2572-09 - Avis au nom de la commission de la défense sur le p Enregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 12 octobre 2005. SUR LE PROJET DE loi de finances pour 2006 (n° 2540) PAR M. Député. Voir le numéro : 2568 (annexe n° 10) Pages 1. 2. 1. 2. 1. 2. 1. 2. 3. 1. 2. D'un point de vue historique, la construction de la force de dissuasion a entretenu des liens très étroits avec l'espace. L'étude au sein d'un même rapport des questions d'équipement des forces liées à la dissuasion, aux communications et à l'espace reste on ne peut plus pertinente, y compris dans le cadre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF). Leurs poids budgétaires sont importants, puisque la dissuasion représente de l'ordre de 20% des crédits d'équipements et que les systèmes de communications, de renseignement et de commandement correspondent pour leur part à environ 9 à 10 % de ces mêmes crédits. Surtout, ils constituent de véritables enjeux de souveraineté. Les deux derniers programmes concernés par la dissuasion le sont de manière beaucoup plus modeste.
Surveillance électronique planétaire Surveillance électronique planétaire (revue de presse) Surveillance électronique planétaire Dispersées à la surface du globe, les bases militaires du réseau anglo-américain Echelon focalisent de nouvelles possibilités de surveillance planétaire. L'utilisation de satellites pour retransmettre les communications permet aux services secrets des principales puissances de capter, à la volée, les conversations téléphoniques, les fax, les courriers électroniques. Source: Le Monde Diplomatique (Août 2001) USA vs World Bien loin des jeunes loups bcbg qui délivrent du scoop à la demande, Duncan Campbell est un journaliste écossais aguerri à la quête d'informations. Une des questions les plus simples porte sur l'existence même d'Echelon. Tout au long des années 90, les informations ont circulé et les sites se sont graduellement révélés au grand public. Des amis se sont même introduits avec une simple échelle dans une station Echelon et ont pris des photos. Echelon, qualité filtre Genèse des travaux
La Délégation Générale pour l'Armement Mon propos n’est pas de dresser ici un panorama historique complet de la guerre électronique – les interventions retranscrites plus haut y contribuent largement –, mais plutôt d’évoquer quelques réflexions sur la guerre de l’information, dont la guerre électronique fait partie. Tout au long de l'histoire, la manière dont les hommes et les femmes ont fait la guerre a été à l'image de leur façon de vivre et de travailler. Depuis quelques années, nous entrons progressivement dans la " société de la troisième vague ", comme l'appellent Alvin et Heidi Toffler, société où la connaissance est la ressource centrale de l'économie, valeur intangible et inépuisable. La guerre du Golfe, en 1991, en a été une démonstration. de détruire les centres de commandement de l'ennemi ; de mettre hors service les systèmes de communications, pour empêcher l'information de circuler dans la hiérarchie militaire ; de prendre l'initiative ; de frapper en profondeur ; de synchroniser les opérations combinées ; Alan D.
Guerre de l’information made in France | InternetActu.net “La guerre du Golfe fut une guerre où une once de silicium dans un ordinateur a pu avoir plus d’effet qu’une tonne d’uranium“. Alan D. Campen, The First Information War “Le secteur des technologies de l’information et de la communication doit constituer une priorité nationale, comme le fut en son temps le nucléaire“, déclarait le député (UMP) Bernard Carayon dans son rapport sur le budget 2006 intitulé “Environnement et prospective de la politique de défense“. De même que, sous l’impulsion du général de Gaulle, la France se lança dès 1945 dans la course à la bombe atomique, la France investit aujourd’hui dans la “guerre de l’information“, tant pour ne pas être distancée par les Etats-Unis que pour conforter sa souveraineté nationale, et l’Europe de la défense. Notion parfois fourre-tout, recoupant à la fois les mondes civils et militaires, elle connaît de nombreuses définitions (.pdf). “Eh oui, chers amis continentaux, nous vous avons espionnés” Les Etats-Unis sont encore plus clairs. 1.
« HERISSON n'a rien à voir avec le système Echel La semaine dernière, un étrange, et quelque peu inquiétant, animal est apparu au grand jour : HERISSON. « La France serait-elle en voie de mettre en place l’équivalent d’un réseau Echelon dans l’hexagone pour surveiller et cataloguer tous les faits et gestes de tous les médias, radio, TV et internet compris ? », se demandait alors PC Inpact à l’origine de la médiatisation de l’appel d’offres de ce projet commandé par la Délégation générale pour l’armement (DGA), la direction du ministère de la Défense notamment responsable des essais et évaluations des systèmes de défense. Et pour cause, le système est décrit comme capable d’accéder et de collecter tout ce qui est diffusé dans les médias en ligne et de gérer notamment tous les contenus transitant via IRC, mailing-list, forums, p2p, etc., dans un large éventail de formats (vidéo, audio, images, texte), et de protocoles (POP3, FTP, etc.). Tout d’abord, pouvez-vous confirmer l’authenticité des documents publiés par PC Inpact ? Oui. Non.
Frenchelon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne pas confondre avec le système français Emeraude Frenchelon (ou French Echelon) est le surnom du supposé système d'espionnage des télécommunications opéré par la France. « Frenchelon » fait référence au programme anglo-saxon connu sous le nom d'Echelon, combiné avec « French », qui signifie « français » en anglais. Il serait sobrement baptisé « infrastructure de mutualisation » par divers acteurs du renseignement français[1]. Son existence n'a pas été officiellement reconnue par les autorités françaises, bien que de nombreux journalistes français[2],[3] et anglo-saxons[4], se fondant sur des sources militaires, en aient parlé depuis que les instances européennes se sont intéressées à Echelon, ou encore dans le cadre de la lutte antiterroriste[5]. Présentation[modifier | modifier le code] Autres systèmes du même type en France[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]
Herisson : l'armée française veut surveiller le net en profondeu L'information est une composante stratégique essentielle dans la stratégie militaire. Il n'y a donc rien de surprenant à ce que l'armée cherche à surveiller Internet et l'ensemble des communications sensibles qui pourraient avoir un impact sur la sécurité nationale. Mais avec le système HERISSON, détaillé par notre confrère PC Inpact, la France veut se doter d'un outil de surveillance de grande envergure qui alimente le risque d'un Big Brother à la française. Le Système HERISSON ("Habile Extraction du Renseignement d'Intérêt Stratégique à partir de Sources Ouvertes Numérisées") vise à surveiller et à référencer dans une base de données toutes les communications et les contenus véhiculés par tous les médias, en particulier Internet. Le projet a été évoqué dans un appel d'offres lancé en avril 2007, portant sur les "conception réalisation et évaluation d'un plate-forme dédiée au traitement des sources ouvertes pour le renseignement militaire d'intérêt stratégique".
Zone d'Intérêt: Hérisson et OSINT La DGA confirme le développement d'un démonstrateur technologique visant à la collecte d'informations numériques en sources ouvertes. La récente médiatisation de l'appel d'offre (2007) de la DGA concernant le système HERISSON (Habile Extraction du Renseignement d'Intérêt Stratégique à partir de Sources Ouvertes Numérisées), a suscité des craintes , dont une comparaison entre le démonstrateur français et le réseau américain Echelon. Pour rappel, le réseau américain Echelon, chapeauté par la NSA, est un réseau global d'interception des communications, qui vise les données privées. Il comprend toutefois des systèmes de collecte d'informations en sources ouvertes. Le programme HERISSON vise à la création d'une plate-forme intégrant de multiples outils de collecte de l'information, sur les réseaux ouverts, en exploitant les protocoles (HTTP, FTP, IRC, P2P, POP3) et formats de fichiers (texte, audio, vidéo) les plus courants.
Système Hérisson : La France se pique au réseau Echelon (MàJ) - Mise à jour 24 mars 2009 : Dans une interview publiée par Ecrans.fr, la Délégation générale pour l’armement (DGA) confirme l’authenticité des documents relatifs au projet HERISSON évoqués dans nos colonnes, tout en relativisant leur portée. « Il s’agit de ce qu’on appelle le cahier des clauses techniques particulières (CCTP), et il était en annexe de l’appel d’offres » explique la DGA qui indique au passage que le document n’était pas classé secret défense. Elle précise qu’HERISSON (Habile Extraction du Renseignement d'Intérêt Stratégique à partir de Sources Ouvertes Numérisées)est un « démonstrateur technologique », une sorte de prototype avec pour « objectif […] de tester, d’évaluer les logiciels dans le commerce et les logiciels libres capables de traiter des sources ouvertes. Il en existe plein, mais tous ne sont pas stables. Alors, on va regarder lesquels sont les plus performants et pourraient nous être utiles. Un appel d'offres lancé en 2007 IRC, Newsgroup, FTP, P2P, HTTP, etc.
Admiral Studeman on Open Source Intelligence FAS | Secrecy / Intelligence |||| Index | Search | FAS Intro: The following discussion of the history of the Foreign Broadcast Information Service and open source intelligence was presented by Admiral William Studeman at the First International Symposium on Open Source Solutions in December 1992. It is reproduced here with the permission of Open Source Solutions, Inc. It's a pleasure to be here today to take part in this symposium. A number of people that I've talked to -- including Members of Congress, journalists, and the publlc -- have asked me to explain why intelligence organizations are interested in unclassified information. This in not a new issue for intelligence. The information that FBIS has collected over the years has been critical to US national security decisionmakers. Few people realize that during the 1962 Cuban missile Crisis, through monitoring Radio Moscow, FBIS provided President Kennedy with the first news of the Soviet decision to withdraw missiles from Cuba.