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Nantes : ils font pousser des micro-forêts 100 fois plus riches en biodiversité

Nantes : ils font pousser des micro-forêts 100 fois plus riches en biodiversité
« MiniBigForest » ou comment faire pousser 300 arbres sur l’équivalent de 6 places de parking ! Même si l’idée peut paraître surprenante, c’est possible. La méthode, qui consiste à créer une micro-forêt native, a été mise au point par un botaniste japonais, Akira Miyawaki : 10 fois plus rapide, 30 fois plus dense, 100 fois plus de biodiversité qu’une forêt traditionnelle. Un duo de nantais a entamé cette révolution arboricole discrète dans l’agglomération nantaise. À une dizaine de kilomètres de Nantes, aux Sorinières, l’abbaye de Villeneuve abrite depuis peu la première micro-forêt native de la métropole. Elle est membre des Colibris depuis quinze ans, cherchant à faire sa part à petits pas. Akira Miyawaki, lui, en est à 40 millions d’arbres dans le monde entier, en suivant une méthode qu’il a découverte en Allemagne dans les années 1960 : le potentiel naturel de végétation. Reproduire une forêt naturelle et autochtone : comment ? Potentiel humain de plantation Related:  Végétaliser le lycéeBIODIVERSITE / Envirronnement

Une forêt non cultivée est une forêt en meilleure santé, par Francis Hallé | Association Francis Hallé pour la forêt primaire Menu Une forêt non cultivée est une forêt en meilleure santé, par Francis Hallé Les Echos publient le 27 juillet 2020 une tribune intitulée « Une forêt cultivée est une forêt en bonne santé » cosignée par Vincent Lefort, président du Syndicat des Mérandiers de France, et Jean-Luc Sylvain, président de la fédération des Tonneliers de France. De mon point de vue, cette tribune contient des inexactitudes et même des contrevérités, ce qui m’incite à produire cette mise au point critique. Mais d’abord je tiens à assurer aux deux co-auteurs que les Mérandiers et les Tonneliers ont toute ma sympathie ; il ne me serait jamais venu à l’esprit, ni de trouver honteuse l’utilisation du bois de chêne pour fabriquer des tonneaux, ni de considérer que l’élevage des grands vins ne servirait qu’à satisfaire des plaisirs futiles. Ce sont des traits de civilisation constitutifs d’un patrimoine culturel qui mérite le plus grand respect. Francis Hallé, Montpellier, 5 août 2020 Pour en savoir plus : Je m'inscris

Paysarbre s’engage pour un retour des haies champêtres dans l'Hérault L’association Lodévoise est au cœur du nouveau dispositif Hérault’Haies, en partenriat avec la FR Civam. Très impliquée dans la vie locale, sur le marché Lodève Printemps récemment par exemple, ou sur La Petite fête de l’arbre chaque année, Paysarbre n’hésite pas à essaimer sur l’ensemble du département avec un programme de balades, ateliers et animations autour de l’arbre et de la nature. Sollicitée depuis deux ans par la Région et l’AFAC Occitanie (le réseau de tous les opérateurs de l’arbre en France), l’association Lodévoise est au cœur du dispositif “Hérault’Haies, plantons des haies ensemble”, visant à inciter professionnels et particuliers à replanter des haies. "Ils cherchaient des associations pour porter la démarche, être un relais dans l’ensemble des départements d’Occitanie. Le Civam assurera la partie administrative pour obtenir des financements, et Paysarbre l’accompagnement sur le terrain, et le suivi des projets de plantation sur 3 ans.

MiniBigForest ou comment renaturer la ville et ses habitants A l'Abbaye de Villeneuve (Nantes) les enfants s'investissent dans leur avenir en participant à la première micro forêt initiée par Jim et Stéphanie (Photo MiniBigForest) On ne le dira jamais assez, les arbres de nos villes, que ce soit dans les rues ou dans les jardins aménagés, ne sont pas de simples objets de décoration. Ils maintiennent la fraicheur en été et réduisent les agressions du froid en hiver. Agissant comme des climatiseurs réversibles naturels, ils absorbent le carbone que nos véhicules et industries, tout en favorisant la vie des insectes et des oiseaux. « Il fait dix degrés de moins dans les mini forêts que sous la chaussée » L’idée n’est pas nouvelle .

google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwj7nM_L0cnmAhUE3qQKHefiA48QFjAAegQIBBAB&url=http%3A%2F%2Fcivam-occitanie.fr%2FProjet-Herault-Haies-92%3Fretour%3D-Planter-des-Haies-%26ancre%3Dart_92&usg=AOvVaw28bF1D2dXCGGMOdlfa En 2019, Paysarbre en partenariat avec la FR CIVAM et soutenue par la Région Occitanie, se lance dans l’accompagnement à la plantation de haies dans l’Hérault. Affiliée à l’Association Française pour l’Arbre et la Haie Champêtres Occitanie, l’association s’appuie sur un réseau régional d’associations opératrices techniques historiques de l’arbre et la haie. Le projet a pour objet d’apporter aux agriculteurs, aux particuliers et aux collectivités de l’Hérault une aide technique et financière pour la plantation et l’entretien d’arbres de pays en haies, alignements ou bosquets. L’accompagnement des bénéficiaires sera formalisée au travers d’une convention et comprend : En contrepartie le planteur s’engage à : Comment ça fonctionne ? Si vous avez déjà un projet : Remplissez le formulaire suivant : >> Formulaire d’inscription << Nous prendrons contact avec vous pour fixer une visite technique afin de coconstruire votre projet de plantation. Vous êtes intéresses mais vous souhaitez plus d’infos ?

Une mini-forêt - Technique Miyawaki - Avenir Permaculture Transformez, même de toutes petits zones, en zones forestières très denses, afin de stocker 30 fois plus de carbone, héberger 30 fois plus de biodiversité, améliorer la qualité de vie et de l’air, recharger les nappes phréatiques, rafraîchir la température… bref, tous les avantages, en plus dense, que peuvent apporter les arbres à l’environnement. Il s’agit d’une technique de plantation de forêt mise au point par un botaniste japonais, le docteur Akira Miyawaki. Cette méthode permet d’installer des forêts ayant une croissance 10 fois plus rapide qu’une forêt spontanée, 30 fois plus denses et accueillant 30 fois plus de biodiversité. Ces forêts réduisent 30 fois plus la pollution aux particules fines, permettent d’augmenter de 30 fois le remplissage des nappes d’eau, d’augmenter d’autant les populations de pollinisateurs et de réduire d’autant l’érosion des sols. Grâce à cette technique, nous obtenons une forêt mature de 100 ans en dix ans seulement.

Arbres et Paysages d'Autan Potagers solidaires : face à la crise, Nantes expérimente la culture de légumes Cultiver des patates, des tomates et des courgettes dans les parcs et jardins, sur des places, à la mairie ou dans les douves du château, à des fins solidaires ? C’est l’idée lancée par la Ville de Nantes pour approvisionner en légumes frais et locaux les habitants fragilisés par la crise économique et sociale liée à l’épidémie de Covid-19. Depuis le confinement, la Banque alimentaire a fourni de nombreuses associations en produits frais et secs. De mars à mai, la Croix-Rouge, le Secours populaire, les Restos du cœur, le Diaconat protestant mais aussi les associations partenaires de Nantes Entraide ont distribué plusieurs milliers de colis alimentaires aux Nantaises et aux Nantais les plus vulnérables. Ces paysages nourriciers ont aussi une vertu pédagogique : suivre l’évolution des cultures, rappeler à quelle saison chaque légume se ramasse, les récolter de manière participative, les redécouvrir et apprendre à les cuisiner pour une alimentation saine, de qualité et locale.

Plan Arbre et Carbone Vivant Pour atténuer le changement climatique et restaurer la biodiversité, la Région s’engage dans un Plan d’action pour l’Arbre et le Carbone Vivant. Au-delà de cette démarche régionale, les efforts de chacun seront utiles. Ensemble, agissons. Un Plan Arbre et Carbone Vivant, mais pourquoi ? Ce plan, lancé par la Région, est issu d’un double constat alarmant : la hausse, au niveau mondial, des températures, une extinction massive de la biodiversité. Deux phénomènes étroitement liés et qui s’accentuent mutuellement. Le changement climatique La Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), dans son Article 1, définit le changement climatique comme étant : « des changements de climat qui sont attribués directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter à la variabilité naturelle du climat observée au cours de périodes comparables. » L’extinction massive de la biodiversité Deux phénomènes liés

Parc, mouton... le lycée Rotrou à Dreux se met au vert ! Le projet lui trotte dans la tête depuis 2013. Mais, cette fois, Christophe Pouant passe à sa réalistaion. Le professeur de SVT du lycée Rotrou se désole du manque d’esthétique des espaces verts de son établissement. Les grandes pelouses, sans arbres, sans aménagements lui ont plus encore sauté aux yeux pendant le confinement. Malgré le confinement, des élèves ont décroché leur Bac brillamment Il a repris à bras-le-corps son projet auquel se sont associés d’autres enseignants ou personnels du lycée comme Jordan Raiess, professeur de SES et Gautier Voillequin, CPE. 1/ État des lieux et solutions Première opération : « On va faire un état des consommations au lycée : l’eau, l’électricité… Cela nous permettra de faire une liste des points à améliorer dans tous les domaines et d’y associer un panel d’élèves très large ». 2/ Aménagement du parc "Les friches seront très utiles pour avoir des insectes et laisser une bande de terrain où les orchidées sauvages se plaisent" 3/ Des moutons au lycée

GARD Trophées de la réserve de la biosphère des Gorges du Gardon Et non, vous ne rêvez pas ! Ce sont bien trois projets gardois qui ont reçu le mardi 5 novembre les Trophées de la réserve de biosphère, au siège de l'UNESCO à Paris. Chaque année, les Trophées de la biosphère récompensent des initiatives originales répondant aux enjeux du développement durable et porteurs des valeurs du programme sur l'Homme et la biosphère de l'UNESCO. Vingt-six projets répartis sur neuf réserves ont été mis à l'honneur lors de cette cérémonie. Ce sont le président de l'association MAB (Man and the biosphère), Didier Babin, et Miguel Clüsener-Godt, directeur de la division des sciences écologiques et de la terre à l'UNESCO, qui ont présidé l’événement. Marion Fraysse, Vivien Bouhey et Pierre-Emmanuel Coste, les trois lauréats de la Réserve de biosphère des gorges du Gardon ont fait le déplacement pour voir leur trois projets distingués. L'ensemble de ces projets innovants, menés avec les enfants à des fins éducatives, est primordial pour l'avenir de notre planète.

Une forêt primaire dans l'UE, le projet fou de l'association Francis Hallé Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Résultats | Vigie-Nature Les tendances 2018 ont été calculées pour toutes les espèces pour lesquelles suffisamment de données étaient disponibles. Cela a permis de calculer également les tendances pour l'ensemble des espèces communes, et pour des groupes d'espèces, généralistes ou spécialistes de certains habitats. Entre 1989 et 2018, les effectifs des oiseaux communs dans leur ensemble ont diminué de 14%. La chute la plus importante concerne les oiseaux spécialistes des milieux agricoles (-38%), tandis que les oiseaux généralistes, pouvant vivre dans des milieux très variés, de la ville aux forêts et aux plaines céréalières, ont augmenté de 22%. Attention : les valeurs présentées ici correspondent à la pente de la droite de régression des courbes, et non à la différence entre la valeur de 1989 et celle de 2018. Résultats par espèces ​Produire des indicateurs à partir des indices des espèces (habitat) La mise à jour des indicateurs Indicateur d’impact du réchauffement climatique Indicateurs de services culturels

Le Pays du Berry Saint-Amandois Depuis 2008, le Pays Berry St-Amandois a mis en place une opération collective de plantation intitulée "Si On Plantait ?". Il s'agit de concourir : - à la conservation de la spécificité du paysage du Pays en favorisant une action collective qui soit à la fois de la sensibilisation, puis de l'action- à réintroduire des arbres de haute tige dans le paysage- à lutter contre la banalisation des paysages- à compenser la disparition des haies par l'implantation d'éléments végétaux variés et adaptés aux sols et à l'image du Pays. Cette opération se caractérise par une aide à l'acquisition de plants selon une liste établie et des critères de plantation. Soutenue financièrement en 2008, 2009 et 2011 par le Conseil Régional et en 2010 par le programme européen LEADER. A partir de 2015, les conditions d'octroi ont évolué légèrement pour privilégier les secteurs à enjeux, selon le diagnostic de la charte paysagère validée en 2015. >> En savoir plus...

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