background preloader

EcriTech’ 10 : Former à la citoyenneté numérique

EcriTech’ 10 : Former à la citoyenneté numérique
Internet est désormais notre nouvelle agora : un espace partagé de publication, le lieu où se joue le débat public, un environnement quotidien où se tissent des liens, des savoirs, des idées, des valeurs. Comment amener les élèves à y participer pleinement, à entrer dans cette communauté d’échanges de façon active, responsable, critique ? Cette question a été au cœur du colloque écriTech’ qui le 27 mars a fêté à Nice sa 10ème édition sur le thème de la citoyenneté numérique. Chercheur.es et enseignant.es ont partagé réflexions et pratiques, éclairé les enjeux, proposé des pistes pédagogiques concrètes. Pour donner à chaque élève un peu plus de pouvoir et mettre dans l’Ecole un peu plus d’utopie ? Pour une Ecole « capacitante » « Quel numérique voulons-nous ? « Le numérique, c’est du pouvoir », insiste Jacques-François Marchandise. « La démocratie numérique n’est pas facultative », conclut Jacques-François Marchandise. Se réapproprier ses traces numériques S’approprier un territoire

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/04/01042019Article636896927289208788.aspx

Related:  2019outils pédagogiques numeriquesidentités numériques - données personnellesSociété et numérique

Charlotte et Julie : " On espère qu'ils comprendront qu'il faut nous faire confiance" "Nous disons NON à cette surenchère de contraintes qui fait passer au premier plan la quantité au détriment de la qualité en mettant de côté le plaisir de la littérature – celui des enseignants et celui des élèves. Nous disons NON à l’obligation d’étudier 24 textes en série générale et 16 textes en série technologique car notre discipline se résumerait alors à du bachotage et non à une découverte enthousiasmante des textes littéraires... Nous disons NON à un programme d’œuvres imposées. Coworking numérique élèves-enseignants centré sur la création de vidéos au (...) COLLEGE STALINGRAD, ST PIERRE-DES-CORPS 2018-2019 Innovation/expérimentation Titre de l’action Co-working numérique et solidaire au collège [REP] Stalingrad Objectifs de l’action, Plus-value attendue pour les élèves / l’équipe / l’établissement • Echanges élève/élève, élève/enseignant, enseignant/enseignant • Développer un usage du numérique solidaire • Développer le co-working Indicateurs et modalités retenus pour évaluer l’action. A quoi verra-t-on les changements ? • Nombre de tutoriels vidéos créés • Nombre de vues • Nombre de références dans l’ENT sur les vidéos créées

Les nouveaux métiers du journalisme Quels sont les nouveaux métiers du journalisme ? - Je suis Gildas Leprince, de la chaîne Youtube Mister Geopolitix. - Et je suis Matthieu Lartot, journaliste au service des Sports de France Télé. Et si on est réunis aujourd’hui c’est pour vous parler de mon métier de journaliste. - Voilà, parce que le mien, tout le monde sait qu’il consiste à faire des vidéos de chatons, des placements de produits et des millions d’euros en Youtube money. - Exactement. Orthographe : L’écriture autorégulée en sixième Pour travailler l’orthographe en 6ème, Marie Soulié, professeure de français au collège Daniel Argote à Orthez, met en œuvre un protocole d’écriture autorégulée. L’exercice dure 5 à 10 minutes. L’enseignante dicte une phrase à toute la classe.

Développer les compétences numériques Compass est une plateforme pédagogique européenne dédiée aux compétences numériques. La méthode Compass, fondée sur l’apprentissage par projets, s'appuie sur le Cadre de référence des compétences numériques DigComp duquel est issue la déclinaison française Cadre de référence de compétences numériques (CRCN). Le site se décompose ainsi en 5 domaines clés : l’information et l’acquisition de données, la communication et le travail collaboratif, la création de contenus numériques, la sécurité et la résolution de problèmes dans un environnement numérique. L'utilisateur a besoin de créer un compte et de passer un test d'évaluation pour pouvoir travailler tel ou tel domaine du cadre en lien avec l'objectif de carrière visé. Cette évaluation permet de profiler les différentes leçons qui sont ensuite proposées à l'internaute. Pour cela, il se doit de télécharger une application pour accéder au contenu.

Nadia Lépinoux-Chambaud : Des élèves "journalistes" sur Twitter Comment enseigner le numérique, cette « socialisation de l’informatique » selon Bruno Devauchelle ? Comment par exemple, former les élèves aux circuits de production et de diffusion de l’information tels que les transforment les réseaux sociaux ? Au collège de Montrésor en Indre-Et-Loire, la professeure-documentaliste Nadia Lépinoux-Chambaud a lancé un projet original : Flash Tweet Edu. La tâche confiée aux élèves est de produire un journal en 10 tweets : pour cela, ils doivent concevoir une ligne éditoriale, chercher, valider et hiérarchiser les informations, les publier en ligne et en direct sur Twitter. Mené en partenariat avec les professeur.es de lettres et de sciences, le projet constitue une Education active aux Médias et à l’Information, développe des connaissances pluridisciplinaires, permet de travailler des compétences transversales. Avec une belle ambition : que les élèves apprennent à agir et interagir comme citoyens du web.

Vers une libération des usages pédagogiques en ligne Le droit d’auteur est une matière souvent désespérante tant parait encore important le fossé entre les possibilités offertes par le numérique en matière d’accès à la connaissance et les restrictions juridiques qui entravent toujours ce potentiel. La frustration est particulièrement importante en ce qui concerne les usages pédagogiques pour lesquels Internet pourrait offrir de formidables opportunités. Mais ils sont organisés en France sur la base d’une exception au droit d’auteur qui, si elle s’est un peu élargie au fil du temps depuis son introduction dans la loi en 2006, reste encore largement inadaptée dès qu’il s’agit de réutilisation et de diffusion de contenus sur Internet. Une discussion est en cours au niveau européen pour revoir ce mécanisme dans la future directive sur le droit d’auteur, afin de favoriser notamment l’usage d’œuvres protégées dans l’enseignement à distance. Mais… Communication à un nouveau public ?

Marie-Hélène Flament : Un prix Nobel de littérature dialogue avec des 6èmes ! Travailler le français en lien avec un.e écrivain.e : une ambition démesurée ? Marie-Hélène Flament l’a remarquablement réalisée : ses 6èmes du collège Jean Renoir à Neuville-sur-Saone ont lu-écrit-échangé dans le compagnonnage du romancier prix Nobel de littérature Jean-Marie-Gustave Le Clézio. Les interactions, avec l’auteur, mais aussi avec des classes de CM pour une liaison cycle 3, favorisent l’implication et les questionnements, stimulent « la réflexion et l'imagination », transforment le regard sur la littérature, perçue comme lointaine. Durant ce projet annuel, diverses activités collaboratives apprennent à faire communauté, dans la classe, à faire réseau, avec un écrivain, avec d’autres élèves, à faire société, autour de la culture, de la lecture, de l’écriture. Jusqu’à rendre la littérature réellement contemporaine aux élèves ?

sans titre Auditionné le 8 novembre par la commission des finances du Sénat, le ministre de l'Education nationale considère que "rien ne justifie" le fait que l'Etat finance les manuels scolaires des collégiens, alors que les collectivités locales prennent en charge ceux des écoles et des lycées. Au menu également de son intervention : le numérique éducatif, les rythmes scolaires, les contrats aidés pour accompagner les élèves handicapés, la médecine scolaire... "Il n'est pas logique que le ministère de l'Education nationale finance les manuels scolaires des collèges alors que pour les autres niveaux, écoles et lycées, cela relève des communes et des régions. D'un point de vue cartésien, rien ne justifie cette exception", a déclaré Jean-Michel Blanquer, le 8 novembre au Sénat, où il était auditionné sur le PLF 2018 par la commission des finances. Le budget des manuels scolaires passe de 210 millions à 16 millions d'euros

Bac de français : Quelle question de grammaire ? A quoi ressemblera la question de grammaire, notée sur 2 points, dans le nouvel oral des épreuves de français au baccalauréat ? La note de service stipule que cette question « ne peut concerner qu’un passage de l’extrait faisant l’objet de l’explication de texte » et qu’elle « vise l’analyse syntaxique d’une courte phrase ou d’une partie de phrase. » Les ressources d’accompagnement en livrent désormais 4 exemples autour du « lac » de Lamartine : on y invite soit à des « analyses » (sur « l’expression de l’interrogation » ou sur « la négation »), soit à des « transformations », à expliquer (des passages à la subordination). Les exemples portent exclusivement sur le programme de première, non sur le programme de seconde que les élèves actuellement en première n’ont pas suivi. La maitrise des notions grammaticales est évaluée, mais aussi la capacité de manipulation, ce que la note de service ne suggérait pas. Collecte de réactions enseignantes … Les textes officiels se contrediraient-ils ?

Related: