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Risques nucléaires, tous concernés ! - Greenpeace

Risques nucléaires, tous concernés ! - Greenpeace

Sortir du nucléaire, cela veut dire quoi exactement ? Documentation > Tout ce qui est radioactif > Tout ce qui est radioactif > Sortir du nucléaire, cela veut dire quoi exactement ? Quelques réflexions sur une sortie du nucléaire Première mouture : 1er avril 2011 (sans blague !) - dernière modification : Juillet 2012 - paru sous forme papier dans la revue Le Débat de mars 2012 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com L'une des réactions au double séisme qui a frappé le Japon en mars 2011 a été, sans grande surprise, une montée en puissance des demandes d'arrêt des centrales nucléaires un peu partout dans le monde. Combien de nucléaire... et de charbon ? En 2009, le nucléaire mondial a produit un peu moins de 3.000 TWh (un TWh signifie un térawattheure, soit un milliard de kWh) sur une production électrique mondiale d'un peu moins de 20.000 TWh. Par quoi remplacer le nucléaire ? Si nous "sortons du nucléaire", il y a en théorie plusieurs manières de le remplacer, qui peuvent du reste se combiner :

Sortir du nucléaire en 14 mois, c’est possible… Tandis que François Hollande s’engage à réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité en France de 75% à 50% en 5 ans et que Nicolas Sarkozy s’y oppose avec virulence, le Japon est en train de démontrer que l’on peut passer de 30% à 0%... en 14 mois! Pour établir un tel record, il aura néanmoins fallu une terrible catastrophe, celle du 11/3. C’est ainsi que les Japonais nomment le drame de Fukushima qui a suivi le tremblement de terre du 11 mars 2011, suivi par un tsunami qui a dévasté des centaines de kilomètres de la côte nord-est de l’ile d’Honshû. Et fait 20.000 victimes. publicité Depuis, l’exploitant de la centrale, Tepco, tente de maîtriser le feu nucléaire des 3 réacteurs qui ont fondu après la mise hors service de tous les systèmes de refroidissement des cœurs et des piscines de combustibles usés. Sous contrôle mais précaire Pour les spécialistes français du nucléaire, la situation est désormais sous contrôle mais reste précaire. L’une des rares «chances»

Le passage du cyclone Dumile sur l’île de la Réunion - Risques et Savoirs Jeudi 3 janvier 2013, le cyclone tropical Dumile est passé à 90 km de la côte ouest de l’île de la Réunion. Des rafales de 180 km/h ont soufflé sur les hauteurs du chef-lieu de l’île, Saint-Denis. En effet, le bassin sud-ouest de l’océan Indien connaît, en raison de ses eaux chaudes (supérieures à 26° C) la formation de neuf tempêtes tropicales en moyenne par an. La Réunion n’avait pas été touchée par un cyclone depuis Gamède qui avait atteint l’île en février 2007, causant deux décès. Une surveillance météo performante Météo France gère un des six centres météorologiques régionaux spécialisés dans les cyclones tropicaux, situé à la Réunion. Un système d’alerte adapté aux différents types de dangers La préfecture de région de la Réunion se fonde sur les prévisions de Météo France pour déclencher le plan Orsec Cyclone (Organisation de la réponse de sécurité civile) mis en place au début des années 1980. Réunion de crise à la préfecture © Préfecture de la Réunion/SRCI/Michael Masseaux

Global Nuclear Generation Capacity Falls Due to increasing costs of production, a slowed demand for electricity, and fresh memories of disaster in Japan, production of nuclear power fell in 2011, according to the latest Vital Signs Online (VSO) report from the Worldwatch Institute. Despite reaching record levels the previous year, global installed nuclear capacity—the potential power generation from all existing plants—declined to 366.5 gigawatts (GW) in 2011, from 375.5 GW at the end of 2010. Not surprisingly, this drop in installed capacity corresponds with a decline in global consumption of nuclear energy. Much of the decline in installed capacity is the result of halted reactor construction around the world. China is an exception to the global slump in nuclear electricity generation, in terms of both the number of plants being built and installment capacity levels. The United States, too, does not appear to be abandoning nuclear power just yet. Further highlights from the report:

Le nucléaire est une énergie du passé Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Franck Pupunat, porte-parole du Mouvement Utopia, Nicolas Pagnier (PS), Pierre Lucot (EELV), Myriam Michel (Parti de gauche) Il est urgent qu'Arnaud Montebourg et Manuel Valls posent enfin le pied dans l'univers de la société civile et de l'immense majorité de la communauté scientifique qui défendent des scénarios de sortie progressive du nucléaire. L'Allemagne, la Belgique, l'Italie, les Etats-Unis, la Chine et évidemment le Japon considèrent tous que le nucléaire n'est pas une industrie d'avenir : tellement d'inconvénients et si peu d'avantages ! Tellement d'inconvénients. Et que dire des déchets qui représentent certainement le cadeau empoisonné le plus lourd que nous allons léguer aux générations futures ? Et si l'on revient sur terre, comment Arnaud Montebourg peut-il défendre une industrie qui nous rend complètement dépendant des ressources et des industries étrangères ? Et si peu d'avantages.

La carte des risques en France La France est un beau pays, mais il ne faut pas fermer les yeux sur les risques que nous y courrons tant industriels que naturels...je vais vous présenter diverses cartes de France qui vont (peut-être) vous montrer que vous vivez à côté d'un risque majeur. La première : les différents sites nucléaires (et les transports de matières radioactives) La seconde : les usines classées SEVESO (à noter on trouve plus facilement la localisation des sites nucléaires que des sites SEVESO) La troisième : les risques sismiques La quatrième : les risques d'innondations Une petite dernière : un mixte SEVESO & Nucléaire Regarder bien la région Rhône-Alpes.... Un réacteur nucléaire nécessaire pour illuminer les Fêtes PARIS (Reuters) - La magie des Fêtes, agrémentée de retrouvailles familiales ou d'attente fébrile du Père Noël, ferait presque oublier aux Français leurs bonnes résolutions en matière d'environnement, souligne l'Ademe, l'agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie. Pas moins de 1.300 mégawatts (MW), soit l'équivalent de la puissance moyenne d'un réacteur nucléaire, sont ainsi nécessaires selon les estimations de l'agence pour parer de mille feux le conifère qui trône au milieu du salon ou la façade de la maison familiale. "Les Fêtes sont consommatrices en tout", explique Florence Clément, chargée de l'information auprès du grand public à l'Ademe, qui publie sur son site des conseils destinés au grand public. "Elles provoquent une forte hausse de la consommation, notamment en énergie. Il y a aussi des modes, comme les illuminations à l'extérieur des maisons qui ont explosé ces dernières années. Cela vient encore s'ajouter au total."

Géoconfluences Critères de votre recherche Il y a 63 résultat(s) correspondant à vos critères de recherche. Communication et information sur les risques [100 %] par Sylviane Tabarly, publié le 26/07/2004 Récapitulatif des sources documentaires existantes concernant la communication et l'information sur les risques. Mégapoles et risques en milieu urbain. L'exemple d'Istanbul [98 %] par Sylviane Tabarly, publié le 05/11/2010 En 2007, selon les statistiques de l'ONU, 19 mégapoles (megacities) dépassaient les dix millions d'habitants et les villes de cette catégorie devraient être 26 en 2025 [1]. La loi et le risque : réglementations, alerte, organisation des secours [88 %] par Sylviane Tabarly, publié le 18/12/2006 En France, l’article 21 de la loi du 22 juillet 1987 prévoit que : "Le citoyen a le droit à l’information sur les risques qu’il encourt en certains points du territoire et sur les mesures de sauvegarde pour s’en protéger". Les risques, le risque : quels objets enseigner ? 1. Brève : 1. Brève : 1.

Planque radioactive Le nucléaire, c'est une bonne affaire sauf pour celui qui descend la poubelle. Actuellement, près d'un petit village de la Meuse, un gigantesque chantier attend d'abriter sous-terre plus de 70.000 mètres cubes de déchets nucléaires. Le projet effraie - à raison - les habitants. Deux organisations ont été créées pour arroser d'argent leurs élus et leur collectivité. Cigéo : modélisation de la zone du futur site principal, vue en surface. Entre les départements de la Meuse et de la Haute-Marne, à proximité du village de Bure, étrange ambiance. 15 km2 sous-terre Pour faire accepter le projet, deux groupes d’intérêt public formés pour l’occasion achètent la paix civile en arrosant de subventions les communes et les entreprises : Objectif Meuse et le GIP de Haute-Marne. l’importance qu’il y a à choisir un site pour stocker les déchets de haute et moyenne activité à vie longue en vue d’une mise en exploitation du centre de stockage en 2025. La Meuse sera la poubelle nucléaire de France !

Les coûts du risque, les assureurs en première ligne L'assurance et l'État : le cas de la France En France, la loi du 13 juillet 1982 dite "loi d'indemnisation des catastrophes naturelles", définit les obligations des assurances et les droits d'indemnisation des victimes. Elle a rendu obligatoire l'inclusion d'une garantie contre les catastrophes naturelles dans chaque contrat d'assurance habitation. C'est le préfet qui initie la procédure de constat après avoir recueilli les informations et examiné les demandes exprimées par les communes. Une commission interministérielle pourra ensuite prendre un arrêté constatant l'état de "catastrophe naturelle" d'un phénomène (inondation, sécheresse, tremblement de terre, glissement de terrain, etc. ) et déterminant les zones touchées, la période considérée et la nature des dommages à prendre en compte. Les risques peuvent aussi être couverts par des fonds d'indemnisation collectifs. Entre l'État et le monde de l'assurance, les relations sont donc étroites. Sources et ressources : Pour compléter :

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