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Athéisme - L'homme debout. Vivre sans dieu, religion et croyances

Athéisme - L'homme debout. Vivre sans dieu, religion et croyances

Athéisme Au sens large, l'athéisme est défini comme l'absence[1] ou le refus[2] de toute croyance en quelque divinité que ce soit. Le terme s'oppose donc au théisme, toutefois cette définition ainsi posée ne permet pas de le distinguer clairement de l'agnosticisme, de l'antithéisme et de l'apathéisme avec lesquels il peut être confondu. Ainsi, l'athéisme se définit comme la considération qu'il n'existe aucune notion de divinité plausible, prouvable et donc réelle[3],[4],[5], ceci tant pour un dieu unique que pour un ensemble de divinités intégrées dans un même mythe. Au sens fort toutefois, l’athéisme désigne l'affirmation d'inexistence d'une divinité. Cette conception de l'athéisme a changé suivant les auteurs et les époques. Qualifiés tour à tour d'apostats, d'hérétiques, de blasphémateurs, de mécréants ou encore d'infidèles (kufr), les athées ont été et sont toujours largement victimes de persécutions et de discriminations, légales ou non, y compris dans des pays développés et laïques[6].

: Cédric Villani Périphéries, escales en marge Sikhisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Khaṇḍā est le symbole du sikhisme. Le mot « sikh » est dérivé du mot sanskrit शिष्यः (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de शिक्ष (śikṣa), signifiant étude ou instruction[1]. L'expression du monothéisme des Sikhs réside dans le symbole ੴ - ek Ong Kar, que l'on peut traduire par « une seule (ek) conscience créatrice (ong) manifestée (kar) ». Transcrit littéralement cela revient à dire "l'âme de dieu". Histoire[modifier | modifier le code] Gurû Nanak (1469-1539), fondateur du sikhisme, est né dans le village de Talwandi, nommé maintenant Nankana Sahib, près de Lahore, dans l'actuel Pakistan. Après plusieurs années de voyage, Guru Nanak réunit une communauté et fonde un village, Kartarpur - la Ville du Créateur. Guru Arjan construisit également le mondialement célèbre Gurdwârâ - Darbar Sahib, à Amritsar, qui est le centre du Sikhisme. Religion et philosophie[modifier | modifier le code] La religion sikh est strictement monothéiste[5].

Gallica-Mathdoc - Consultation des oeuvres complètes de mathématiciens La bibliothèque numérique Gallica de la Bibliothèque Nationale de France contient les œuvres complètes de nombreux mathématiciens prestigieux. Cette interface est proposée dans le cadre du pôle associé BnF/MathDoc, et vous permet de feuilleter les collections et télécharger les articles ou chapitres qui vous intéressent. En cliquant sur le portrait, vous pouvez consulter la biographie du mathématicien sur le site "History of mathematics archive", Université de St Andrews. Nouveaux volumes ajoutés Laplace : volumes 1 à 6 ; volumes 13 et 14 Euler : série 1, volumes 11 et 12 Les œuvres de D'Alembert présentées ici sont la série intitulée "Opuscules mathémathiques ou Mémoires sur différens sujets de géométrie, de méchanique, d'optique, d'astronomie".

« Oui mais quand même, la religion, c’est mal » Relayer l’information de la énième agression d’une femme voilée, ou les propos haineux tenus sur l’islam par la représentante d’une organisation pseudo-féministe, revient immanquablement à emboucher l’appeau à trolls religiophobes. Que des femmes soient insultées et tabassées, que le féminisme serve de leurre pour répandre et banaliser le racisme le plus crasse, tout cela, le/la religiophobe s’en moque : dans un pays où médias et politiques, de façon plus ou moins insidieuse, désignent à longueur de temps les musulmans comme la cause de tous les maux de la société, son seul sujet d’anxiété est que son droit à « critiquer la religion » soit garanti. Pour l’exprimer, il usera de subtiles gradations dans la virulence, de la simple protestation à l’éructation scatologique probablement censée traduire la hauteur à laquelle il plane dans l’éther philosophique inaccessible aux benêts qui voient du racisme partout : « Moi, je chie sur toutes les religions. » Bon, d’accord. Mona Chollet

Jaïnisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2]. Le jaïnisme ou dharma jaïn compte près de six millions de fidèles dans le monde, ascètes et laïcs confondus, en majorité en Inde[3] (30 000 en Europe et 100 000 aux États-Unis[4],[5]). Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants. La philosophie jaïne[modifier | modifier le code] Symbole Jaïn ; le svastika est un symbole majeur du jaïnisme.

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