background preloader

L’histoire de l’innovation contemporaine c’est les Big Data

L’histoire de l’innovation contemporaine c’est les Big Data
La lecture de la semaine provient de la vénérable revue The Atlantic et on la doit à Erik Brynjolfsson, économiste à la Sloan School of Management et responsable du groupe Productivité numérique au Centre sur le Business numérique du Massachusetts Institute of Technology et Andrew McAfee auteurs Race Against the Machine (« La course contre les machines où comment la révolution numérique accélère l’innovation, conduit la productivité et irréversiblement transforme l’emploi et l’économie »). Elle s’intitule : « l’histoire de l’innovation contemporaine, c’est les Big Data » (c’est le nom que l’on donne à l’amoncellement des données). En 1670, commence l’article, à Delphes, en Hollande, un scientifique du nom de Anton van Leeuwenhoek (Wikipédia) fit une chose que beaucoup de scientifiques faisaient depuis 100 ans. Les entreprises d’aujourd’hui peuvent mesurer leur activité et leur relation aux clients avec une précision sans précédent. Xavier de la Porte

Refaire société : Comment s’engager aujourd’hui « L’engagement est au coeur de la réflexion sur comment refaire société, car refaire société implique de s’inscrire dans l’espace public et d’y inscrire sa parole, sa colère, ses refus, ses désirs… », estime Jean-Marie Durand, journaliste aux Inrockuptibles. Du printemps arabe aux Indignés, l’engagement traverse notre époque. Les nouvelles formes de contestations échappent néanmoins aux critères classiques de l’espace politique. Toutes rejettent les formes d’organisations et les leaders : « Toutes se définissent par un bruit de fond antisystème », disait Christophe Aguiton dans une récente interview à Libération. L’humiliation remplace-t-elle le vieux motif de l’exploitation ? La conflictualité et l’engagement ne datent pas de 2011, rappelle pourtant Jean-Marie Durand. Engagement : le grand basculement Bien sûr, ces nouvelles formes ne se substituent pas aux anciennes d’autant que les natures de sociétés sont différentes à travers le monde. Le prix de l’engagement Hubert Guillaud

THE COUNTRY'S PROBLEM IN A NUTSHELL: Apple's Huge New Data Center In North Carolina Created Only 50 Jobs Apple Yes, it's huge. But only 50 people work there. Optimists argue that the solution to the US's sky-high unemployment and income inequality is more companies like Apple--the resurgent tech company that has revolutionized the digital industry and become one of the most valuable companies in the world. Apple has not not only created amazing, beloved products. If only America produced more companies like Apple (and Amazon, and Google, and Facebook, et al), the story goes, the country's problems would be fixed. It is true that having more companies like Apple would certainly help the US. But we would need a lot more companies like Apple to make a dent in our unemployment and inequality problems. Why? Because Apple also actually exemplifies some of the reasons why we have such huge unemployment and inequality problems: Now, of course Apple also helps employ an "ecosystem" of other companies that build products that work with Apple products, such as iPhone apps.

Quantified Self (2/3) : Des outils au service de soi Par Hubert Guillaud le 08/12/11 | 7 commentaires | 4,199 lectures | Impression La communauté des quantifiés n’est pas composée que de personnes sensibles à leurs propres mesures. Elle est aussi composée de geeks, de bidouilleurs, de développeurs, d’artisans, de makers, de start-upers et d’industriels qui bricolent ou codent des outils et des services pour faciliter la mesure. Des gens qui, partant le plus souvent de leurs propres besoins, développent des applications ou des prototypes, qu’ils ne cessent de perfectionner, espérant trouver le produit ou le service qui sera adopté par le plus grand nombre, qui fera passer le mouvement de la mesure de la niche des passionnés au plus grand public. Les applications sportives ou de santé ne manquent pas. Reste à trouver le capteur et l’interface qui séduira le plus grand public. La longue traine des outils Image : Rain Ashford sur la scène de la conférence Quantified Self Europe photographiée par Sebastiaan ter Burg. Le Graal de l’agrégation

Suisse: une clinique dans un musée guérit les intoxiqués de l'information Suisse: une clinique dans un musée guérit les intoxiqués de l'information BERNE (Suisse) - Affaire DSK, crise de la dette grecque, guerre en Libye... Trop d'informations peut rendre malade. Dès lors, un traitement s'impose. Dès son arrivée, le visiteur découvre dans une salle plongée dans une semi-obscurité 12.000 livres entassés sur des étagères. En principe la communication est quelque chose d'important, quelque chose qui fait plaisir, mais de nos jours il y a un flot d'information, explique à l'AFP la directrice du musée de la Communication, Jacqueline Strauss. On peut comparer ça avec l'alimentation. Selon les experts de l'université de Berne qui ont participé à l'exposition, un être humain peut lire un livre de 350 pages en une journée s'il se concentre et n'a rien d'autre à faire. La Clinique de la communication qu'elle a mise en place dans cette exposition, se veut donc avant-tout une prise de conscience. Etes-vous stressé, débordé, lessivé?

Refaire société : La ville Cyborg Par Hubert Guillaud le 15/11/11 | 3 commentaires | 2,156 lectures | Impression A l’occasion du colloque Refaire Société, organisé par la République des Idées, retour sur l’atelier consacré à la “ville Cyborg”. Un atelier où il a peu été question de la ville : comme si notre relation aux machines participait déjà à sa déconstruction. La science-fiction s’est toujours intéressée à l’usage incontrôlé de la technologie et la manière dont elle transforme l’homme, la société et son environnement. Ces nouvelles cyberpolis s’accompagnent d’interrogations exaltées et inquiètes sur le devenir de l’homme, quand il doit vivre avec des machines qui prennent place jusque dans son corps. Cet homme prothétique est devenu une réalité avec la Grande Guerre et ses 800 000 mutilés, incarnation de la rencontre entre l’homme et l’acier. L’ambivalence du Cyborg, l’homme prothétique “A l’arrivée, à destination, l’organisme devait pouvoir reprendre ses droits et s’émanciper à nouveau de la machine.

Big Data : la nécessité d’un débat Il nous a semblé intéressant de traduire, de façon collaborative (via Framapad), l’essai original que viennent de publier danah boyd et Kate Crawford présentant « Six provocations au sujet du phénomène des Big Data ».Ces chercheuses, orientées vers l’ethnographie des usages des technologies de communication, s’interrogent – en toute connaissance de cause [cf. cette étude sur les tweets des révolutions tunisiennes et égyptiennes à laquelle a participé danah boyd]- sur les limites épistémologiques, méthodologiques, mais aussi éthiques des Big Data : champ d’études qui s’ouvre aujourd’hui sur la base des énormes jeux de données que fournit internet, en particulier celles générées par l’activité des usagers des sites de réseaux sociaux, que seuls des systèmes informatiques ont la capacité de collecter et de traiter. 6 provocations à propos des Big Data Traduction : Pierre Grosdemouge (@cultord) & Fred Pailler (@Sociographie) à l’initiative de Laurence Allard. L’ère de Big Data a commencé.

Education et nouvelles technologies : y croire ou ne pas y croire Après un premier article polémique (voir Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas), Matt Richtel a continué son enquête pour le New York Times sur le « pari éducatif high-tech ». Comme le montrait déjà le début de son enquête, ses derniers articles dessinent un fossé, une coupure assez radicale, entre ceux qui croient dans les vertus des technologies pour l’éducation et ceux qui n’y croient pas, avec des arguments aussi faibles dans l’un ou l’autre camp que ceux qu’on éprouve entre les tenants du livre papier et du livre électronique. La valeur des TICE dépend-elle du niveau d’argent dépensé ? Le second article de cette série s’intéressait donc au « boom des logiciels éducatifs », mais avant tout pour dénoncer leur manque de résultats effectifs. Image : Home page du programme What Works de l’Institut des sciences de l’éducation américain. Shelly Allen est la coordinatrice pour les mathématiques des écoles publiques d’Augusta en Georgie.

The evolution of data products In “What is Data Science?,” I started to talk about the nature of data products. Since then, we’ve seen a lot of exciting new products, most of which involve data analysis to an extent that we couldn’t have imagined a few years ago. But that begs some important questions: What happens when data becomes a product, specifically, a consumer product? Where are data products headed? As computer engineers and data scientists, we tend to revel in the cool new ways we can work with data. It’s an old problem: the geeky engineer wants something cool with lots of knobs, dials, and fancy displays. Disappearing data We’ve become accustomed to virtual products, but it’s only appropriate to start by appreciating the extent to which data products have replaced physical products. But while we’re accustomed to the displacement of physical products by virtual products, the question of how we take the next step — where data recedes into the background — is surprisingly tough. We can push even further.

Le Crowdsourcing est dans la même approche, faire réaliser par un grand nombre de personnes une tâche
Comme le test d'une nouvelle interface
À cet article il faudrait ajouter l'apport des réseaux sociaux comme canal pour engager ses clients
Tout le monde n'est pas Google ou Amazon

Crowdsourcing + Social = Innovation pour petits budgets
Êtes vous d'accord avec cette formule proposée ? by trackingnewtech Dec 5

Related: