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Vers une économie de la contribution

Vers une économie de la contribution
La solution du capitalisme à bout de souffle pourrait bien être à chercher du côté des logiciels libres. Bernard Stiegler, philosophe, appelle à passer "du consumérisme toxique à une économie de la contribution". Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. En 2005, parmi d’autres voix peu écoutées alors, une association française, Ars Industrialis, lancée par quatre philosophes et une juriste, avait sonné le tocsin. A l’époque, leur manifeste décrivait les dangers d’un capitalisme “autodestructeur” et la soumission totale aux “impératifs de l’économie de marché et des retours sur investissements les plus rapides possibles des entreprises” et notamment celles actives dans les médias, la culture ou les télécommunications. Malaise du consumérisme L’homme habite un petit moulin industriel reconverti en maison à Epineuil-le-Fleuriel, au beau milieu de la France paysanne. Où se situe la solution ? Poison et remède Telecomix

http://owni.fr/2011/11/30/vers-une-economie-de-la-contribution/

Détail d'un article de code I. ― Il est institué, à compter du 1er juillet 2011, une taxe sur l'achat de services de publicité en ligne. Par services de publicité en ligne sont désignées les prestations de communication électronique autres que les services téléphoniques, de radiodiffusion et de télévision dont l'objet est de promouvoir l'image, les produits ou les services du preneur. II. ― Cette taxe est due par tout preneur, assujetti à la taxe sur la valeur ajoutée au sens de l'article 256 A et établi en France, de services de publicité en ligne et est assise sur le montant, hors taxe sur la valeur ajoutée, des sommes versées au titre des prestations mentionnées au I. III. ― Le taux de la taxe est de 1 %. Bien-être et entreprise sont-ils des oxymores Individualisme ambiant, concurrence acharnée, mondialisation, rigidités législatives sont autant de bonnes raisons pour lever les bras au ciel et constater qu'on n'y peut rien. Il est trop facile d'accuser l'autre et de ne pas balayer devant sa porte. Pour réfléchir au bien-être, il est nécessaire de porter son attention sur la notion d'« être » en entreprise. Il ne faut pas être grand psychologue pour comprendre qu'un salarié épanoui est plus efficace et créatif dans son travail. Il y a dans l'entreprise des tensions positives et des tensions négatives.

Les leçons de l’Équateur pour l’annulation de la dette illégitime Le peuple équatorien contre la dette A partir de la fin des années 1990, une série de mouvements sociaux équatoriens, notamment Jubilé 2000 Guayaquil (la ville commerciale la plus importante et le plus grand port de l’Équateur), a commencé à mener campagne contre la dette injuste réclamée au pays. Les positions de ces mouvements sociaux étaient au départ assez modérées et confuses. Par exemple, ils se sont rendus à une réunion du Club de Paris en 1998 en pensant qu’ils pourraient négocier une restructuration de la dette équatorienne et obtenir un allègement très important.

"Présence connectée" au travail : les usages de la messagerie instantanée, le genre des "questions rapides" et l’économie morale de la "contribution" Christian Licoppe, Renato Cudicio, Serge Proulx Résumé Nous analysons le développement et l'organisation séquentielle d'un genre communicationnel — les "questions rapides" — dans deux entreprises canadiennes, organisations où l'accès à un système interne de messagerie instantanée a été généralisé à tous les membres. A partir d'un corpus de messages, d'entretiens et d'observations vidéo, nous montrons que cette forme d'échange constitue un format interactionnel et séquentiel analytiquement observable et spécifiable, et un ‘genre communicationnel' à part entière, reconnu comme tel par les acteurs. Abstract

Ces pays qui ont dit non à la dette IRIB- Face à l'endettement massif, qui menace différents pays du monde, dont la zone euro, peut-on dire non à la dette ? Avec l'annulation de la dette de la Tunisie par la France, le sujet revient sur le tapis : est-il possible d’annuler la dette ? Si oui, comment procéder ? Comment s’en sont sortis les pays qui ont dit non à la dette ?

« Quel travail voulons-nous ? » L'enquête de Radio France vue par Xavier Bertrand Publié le 12-FEB-12 par ANACT | Imprimer Le 23 janvier dernier, Radio France organisait une journée spéciale autour de sa grande enquête « quel travail voulons-nous ? Dictature militaire de l'Uruguay (1973-1985) La montée des militaires[modifier | modifier le code] Bordaberry[modifier | modifier le code] Entre le 27 juin 1973 et décembre 1973, 196 personnes furent arrêtées et inculpées de « subversion »[9] ; 432 en 1974[9] ; 320 en 1977[9], etc. Cent syndicalistes furent arrêtés en 1977[9]. Le régime libéralise massivement l’économie et s'attaque au « cout du travail », décrit comme excessif[10].

HR Innovation Camp Le bien-être des salariés est au cœur de la performance de l’entreprise et de sa capacité à stimuler l’innovation en interne. Ce bien-être passe avant tout par l’environnement de travail, son organisation et son aménagement. Ces caractéristiques reflétant le style de management institué dans l’entreprise. Ces dernières années, on a beaucoup parlé des open spaces, souvent en les critiquant. Promiscuité, contrôle, bruit, odeurs, stress, ces espaces étaient sources de souffrance pour de nombreux salariés.

Conflit armé guatémaltèque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le conflit armé guatémaltèque est un conflit asymétrique qui oppose entre 1960 et 1996 différentes guérillas marxistes au gouvernement du Guatemala. Débuté par un soulèvement d'officiers le 13 novembre 1960 contre l'influence des États-Unis, le conflit se finit en 1996 par un accord de paix signé entre les groupes armés et le gouvernement grâce à l'action de la Mission des Nations unies pour la vérification des droits de l'homme et du respect des engagements pris aux termes de l'accord général relatif aux droits de l'homme au Guatemala (Minugua). Mêlant des causes sociales, économiques, politiques et ethniques, le conflit fait plus de 100 000 morts, des dizaines de milliers de disparus et 1 000 000 déplacés[1]. La Commission pour l'éclaircissement historique attribue 93 % de ces violences aux troupes gouvernementales, 3 % aux groupes guérilleros et 4 % à des acteurs non-identifiés. Contexte historique[modifier | modifier le code]

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