ces dernières années en matière de transformation de l’IT. Les partisans du cloud considèrent ce dernier comme un bouleversement fondamental dans la manière dont les entreprises utilisent et consomment l’IT. Tous ces avantages sont bien réels, même s’il encore un peu tôt pour dire si le cloud computing est une révolution, ou une évolution. Ceux d’entre nous qui travaillent dans l’IT sont habitués à parler de clouds privés, de clouds publics ou même de clouds hybrides. Qu’est-ce que le cloud communautaire, exactement ? Un concept à la fois nouveau et ancien

CA World 2011 : CA Technologies propulse les applications dans le cloud Bill McCracken, PDG de CA Technologies, sur CA World 2011 à Las Vegas (crédit : M.G.) Voilà près de deux ans que CA Technologies a mis résolument cap sur le cloud. A coup de rachats et de développement, il a activement étoffé ses solutions de gestion IT afin de pourvoir les DSI d'outils pour migrer les applications éligibles vers des clouds privés ou publics, et pour gérer les services dans des environnements hybrides. Une informatique en phase avec le rythme d'évolution de l'entreprise, « IT at the speed of business ». C'est le mot d'ordre de CA Technologies pour sa conférence CA World 2011 qui accueille 5 000 personnes à Las Vegas jusqu'au 15 novembre, clients et partenaires. « L'un des principaux problèmes pour un chef d'entreprise, c'est de voir ce qu'il veut faire et de ne pas pouvoir avancer assez vite, parfois à cause de l'informatique », a exprimé dimanche soir Bill McCracken, PDG de l'éditeur américain spécialisé dans les solutions de gestion du système d'information.

La pollution numérique, qu’est-ce que c’est ? La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques. Le gros de cette pollution a lieu au moment de la fabrication du matériel (et non lorsqu’on les utilise). Lutter contre la pollution numérique c’est donc d’abord utiliser moins d’objets informatiques, et les faire durer plus longtemps. La pollution engendrée par la fabrication de nos terminaux numériques Dans l’ère numérique, paradoxalement, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Par exemple, saviez-vous que la production d’un téléviseur exige d’extraire 2,5 tonnes de matières premières, et génère 350 kg de CO₂ ? A cette démesure énergétique, s’ajoutent la pollution des écosystèmes et les drames humains liés à l’activité minière. Quant à la fin de vie de ces équipements, ce n’est pas plus reluisant. 1. 2.

Cloud computing : les entreprises séduites par la réduction des coûts Selon l'étude Cloud Index réalisée auprès de 81 entreprises françaises de plus de 2000 salariés par le cabinet d'analyses IDC pour le compte de VMware, Accenture et EMC, 72 % des grandes entreprises françaises estiment que le cloud computing peut leur apporter une vraie valeur ajoutée. « La majorité des sociétés ne voient plus la virtualisation des environnements critiques comme quelque chose de dangereux ou de bloquant. Elles n'hésitent plus à virtualiser les environnements de production et des applications très critiques pour les métiers » constate Stéphane Marchini, responsable de l'entité Data Center France d'Accenture. Pour la majorité des grandes entreprises (67 % à 71 % selon leur taille), l'adoption du cloud computing est d'abord synonyme de mutualisation des ressources IT internes. Encore frileuses vis-à-vis des nuages publics, elles envisagent surtout le cloud computing comme une initiative venant chapeauter les efforts déjà consentis en termes de virtualisation.

Le DSI des établissements financiers prêts pour le cloud selon Gartner Une étude de Gartner montre que le cloud est la première priorité des responsables informatiques des établissements financiers. En outre, 39 % des personnes interrogées s'attendent à ce que, d'ici 2015, plus de la moitié des transactions soient prises en charge via l'infrastructure cloud et une solution de Software-as-a-Service (SaaS). Pour la seule région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), 44% des DSI des établissements financiers estiment que, en 2015, plus de la moitié des transactions de leurs établissements seront pris en charge via une infrastructure cloud et 33 % d'entre eux s'attendent à ce que la majorité des transactions soient traitées via une solution SaaS. Une rapidité de déploiement soulignée Parmi les avantages les plus attrayants des cloud bancaires, Gartner met en avant la capacité de déployer (d'une manière économiquement viable) le modèle «champion-challenger» qui vise à ajouter une dynamique concurrentielle à la façon dont les processus sont améliorés et choisis.

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