background preloader

William Gibson

William Gibson
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homonyme, voir Gibson. William Gibson William Gibson en 2008 Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Sa mère a beaucoup de mal à l'élever seule. En 1966, sa mère meurt à son tour. En 1968, il s'enfuit au Canada pour éviter d'être envoyé au Viêt Nam et s'installe en 1972 à Vancouver. Désillusion, défiance du capitalisme, constat d'échec patent de la Contre-Culture, tout cela va l'entrainer vers une fiction sombre, en accord avec sa vision du monde. Constatant une certaine cohérence dans les thématiques, ce mouvement informel va prendre, sous la plume des critiques de l'époque, et notamment de Gardner R. C'est Gibson, avec Neuromancien, qui décroche le premier un immense succès littéraire. No Maps for These Territories, un documentaire de Mark Neale, centré sur la vision du monde de William Gibson, a inauguré le 21 siècle, au Festival international du film de Vancouver, en octobre 2000. « [...]

Bruce Sterling Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bruce Sterling Bruce Sterling en 2008. Œuvres principales Vie et œuvre[modifier | modifier le code] À partir de la fin des années 1970, Sterling écrit les textes du cycle Mécas/Morphos : le système solaire est entièrement colonisé par l'homme et deux factions principales s'y affrontent. Dans les années 1980, Sterling publie une série de fanzines appelé Cheap Truth (en) sous le pseudonyme de Vincent Omniaveritas. Il a aussi inspiré deux projets que l'on peut retrouver sur le Web : Le Dead Media Project (en), une collection de « notes de recherche » sur les technologies des médias « morts », des quipus incas au jeux vidéo et ordinateurs des années 1980 en passant par le phénakistiscope victorien. Œuvres[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Bruce Sterling. Recueils de nouvelles[modifier | modifier le code] Autres textes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :

Critique: Neuromancien (Neuromancer) de William Gibson William Gibson, c'est une sorte de dieu pour les Geeks (nous en avons beaucoup). Bat00 nous livre ici son avis sur une œuvre devenue culte, Neuromancier. Un mot sur l’auteur William Gibson, inventeur du terme cyberespace, devient la figure de proue du Cyberpunk avec la publication du Neuromancien en 1984. Le site web de William Gibson : williamgibsonbooks.com Vous pouvez également le suivre sur son compte Twitter. En résumé Case est un des meilleurs pirates informatique jusqu’au jour où il décide de doubler son employeur. Mon point de vue Attention : chef d’œuvre ! William Gibson nous livre un univers qui inspira aussi bien le film Matrix que le manga Ghost In The Shell par exemple. D’après les dernières rumeurs, une adaptation cinématographique serait en cours. Bonne lecture ! Note : Cet article est l’œuvre de Ludovic Fougère (Bat00), breton très actif dans la communauté du Finistère.

Pat Cadigan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pat Cadigan Pat Cadigan en 2007 Œuvres principales Pat Cadigan, née le à Schenectady dans l'État de New York, est un auteur de science-fiction américain, dont les œuvres sont parfois décrites comme s'inscrivant dans le mouvement cyberpunk, bien qu'elle ne revendique pas cette appartenance. Biographie[modifier | modifier le code] Ses romans Synners (Les synthérétiques) de 1991 et Fools (Mise en abyme) de 1992 reçurent tous les deux le prix Arthur C. Pat Cadigan s'est aussi essayée au fantastique avec des œuvres telles L'Épreuve du feu ou Les Garçons sous la pluie. Sa nouvelle The Girl-Thing Who Went Out for Sushi a obtenu le prix Hugo de la meilleure nouvelle longue 2013 et le prix Locus de la meilleure nouvelle longue 2013. Œuvres[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] (en) Mindplayers, 1987Les Synthérétiques, 1993 ((en) Synners, 1991) Mise en abyme, 1996 ((en) Fools, 1992) (en) Datableed, 1997Vous avez dit virtuel ?

John Perry Barlow Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Perry Barlow Il est l'un des cofondateurs de l'Electronic Frontier Foundation et est connu pour sa Déclaration d'indépendance du cyberespace, publiée en 1996. En août 2013, John Barlow est admis au temple de la renommée d'Internet, dans la catégorie des innovateurs. Bibliographie[modifier | modifier le code] Richard Barbrook, La liberté de l'hypermédia - Une réponse à John Perry Barlow, in Libres enfants du savoir numérique, éditions de l'Éclat, 2000, pp.55-76, texte intégral.Ahmed Dahmani, José Do-Nascimento, Jean-Michel Ledjou, Jean-Jacques Gabas, La démocratie à l'épreuve de la société numérique, Karthala, 2007, page 67.NSA : "despotique mais incompétente" ? Article connexe[modifier | modifier le code] Anarchisme aux États-Unis Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Walter Jon Williams Walter Jon Williams (born October 15, 1953) is an American writer, primarily of science fiction. Career[edit] As Jon Williams, he designed the game Heart of Oak (1982) and Privateers and Gentlemen (1983) for Fantasy Games Unlimited.[1]:74 A Cyberpunk RPG sourcebook called Hardwired (1989) was licensed by R. Williams was born in Duluth, Minnesota and attended the University of New Mexico, where he received his BA degree in 1975. Williams played roleplaying games (in a group with other sf authors including George R. In 2006, Williams founded the Taos Toolbox, a two-week writer's workshop for fantasy and science fiction writers. Bibliography[edit] Novels[edit] Short fiction collections[edit] Facets (1990)Frankensteins and Foreign Devils (1998)The Green Leopard Plague and Other Stories (Trade Hardcover: Night Shade Books, 2010, ISBN 978-1-59780-177-5) Notable short fiction[edit] References[edit] External links[edit]

Electronic Frontier Foundation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Electronic Frontier Foundation (EFF) est une organisation non gouvernementale internationale à but non lucratif, fondée en 1990 aux États-Unis par Mitch Kapor, John Gilmore, et John Perry Barlow, connu pour être l'auteur de la Déclaration d'indépendance du cyberespace. Liberté d'expression[modifier | modifier le code] L'objectif essentiel de l'EFF est de défendre la liberté d'expression sur Internet. Calcul distribué[modifier | modifier le code] L'Electronic Frontier Foundation offre des prix de calcul coopératif[1] afin d'encourager les internautes à contribuer à la résolution de problèmes scientifiques par le calcul distribué : 50 000 USD pour la découverte d'un nombre premier d'au moins un million de chiffre, remporté le 6 avril 2000 par le GIMPS[2].100 000 USD pour la découverte d'un nombre premier d'au moins dix millions de chiffres. Position vis-à-vis des brevets[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]

Greg Bear Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Né en 1951, Gregory Dale Bear commence très tôt à écrire, puisqu'il propose ses premiers textes en 1964, à l'âge de 13 ans à peine. L'année 1983 sera riche en évènements pour lui. Avec sa femme, il édite le forum de la Science Fiction and Fantasy Writers of America pendant deux ans. Greg Bear a de plus été journaliste, dessinateur pour des magazines de science-fiction, libraire et conseiller technique pour quelques séries télévisées. Il a deux enfants, un fils Eric né en 1986 et une fille, Alexandra, née en 1990. Œuvres[modifier | modifier le code] Univers Star Wars[modifier | modifier le code] Univers Star Trek[modifier | modifier le code] Série originale[modifier | modifier le code] Corona, Fleuve noir, 1993 ((en) Corona, 1984) Série The Forge of God[modifier | modifier le code] Série Éon (en anglais : The Way)[modifier | modifier le code] Série La Reine des anges[modifier | modifier le code]

JP Barlow, EFF : "A l'e-G8, j'ai l'impression d'être d'une autre planète" Véritable ovni sur la planète Internet, John Perry Barlow est un des co-fondateurs de l'Electronic Frontier Foundation. L'organisation non-gouvernementale à but non lucratif a été fondée en 1990 dans le but de défendre la liberté d'expression sur Internet. Après avoir sévèrement critiqué la position de Pascal Nègre et Frédéric Mitterrand, JP Barlow nous explique pourquoi il constitue une épine dans le pied de l'e-G8. A quoi sert cet e-G8 Forum ? John Perry Barlow : Le business des musiciens n'est pas le même que celui de la musique. Le fait de mettre une souveraineté sur le cyberespace me gêne. Combattre le piratage, un mauvais combat ? Au lieu de combattre le piratage, il serait, à mon sens, utile de trouver un modèle qui fonctionne et d'investir. Même si ma façon de penser est loin d'être partagée par tout le monde, la notion d'une liberté large des internautes finira bien par s'imposer d'elle-même. Barlow vs Pascal Nègre

Tom Maddox Tom Maddox (born October 1945) is an American science fiction writer, known for his part in the early cyberpunk movement. His first novel was Halo (ISBN 0-312-85249-5), published in 1991 by Tor Books. His story Snake Eyes appeared in the 1986 collection Mirrorshades, edited by Bruce Sterling. Maddox is the originator of the term Intrusion Countermeasures Electronics (or ICE). According to Maddox,[1] he coined the term in the manuscript of an unpublished story that he showed to Gibson at a science fiction convention in Portland, Oregon. Tom Maddox has licensed his work under a Creative Commons license,[2] making a significant part of it available on his website: Tom Maddox Fiction and Nonfiction Archive. Maddox was formerly a professor of literary studies at The Evergreen State College in Olympia, Washington.[3] Works[edit] Novels[edit] Halo (1991) Short stories[edit] [edit] External links[edit]

Le piratage, véritable histoire de l'édition aux Etats-Unis Il ya des paradoxes qui mettent le feu aux poudres. Ainsi, le piratage et la contrefaçon furent durant plusieurs années au coeur de l'économie et de la vie étasunienne - et auraient d'ailleurs aidé plusieurs maisons d'édition à faire fortune. D'une certaine manière, ce serait donc la contrefaçon qui aurait fait de l'industrie du livre ce qu'elle est aujourd'hui devenue... Explications (fort nécessaires...). Remontons aux années 40, celles de 1800 : à cette époque, les ouvrages britanniques étaient publiés sans qu'aucun droit d'auteur ne soit versé. S'appuyant sur le livre de 1999, couronné d'un prix Pulitzer, Gotham: A History of New York City to 1898, écrit par Edwin Burrows et Mike Wallace, c'est justement cette période précise de l'éclosion de l'industrie américaine du livre que l'on raconte. Le livre donne le ton, et du meilleur goût : Some (U.S. publishers) sent agents to England with orders to grab volumes from bookstalls... and ship them west by fast packet. Pour approfondir

George Alec Effinger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. George Alec Effinger, né le à Cleveland dans l’État de l’Ohio et décédé le (à 55 ans) à La Nouvelle-Orléans, est un auteur américain de science-fiction. Biographie[modifier | modifier le code] Il a participé aux ateliers Clarion de 1970, et trois de ses textes figurent dans la première Clarion Anthology. Son premier roman, What Entropy Means to Me (1972), fut sélectionné pour le prix Nebula. Du quatrième qui devait suivre, Word of Night, il n’écrivit que les deux premiers chapitres, publiés dans l’anthologie Budayeen Nights, (2003). Sa nouvelle, Le Chat de Schrödinger (Schrödinger's Kitten) (1988), a été récompensée par les prix Hugo et Nebula. Un autre recueil intitulé George Alec Effinger Live! Toute sa vie Effinger a souffert de problèmes de santé, d’où des frais astronomiques qu’il ne pouvait payer. Œuvres[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Hacking Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans un sens large, le bidouillage ou hacking concerne les activités visant à détourner un objet de sa fonction première. Le hacking a pour fonction de résoudre ou d'aider à résoudre des problèmes, et cela dans de nombreux domaines. Les hackers[modifier | modifier le code] Derrière le terme hacker « se cachent des utilisateurs à part, qui préfèrent fouiller dans les entrailles d’un ordinateur plutôt que simplement l’utiliser »[3]. Pirate ou hacker[modifier | modifier le code] De manière générale, les médias modernes semblent relier les hackers informatiques à des pirates informatiques, bien que la traduction de « pirate » ne correspond pas aux définitions de « fouineur » ou de « bidouilleur » que l'on peut trouver dans les institutions qui font référence en langue française[5]. Le hacking coexiste bien souvent avec la sécurité informatique, mais ces deux domaines ne sont pas à confondre. Le Hacking moderne[modifier | modifier le code]

Related: