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Jean-marc manach

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Web scraping Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le web scraping (parfois appelé harvesting) est une technique d'extraction du contenu de sites Web, via un script ou un programme, dans le but de le transformer pour permettre son utilisation dans un autre contexte comme l'enrichissement de bases de données, le référencement[1] ou l'exploration de données. Légalité[modifier | modifier le code] Aux États-Unis[modifier | modifier le code] Aux États-Unis, la société hiQ Labs utilise le web scraping sur les données de LinkedIn à des fins de recrutement. À la suite d'un procès, la Cour d'appel des États-Unis pour le neuvième circuit donne raison à hiQ en septembre 2019 : la cour considère notamment que les utilisateurs conservent la propriété de leurs profils, et que les données étant librement diffusées sur Internet, elles peuvent être collectées[2]. En Europe[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] Technologies[modifier | modifier le code]

On the Internet, nobody knows you're a dog Peter Steiner's cartoon, as published in The New Yorker History[edit] Peter Steiner, a cartoonist and contributor to The New Yorker since 1979,[5] said the cartoon initially did not get a lot of attention, but that it later took on a life of its own, and he felt similar to the person who created the "smiley face".[1] In fact, Steiner was not that interested in the Internet when he drew the cartoon, and although he did have an online account, he recalled attaching no "profound" meaning to the cartoon; it was just something he drew in the manner of a "make-up-a-caption" cartoon.[1] In response to the comic's popularity, he stated, "I can't quite fathom that it's that widely known and recognized Context[edit] The cartoon marks a notable moment in the history of the Internet. The cartoon symbolizes an understanding of Internet privacy that stresses the ability of users to send and receive messages in general anonymity. In popular culture[edit] See also[edit] References[edit] Further reading[edit]

BUG BROTHER GoogleFinance, la formule magique pour vos Google Sheet Trouver, importer et convertir sont souvent parmi les tâches ingrates lors de la préparation d’un fichier de calcul sur quel que logiciel que ce soit. Je le vis régulièrement avec Excel. Dans mon travail de comptable, j’ai pu observer l’évolution des logiciels comptables ces dernières années. Je ne parle pas des grosses machines comme SAP ou Sage 100. Non, laissons cela pour les multinationales. Ces logiciels comptables sont maintenant capables d’importer les cours de change quotidiens. De son coté, Google Sheet est souvent décrié par beaucoup car pas encore suffisamment à la hauteur d’Excel. Voici une formule qui n’existe pas dans ce dernier. Conversion de devises Si vous avez besoin de convertir des devises, par exemple pour assurer le suivi des revenus ou des investissements à l’étranger, mettre à jour les derniers taux de change pour garder vos calculs mis à jour est une plaie. Par exemple, pour obtenir le taux de change de Dollars US en Euros que vous utiliseriez : 31 janvier 2011

Tout le monde a droit à son 1/4h d’anonymat « Dans le futur, chacun aura droit à 15 minutes de célébrité mondiale », avait prophétisé Andy Warhol, en 1968. En 2010, 42 (!) ans plus tard, je m’étais permis de rétorqué que, et a contrario, « dans le futur, chacun aura droit à son quart d’heure d’anonymat ». Clemence Mercy m’avait croisé à Londres, il y a près d’un an, lors de la conférence de lancement des Spy Files de WikiLeaks, du nom donné à la publication des plaquettes de promotion publicitaire des marchands d’armes de surveillance à laquelle j’avais contribué (voir Internet massivement surveillé, Réfugiés sur écoute, & l’intégralité de la saga des SpyFiles). Pour mieux comprendre ce dont il est question, Clémence avait proposé de m’interviewer, pour faire le point sur ces questions, savoir jusqu’où l’on pouvait être espionné, et comment s’en protéger. – Les Spy Files de Wikileaks évoquaient notamment le cas de compagnies occidentales (comme Amesys) vendant des logiciels à des dictatures arabes à des fins de surveillance. Non.

Fatal Realities of Fortress Europe Border management & externalisation Numerous deaths, especially those that remain undocumented, are a direct consequence of the repeated reinforcement of EU borders. Not content with excessive policing and militarisation of the borders, common practice is now to extend, move and redraw them as a response to migration flows. The externalisation of the EU’s political borders can be seen mostly in North African countries, whose coasts are the starting point for many migrant journeys into Europe, especially to Spain, Italy and Greece. The Italy-Libya Agreement, validated in 2005 and re-signed for another 5 years in 2010 demonstrates how the European countries systematically evade international treaties in managing immigration. In May 2010, 18 alleged criminals were executed in Tripoli and Benghazi. By contracting out border policing, migrants are subjected to the inhumane treatment that the Human Rights Convention prohibits. Detention Deportation Process ineffectiveness Unaccompanied minors

Amesys vend sa mauvaise conscience Neuf mois après la révélation, par Reflets.info et OWNI, que la France avait vendu un système de surveillance de l'Internet à Kadhafi, le groupe Bull décide de se séparer de cette branche de ses activités. Le Groupe Bull, fleuron de l’informatique française, vient d’annoncer, dans un communiqué, avoir “signé un accord d’exclusivité pour négocier la cession des activités de sa filiale Amesys relatives au logiciel Eagle“. Contrairement à ce qu’affirme la dépêche AFP, le groupe Bull ne se sépare pas d’Amesys, qu’il avait racheté en 2009, mais uniquement du système Eagle de surveillance de l’Internet, soit quelques dizaines de salariés tout au plus, sur les 900 collaborateurs de l’entreprise. Ce système, présenté par Bull comme étant “destiné à construire des bases de données dans le cadre d’interception légale sur internet“, avait fait scandale l’an passé lorsqu’on découvrit qu’il avait été utilisé par la Libye de Kadhafi. Dans un documentaire intitulé “Traqués !

Plus la délinquance baisse, plus la violence augmente Brice Hortefeux a présenté des statistiques de la délinquance en baisse. A partir des mêmes données, OWNI démontre que les violences physiques ont, elles, explosé de 90%. La sécurité ne doit pas être un thème de polémique, c’est un thème d’union, qui doit rassembler, mais les Français doivent savoir la vérité. Fait relativement inédit, Brice Hortefeux a tenu à illustrer, dans le JT de TF1, la baisse de la délinquance dont il s’enorgueillit avec un graphique pédagogique. Il y a une baisse de la délinquance globale, de plus de 2%, plus forte encore que celle de l’année dernière, et qui s’inscrit dans la durée, puisque cela fait 8 ans qu’il y a une baisse de la délinquance année après année. Pour illustrer son propos, Brice Hortefeux a donc sorti un graphique montrant une hausse de 17,8% de la délinquance de 1996 à 2002, suivi d’une baisse de 16,2% depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy au poste de ministère de l’Intérieur. +90% de violences physiques Des statistiques “indépendantes” ?

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