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Soufisme

Soufisme
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Removal of the heart: how Islam became a matter of state in Iran | World news The crowning of Ismail as king of Iran in Tabriz in 1501 was low-key, as was his announcement that Shia Islam would henceforth be the official state religion. And yet this was a turning-point in Iranian history, with repercussions up to the present day. Like most Iranians the Safavids (1501-1722) were Sunni, although like many outside Shi’ism they venerated Imam Ali (601-661), the first of the 12 Shia imams. The Sufi orders, sometimes based on trades or guilds, were the main way religion was organised, and they encouraged self-discipline, spirituality and mysticism in varying degrees. Historians have differed on the nature of Iran’s ‘conversion’ under the Safavids: was Iran ripe in some way for Shiism? Making Shi’ism the state religion served to distinguish Iranians from subjects of the rival Sunni-ruled Ottoman Empire. In creating a new order the Safavids looked to Shia Islamic law and to the jurists (mujtahids) specialised in it. In Islam without Allah? But not completely.

Confréries soufies Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans l'histoire de l'islam, le soufisme (tassawuf) s'est très tôt opposé à la casuistique des théologiens, mais il n'en respecte pas moins scrupuleusement la loi. Les soufis ont élaboré une image intemporelle du prophète de l'islam. Histoire[modifier | modifier le code] À l’origine, les premiers ascètes : VIIIe ‑ Xe siècle[modifier | modifier le code] Ahmad ibn ‘Ajiba (1747-1809), soufi marocain, fait remonter une des étymologies possibles du mot tassawuf (soufisme, cf l'article) au mot suffa (le banc), il explique cette provenance par l’idée que : « Les soufis ressemblent aux « Gens du Banc » par la fermeté de leur orientation (vers Dieu) et par leur renoncement au monde ». Cette idée témoigne du caractère éminemment ascétique de la vie des premiers soufis dont l’aspiration et le mode de subsistance rappelaient effectivement leur glorieux aînés qu’étaient les « Gens du banc » (Ahl al-Suffa). « On interrogea Abû Yazid sur l’ascèse.

Jaïnisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2]. Le jaïnisme ou dharma jaïn compte près de six millions de fidèles dans le monde, ascètes et laïcs confondus, en majorité en Inde[3] (30 000 en Europe et 100 000 aux États-Unis[4],[5]). Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants. La philosophie jaïne[modifier | modifier le code] Symbole Jaïn ; le svastika est un symbole majeur du jaïnisme.

Malek Jân Ne'mati, la mystique éclairée | e-ostadelahi.fr Héritière d’un enseignement spirituel réunissant les religions anciennes de l’Iran, l’islam mystique et la culture kurde, « sainte Janie » œuvra au renouvellement de la tradition, en conjuguant contemplation et ouverture sur le monde. Un article de Leili Anvar, publié dans Le Monde des religions de janvier-février 2010, consacré à la soeur d’Ostad Elahi, Malek Jan Ne’mati. Née dans un village reculé du Kurdistan iranien en 1906, Malek Jân Ne’mati, surnommée « sainte Janie », a traversé le XXe siècle en apparence très loin du monde et de ses fracas, dans l’étude, la prière et l’enseignement spirituel. Acter l’égalité hommes-femmes Le village de Djeyhounâbâd, où elle naquit et vécut toute sa vie, est situé dans une région ou la majorité de la population appartient à l’ordre des Ahl-e Haqq. Cet ordre, fondé au XIIIe siècle, repose sur une doctrine spirituelle qui réunit les religions anciennes de l’Iran, l’islam mystique et des mythes propres à la culture kurde. Consulter également :

soufisme : Tariqa Qadiriyya Boutchichiyya Maroc JAIN SYMBOL The Jain Symbol is a congregation of various symbols, each having a deeper meaning. This symbol was adopted by all sects of Jainism while commemorating the 2500th anniversary of the nirvana of Lord Mahavira. The outline of the symbol is defined as the universe (Lok). The lower part of the symbol represents the seven hells (Naraki). The middle part of the universe contains the Earth and the planets (Manushyalok). The upper part contains the heavenly abodes (Devlok) of all the celestial beings and abode of the Siddhas (Siddhashila). The raised hand means stop. The four arms of the swastika remind us that during the cycles of birth and death we may be born into any one of the four destinies: heavenly beings, human beings, animal beings, (including birds, bugs, and plants) and hellish beings. The three dots above the swastika represent the three jewels of Jainism: Samyak Darshan (Right Faith), Samyak Jnan (Right Knowledge), and Samyak Charitra (Right Conduct).

Falyna | Ici la porte est grande ouverte, nul besoin de frapper Du côté de chez soi Retour au silence, retour en soi-même, là est la clef de toute chose. Le test des trois passoires Le test des 3 passoires Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse. Le viel homme, son petit fils et l’âne Le viel homme, son petit fils et l’âne Il était une fois un meunier très vieux . le silence du coeur le vrai silence est celui que l’on fait régner à l’intérieur de soi, c’est parvenir à faire taire ses peurs qui s’expriment au nom de "je" C’est savoir écouter, parler et sentir avec son coeur, une mélodie, un bonheur … Lire la suite Le Bonheur est en Soi Celui qui n’a plus de soucis avec le monde est celui qui s’est reconcilié avec lui-meme Il puise désormais sa source de bonheur en Lui Le silence du sage Faire régner le silence à l’intérieur de soi même c’est parvenir à maîtriser son ego c’est écarter les bavardages incessants de ce "je" trop plein de "moi", barrière illusoire, qui nous empêche de revenir à l’Essence-ciel … Lire la suite l’autre

esprit-universel.overblog.com Adhan Trois mots arabes dérivent de la même racine arabe ʾ-ḏ-n أذن, « annoncer »e[1] signifiant annoncer : Texte et psalmodie de l'adhan[modifier | modifier le code] L'adhan peut être entendu dans tous les pays à majorité musulmane aux heures des cinq prières de la journée. Il s'agit d'une annonce publique comportant des phrases définies qui s'inspirent de la chahada, et qui se fait sous la forme d'une récitation scandée et modulée. Toutefois, certains oulémas, en particulier dans l'école hanbalite, se sont opposés à cette modulation[5]. La mélodie du muezzin. Adhan sunnite Adhan du chiisme duodécimain La version des chiites zaydites est identique, sauf qu'ils rejettent la parole "J'atteste que 'Alî est le régent de Allah". Langue de l'adhan[modifier | modifier le code] Traditionnellement, l'appel à la prière se fait partout en arabe (même dans les pays non arabophones). Statut juridique moderne[modifier | modifier le code] Bangladesh[modifier | modifier le code] Israël[modifier | modifier le code]

Zoroastrisme "L'Iran antique naît vers 2000 av. J.-C. avec l'invasion des cavaliers aryens venus du Turkestan. Et il ne prend fin qu'avec la conquête musulmane, en 642 apr. J.-C. La réforme religieuse de Zoroastre (VIème siècle avant l'ère chrétienne environ) Au VIème siècle avant l'ère chrétienne environ, apparaît un réformateur, Zoroastre (Zarathushtra), qui prêche dans la région de Bactriane. Un nouveau tournant (du IVème siècle avant l'ère chrétienne environ jusqu'à l'arrivée de l'islam): Pendant quelques décennies, de nombreux Iraniens demeurent fidèles à l'enseignement de Zoroastre.

Lila (musique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir lila et Lilas. Le lila (de l'arabe layla, « nuit ») est un ensemble de rituels dans les confréries soufies d'Afrique du Nord. Ce terme se substitue de plus en plus à ceux de hadra (Aïssawa, Jilala), derdeba (Gnaoua), sadaqa ou yad el hadra (Hamadsha). Tous ont en commun de se dérouler la nuit et d'être musical. Dans la musique marocaine, le lila se subdivise en plusieurs parties, au nombre de quatre ou six selon le contexte . dakhlahizhdhikrhormhaddounhadra (de hodour ; « présence ») est un terme difficile à cerner ; il peut revêtir plusieurs réalités. « Hadra » peut désigner l’assistance ou l'assemblée de fidèles dans les rites soufis. À l'origine, « hadra » désigne, en arabe, la transe collective telle qu'elle est pratiquée lors des cérémonies de confréries religieuses marocaines, en particulier les Aïssawas. uqba ou naqchaaâdakouyoumlouk

Zoroastre. Zoroastre, en persan Zerdust, est l'auteur ou le réformateur du Magisme ou Mazdéisme, religion des anciens Perses, des Parthes et des Guèbres, naquit probablement en Médie, dans l'Aderbaïdjan (l'anc. Atropatène ), sous le règne d'un prince du nom de Gouchtasp (qu'on a voulu à tort identifier avec Hystape, père de Darius I). La religion des Mèdes était chargée de pratiques superstitieuses: Zoroastre entreprit de la réformer. Selon les traditions des Perses, il passa la première partie de sa vie à voyager pour conférer avec les sages les plus illustres, Puis il s'enferma dans une grotte pour méditer, fut enlevé au ciel, vit Ormuzd face à face, et reçut de lui mission d'aller prêcher à l'Iran (Perse) une doctrine nouvelle. Il se présenta à la cour de Gouchtasp, qui régnait à Bactres (Balkh ), en Bactriane (La parole vivante). Excessivement âgé, Zoroastre se retira sur le mont Albordj; c'est là qu'il mourut, on ne sait à quelle époque. , lors delà grande irruption des hordes du Touran

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