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Pourquoi Crispr révolutionne la manipulation génétique

Pourquoi Crispr révolutionne la manipulation génétique

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Related:  Transmission, variation et expression du patrimoine génétiqueSVT : NanotechnologiesCRISPR-CAS9

CRISPR-Cas9 : le couteau suisse qui révolutionne la génétique Six millions de dollars. À lui seul, ce chiffre résume l’engouement actuel pour un nouvel outil de génie génétique aussi puissant qu’imprononçable : « CRISPR-Cas9 ». Cette somme a en effet été décernée à ses deux co-inventrices – la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna – par le prestigieux Prix « Breakthrough 2015 in Life Sciences » créé par les fondateurs de Google et Facebook. Il faut dire que CRISPR-Cas9 constitue une véritable révolution en mettant le génie génétique à la portée de n’importe quel laboratoire... À la clef, l’espoir de traiter de nombreuses maladies génétiques incurables. « Il faut arrêter de prendre les ados pour des cons : on peut leur parler de transhumanisme » « Qui sont les transhumanistes ? ». C'est la question posée par Florence Pinaud et Elodie Perrotin dans le livre du même nom, sorti en février aux éditions du Ricochet, dans la collection POCQQ, qui s'adresse aux adolescents « pour traiter des sujets d’actualité avec la distance qui permet à chacun de se faire une opinion. » On a demandé à l'auteure et à l'illustratrice comment elles s'y sont prises pour démystifier ce sujet complexe et difficile à appréhender, qui se caractérise par une grande multiplicité d'acteurs et de sensibilités. Florence Pinaud, journaliste et auteure, s’intéresse au transhumanisme depuis quelques années déjà.

Crispr-Cas9 : l’édition génomique pour vaincre le cancer Un premier test clinique se déroule aux États-Unis : l’outil d’édition génétique CRISPR-Cas 9 est utilisé pour traiter les cancers. Les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie à Philadelphie sont en train de tester s’il est possible de booster les cellules immunitaires des patients atteints de cancers. Ainsi, ils ont prélevé les lymphocytes T de trois patients, respectivement atteints de myélomes multiples et d’un sarcome. L’épigénétique mène le génome à la baguette Identifiées chez la mouche drosophile il y a plus de 70 ans, les protéines Polycomb et Trithorax apparaissent depuis peu comme des régulateurs essentiels de l’expression de nos gènes. Retour sur les travaux récents mettant en lumière le rôle de ces complexes protéiques et les perspectives médicales que soulèvent ces découvertes. Depuis une petite dizaine d’années, l’épigénétique a le vent en poupe. Cette branche de la biologie s’intéresse aux mécanismes moléculaires capables de réguler l’expression des gènes sans pour autant modifier la séquence nucléotidique dont ils découlent. Parce qu’elle ne modifie pas la partition du code génétique mais la manière dont celle-ci sera lue, l’épigénétique tient en quelque sorte le rôle de chef d’orchestre du génome.

Transhumanisme : de l’homme réparé à l’homme augmenté - Agorize Le transhumanisme, c’est l’amélioration de l’homme par la technologie : l’homme augmenté. Faire vivre les gens plus longtemps et en bonne santé, améliorer leurs capacités mentales, physiques et émotionnelles, constitue la base des recherches transhumanistes. Tout cela est favorisé par l’avancée des NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives). Depuis ses origines jusqu’aux rêves d’immortalité les plus fous, voici tout ce que vous devez savoir sur le transhumanisme. Nous avons commencé à parler de transhumanisme avec Raymond Kurzweil, considéré à ce jour comme le “pape” du mouvement. Alors que son père meurt tragiquement d’un infarctus à l’âge de 58 ans, on diagnostique au jeune Ray un diabète de type 2.

Ma très chère thérapie génique Le Téléthon 2019 a permis de récolter près de 75 millions d’euros ce week-end. Trente-deux ans après sa création, la thérapie génique est devenue une réalité. Il y a aujourd’hui dans le monde une dizaine de médicaments en circulation, la plupart pour traiter des maladies rares, mais la thérapie génique est porteuse de nombreuses promesses notamment dans le traitement du cancer, voire pour lutter contre le VIH. Mais la route qui mène vers une généralisation de ces traitements est encore semées d’embûches, et notamment d’une de taille : celle du prix des médicaments, qui peuvent se chiffrer en centaines de milliers, voire en millions de dollars. Il y a 60 ans, la découverte de l'ADN ANNIVERSAIRE. Le 25 avril 1953, deux jeunes chercheurs – Francis Crick, 36 ans, et James Watson, 24 ans – publiaient les fruits de leur recherche, dans un article de la revue Nature accompagné de quelques dessins (image ci-contre). Peu de chercheurs allaient alors se rendre compte de l’importance de cette découverte.

Nanomatériaux : voir le futur en petit ! Quatrième jour de notre semaine spéciale depuis le 87ème congrès de l’ACFAS, l’Association Francophone pour le Savoir depuis le campus de l’Université du Québec en Outaouais, à Gatineau. Après la place de la francophonie dans la recherche, après la relève et la lutte contre la science décousue et les infox, on remonte les manches pour plonger dans le dur de la recherche de pointe, qui génère beaucoup d’intérêt et d’investissement, ici au Canada comme en Europe : les nanomatériaux. Ces matériaux dont les propriétés à l’échelle nanoscopique ouvrent d’immense champs d’applications, tant dans la médecine que dans l’électronique ou dans l’industrie, la ruée vers l’or nanométrique a commencé, non sans susciter quelques inquiétudes en matière de santé publique. Nanomatériaux : voir le futur en petit ! C’est le programme minuscule qui est le nôtre pour l’heure qui vient.

CRISPR peut archiver la vie d'une cellule et détecter les maladies CRIPSR, l’outil star de la génétique, ne sert pas qu’à modifier les gènes. Les ciseaux moléculaires peuvent aussi transformer l’ADN en bande enregistreuse et ouvrent de nouvelles pistes pour documenter l’histoire des cellules ou détecter rapidement – et à moindre coût – les infections virales et les cancers. Trois études publiées le 15 février dernier dans la revue Science soulignent la diversité des applications potentielles promises par CRIPSR. Denisova : notre cousin d’Asie sort de l’ombre À Leipzig, la cafétéria de l’institut Max-Planck d’anthropologie évolutionnaire bruisse souvent des rumeurs annonçant la publication d’une découverte majeure. Il faut dire qu’elles se succèdent à un rythme étourdissant depuis la fondation de cet institut. Pour autant, l’année 2010 reste marquée dans les mémoires par une agitation exceptionnelle autour du buffet des crudités. Car 2010 fut d’abord l’année du décryptage du génome d’Homo neanderthalensis ; puis celle de la découverte d’un type complètement nouveau d’homme fossile par des moyens jusque-là inédits : le séquençage de traces d’ADN dans un minuscule fragment d’os ! Depuis quelques années déjà, la grande aventure de la paléogénétique – c’est-à-dire de l’étude de l’ADN d’organismes du passé ancien – avait pris son essor à l’institut, conduite par mon collègue Svante Pääbo. Retentissant, car décrypter l’ADN nucléaire ancien est longtemps resté une gageure.

Blanca Li . Événement . Robot Commentaire de Martial Leroux, musicologue : C'est peu de dire que j'ai aimé, j'ai adoré ce spectacle tissé de poésie, de mystère, de magie, d'onirisme, de suspension et qui, en outre, a le mérite de ne pas nous bercer d'illusions, en sachant nous ramener dans un état de veille interrogative, quasi philosophique, sur le devenir du monde, les rapports étroits entre l'homme et la machine, l'impossibilité pour l'homme d'échapper à son destin, et l'ineffable avenir auquel est confronté l'être humain. Il y a des moments incroyables à travers ce spectacle, où l'on reste bouche bée et yeux écarquillés devant tant de beauté formelle et d'incroyables exploits (dont ceux de ces adorables petits robots, ce qui en devient presque inquiétant). La musique est souvent écrite en mineur, avec des accords simples, quasi basiques, mais d'un pouvoir envoûtant extrêmement rare.

CRISPR-Cas9: des ciseaux génétiques pour le cerveau A l'occasion du prix Nobel de chimie attribué à Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna, relisez notre article sur les ciseaux génétiques CRISPR-Cas9. En permettant d’intervenir sur l’ADN de manière chirurgicale, ceux-ci ne font pas que révolutionner les techniques d’édition du génome, ils ouvrent aussi des opportunités enthousiasmantes pour l’étude du cerveau. CRISPR-Cas9… Derrière cet acronyme barbare se cache une innovation révolutionnaire : remplacer un gène par un autre ou le modifier. La méthode paraît presque trop simple, et pourtant elle est le fruit de près de trente ans de recherche. CRISPR-Cas9 (prononcez « crispère ») fonctionne comme des ciseaux génétiques : il cible une zone spécifique de l’ADN, la coupe et y insère la séquence que l’on souhaite. Schéma expliquant les différentes étapes du processus d'édition génomique à l'aide du complexe CRISPR-Cas9.

CNRS Images - La mitose La mitose est la division cellulaire qui permet une répartition égale de l’information génétique d’une cellule-mère initiale à deux cellules-filles tout en conservant le caryotype au fil des générations cellulaires. La mitose permet la croissance d’un organisme de la cellule-œuf à l’adulte ainsi que le renouvellement tout au long de sa vie de ses cellules comme par exemple les cellules sanguines ou les cellules de la peau chez les animaux. Chez les végétaux, la mitose participe à la croissance des organes comme la racine ou la tige par augmentation du nombre de cellules : ce mécanisme s’appelle la mérèse. La division cellulaire est un phénomène contrôlé. Un défaut de ce contrôle peut aboutir à la prolifération anarchique des cellules et à la formation de tumeurs.

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