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INTERDIT de ressemer sa propre récolte

INTERDIT de ressemer sa propre récolte
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis Dans le champ de l'agriculture, l'usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu'un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d'un autre temps. Surnommées "semences de ferme", ces graines étaient jusqu'alors sélectionnées par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes et replantées l'année suivante. Depuis plusieurs décennies, ces pratiques n'allaient déjà plus de soi lorsque ces semences étaient protégées par un Certificat d'obtention végétale (COV) – à savoir le droit de propriété des "obtenteurs" de l'espèce. "Sur les quelque 5 000 variétés de plantes cultivées dans le commerce, 1 600 sont protégées par un COV. Ce qui change En fait, la proposition de loi du sénateur UMP Christian Demuynck transpose un règlement européen de 1994 sur la protection des obtentions végétales, jusqu'ici nullement en vigueur en France. Depuis 2001, cette taxe est appliquée pour une seule espèce : le blé tendre. Related:  Agriculture durable

Cyberaction : Rassemblement Des Indignés de l'Agriculture La loi sur les obtentions végétales ne concerne donc pas que les céréalier, mais aussi tous les éleveurs. Il est donc urgent que tous les départements et particulièrement les départements d'élevage se mobilisent pour : - interpeler les députés. Il est important de les convaincre de faire voter au moins un amendement. - organiser des actions locales, communiqués dans la presse locale. - continuer à signer et faire signer la cyberaction "Non aux royalties sur les semences de ferme". - venir à Paris lundi 28 novembre devant l'Assemblée Nationale. William ELIE, vieux compagnon des Amis de la Conf nous aide à organiser la mobilisation. Suite au dernier communiqué de la Confédération Paysanne, une polémique a été ouverte par la FNSEA qui dément que Xavier Beulin ait suggéré de taxer les éleveurs. M. Madame, Monsieur le député, vous êtes invités à examiner le lundi 28 novembre prochain une proposition de loi relative aux Certificats d'Obtention Végétale (COV).

untitled Nyeleni Europe Reconstitution d'embryon CLONAGEReconstitution d'embryon par transfert de noyau dans un ovocyte I - Technique du transfert nucléaire Détails des étapes Enucléation de l'ovocyte Plusieurs types de cellule donneuse de noyau: cellules embryonnaires ou somatiques. Fusion de la cellule donneuse avec l'ovocyte: le "transfert de noyau" Développement de l'embryon Dispositifs techniques II - Deux stratégies possibles Il existe deux techniques selon que l'activation de l'ovocyte (bloqué en Métaphase II) a lieu en même temps que la fusion avec la cellule étrangère ou avant cette fusion. Dans le premier type de protocole, "MII Ovocyte", il y fusion avec la cellule étrangère et activation simultanée de l'ovocyte énucléé. Une activité MPF élevée entraine la division du noyau, la rupture de l'enveloppe nucléaire, la condensation des chromosomes....L'activation de l'ovocyte n'est possible qu'en présence d'une activité MPF basse. Réaction du noyau transféré et influence sur le nombre de chromosome de la cellule créée.

Quand manger devient un acte militant Manger lentement peut sauver la planète. En tout cas, prendre le temps de choisir des produits locaux, bio, équitables, de les cuisiner soi-même et de les déguster en quantité raisonnable pourrait être une nouvelle manière de consommer, en réaction à la «junk food» et aux plats cuisinés industriels. Une autre vision de la société que veulent porter cinq associations, le WWF, le mouvement Slow Food, le Réseau environnement santé (RES), le Comité français pour la solidarité internationale (CFSI) et Max Havelaar, qui se sont associées pour lancer la campagne «Goûtons un monde meilleur», présentée le week-end dernier au salon EuroGusto à Tours. Local ou équitable, un panier plus responsable Adhérer à une Amap, acheter bio, devenir végétarien?... Premier geste simple: diversifier ses repas. Du bon sens et des bons goûts

La permaculture peut-elle nourrir les Français? Temps de lecture: 8 min La micro-ferme est adossée au château de La Bourdaisière, en Indre-et-Loire. Elle se situe à deux pas d'un potager conservatoire de la tomate, regroupant 650 variétés du fruit sur un peu moins d'un hectare. Pas de tracteur On trouve de tout chez cet ex-Parisien: des légumes, des plantes vivaces et comestibles, des arbres fruitiers. Dans cette «Ferme d'avenir», tout est étudié à la loupe, en amont. Et ça marche? «Nous explorons la possibilité pour des supermarchés du coin de vendre nos produits, repensant ainsi leur politique sans casser les prix d'achat aux producteurs.» Vive les vers de terre! Il s'inspire surtout des concepts de la permaculture. La permaculture formulée dans les années 1970 par les Australiens Bill Mollison et David Holmgren, mais encore confidentielle en France, ne se résume pas à des techniques de jardinage. «Dans la nature, poursuit le paysan, tout est relié (et) fonctionne en boucle, les déchets de l'un sont la ressource de l'autre.»

Pesticides : un agriculteur en procès contre Monsanto Ce lundi 12 décembre 2011, Paul François, agriculteur victime des pesticides, sera en procès contre Monsanto, en première instance, au TGI de Lyon, dans l'espoir de faire reconnaître la faute de la firme et d'engager la responsabilité de cette dernière. Procès de Paul François, agriculteur, victimedes pesticides, contre Monsanto Le rappel des faits Le 27 avril 2004, Paul François, agriculteur céréalier dans le Nord Charente s'intoxique en inhalant les vapeurs d'un herbicide (du LASSO de la firme Monsanto). Une procédure contre Monsanto En février 2007, Paul François décide d'attaquer la firme Monsanto afin de prouver que la firme connaissait la réelle dangerosité du Lasso et tentait de dissimuler ces dangers alors même que ce produit a été retiré de la commercialisation dans de nombreux pays et par décision de la Commission Européenne, considérant que l'utilisation de ce produit était trop dangereuse pour l'utilisateur. Stella Giani

Stop au gaspillage alimentaire ! En France, plus de 7 millions de tonnes de déchets alimentaires sont jetés tout au long de la chaîne alimentaire. Pour mobiliser l’ensemble des acteurs, l’État, dans le cadre du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire a instauré, en 2013, une journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire fixée le 16 octobre. 20 à 30 kg de nourriture jetés par an et par foyer. Au total, les déchets alimentaires représentent chaque année en France près d’ 1,2 million de tonnes. Ce gâchis représente une perte plus de 400 euros par an et par foyer. Objectif : réduire de moitié le gaspillage alimentaire en France à l’horizon 2025 Face à ce constat, un pacte « Anti gaspi » a été lancé en juin 2013 par le ministère délégué à l’Agroalimentaire. La réduction des déchets est aussi une des mesures phares du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte adoptée par l’Assemblée nationale le 14 octobre. > Suivez-nous sur les réseaux sociaux avec #antigaspi

Suicide collectif de 1500 fermiers indiens ruinés à cause des OGM !! Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels… depuis plus de quinze ans. En cause, l’endettement des paysans lié à l’achat de semences OGM miraculeuses… qui se révèlent catastrophiques. Depuis le milieu des années 80, l’Inde a accepté d’ouvrir totalement son marché en contrepartie de l’aide du Fonds Monétaire International. Une révolution économique s’en suivit, qui en fit un terrain d’expérimentation mondial en matière agricole. What a wonderfull world (Company)… Sauf que les semences OGM de coton Bt (de Monsanto, faut-il le préciser) sont tombées malades, infestées par le vers (vorace) de la capsule. Disparition des variétés traditionnelles En 2006, le ministère indien de l’agriculture déclarait que la moitié des foyers paysans étaient endettés. lire aussi: Like this: J'aime chargement…

Oui, l’agriculture biologique peut nourrir la planète Tribune Lorsque est abordée la question, essentielle, de la lutte contre la faim dans le monde, il est fréquent d’entendre dire que l’agriculture biologique présente des limites à cause de ses rendements inférieurs à ceux de l’agriculture conventionnelle, prétendument démontrés par plusieurs « études scientifiques ». Or ce poncif est faux et trompeur et témoigne d’une approche scientifique archaïque. Des comparaisons biaisées Les études académiques généralement citées pour comparer les rendements en agriculture biologique et en agriculture conventionnelle présentent deux points communs qui ne sont pas anodins : elles sont réalisées en milieux tempérés (Europe et Amérique du Nord) ; leur méthodologie est caricaturalement réductionniste. Making of Une première version de ce texte a été publiée sur le blog Changeons d’agriculture. Le premier aspect devrait inciter tout agronome compétent à en parler avec d’immenses précautions. Le deuxième aspect est essentiel. Comment disqualifier la bio

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