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Données personnelles : la CNIL condamne Google à une amende record de 50 millions d’euros

Isabelle Falque-Pierrotin pouvait-elle espérer meilleure sortie ? La présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), fraîchement nommée garante du grand débat national, a vu l’institution qu’elle dirige depuis plus de sept ans condamner, lundi 21 janvier, l’entreprise américaine Google à une amende record de 50 millions d’euros. En cause : sa politique de gestion des données personnelles en France. Cette condamnation intervient après les plaintes collectives, qui ont fédéré plus de 10 000 signataires, déposées devant la CNIL par les associations None of Your Business et La Quadrature du Net (QDN), alors que le règlement européen pour la protection des données (RGPD) venait tout juste d’entrer en vigueur en Europe, le 25 mai 2018. Un texte censé permettre aux citoyens européens de conserver la maîtrise de leurs données personnelles, notamment face aux géants du numérique, qui, comme Google, les utilisent à des fins commerciales. Or, selon M. Vincent Fagot

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/01/21/donnees-personnelles-la-cnil-condamne-google-a-une-amende-record-de-50-millions-d-euros_5412337_4408996.html

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L’Union européenne punit Google d’une amende record de 2,42 milliards d’euros Après sept longues années d’enquête, la Commission européenne sort le carton rouge contre Google. Le géant américain se voit condamné à une amende record, d’un montant de 2,42 milliards d’euros, dès mardi 27 juin, pour abus de position dominante. La dernière amende européenne record pour ce type d’enquêtes, 1,06 milliard d’euros, avait été prononcée en 2009 et visait Intel, le géant américain des semi-conducteurs.

La Haine de la démocratie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est le 24e livre du philosophe et l'un de ses plus notables, avec La Mésentente. Contexte[modifier | modifier le code] Ce vote « démocratique » fut interprété par certains comme étant le signe d'une défaillance démocratique, le vote d’un « peuple » incapable de saisir de tels enjeux[1]. Le livre de Rancière s'inscrit en faux contre l’interprétation faite de ce résultat[2]. Ce cas particulier permet de comprendre la tendance réactionnaire plus générale que Jacques Rancière détaille dans son écrit.

Facebook : sous pression des sénateurs américains, Mark Zuckerberg fait face L’attente était énorme : pour la première fois, mardi 10 avril, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a été auditionné par le Congrès des Etats-Unis. Il s’est expliqué devant deux commissions du Sénat rassemblées pour l’occasion, celle du commerce et celle de la justice, sur l’affaire Cambridge Analytica. Cette entreprise spécialisée dans l’influence politique est soupçonnée d’avoir récupéré des données de 87 millions d’utilisateurs du réseau social à leur insu.

Vente d'armes à l'Arabie Saoudite : ce que Macron ne veut pas dire Surtout ne plus en parler. Surtout pas maintenant. En pleine affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien assassiné dans le consulat saoudien à Istanbul, et après qu’en représailles Angela Merkel a décidé d’interrompre les ventes d’armes allemandes à Ryad, Emmanuel Macron, lui, a choisi de masquer une vérité qui embarrasse nos plus hauts responsables politiques depuis trois ans. Interrogé le 12 octobre sur RFI et France 24, le chef de l’Etat a affirmé, contre toute évidence, qu'il était "faux de dire que l'Arabie saoudite est un grand client aujourd'hui de la France dans quelque domaine que ce soit ". En fait, non seulement l’Arabie est par elle-même le second client d’armes françaises mais, dans un passé très récent, quand Emmanuel Macron était encore ministre de l’Economie et Jean-Yves Le Drian ministre de la Défense, Ryad a financé en partie les colossales fournitures de matériels militaires français à l’Egypte du sordide maréchal Sissi. L'achat des fameux Mistral

La Chine, le casse-tête des géants du Web Un milliard de dollars. C'est la somme qu'Uber a reçue de la part de son principal rival Didi Chuxing pour renoncer à son rêve chinois. Après deux ans et demi de bataille, l'entreprise de VTC sort de ce marché prometteur et récupèrera 20% du capital de la nouvelle entreprise. 41% des Français prêts à un "pouvoir autoritaire" pour réformer le pays en profondeur Quatre Français sur dix seraient prêts à confier la direction du pays à un "pouvoir politique autoritaire" pour le réformer en profondeur, selon un sondage Ifop pour "Ouest-France", publié ce mercredi 31 octobre. Interrogés sur l'idée de confier la direction du pays, pour "le réformer en profondeur" afin d'"éviter le déclin", "à un pouvoir politique autoritaire quitte à alléger les mécanismes de contrôle démocratique" (une longue question, plutôt orientée, note au passage "Libération"), 11% des sondés sont "tout à fait d'accord" avec cette option et 30% "plutôt d'accord", soit un total de 41%. Ceux qui partagent cette idée affichent majoritairement une proximité partisane avec Les Républicains (55%) et le Rassemblement national (52%). Près de six Français sur dix (59%) seraient par ailleurs d'accord pour confier la direction du pays à "des experts non élus" pour mener les réformes nécessaires. Les marchés financiers ont "trop de pouvoir"

« Les Gafam défient désormais les principaux Etats du globe. Et ces derniers contre-attaquent » Chronique. Longtemps, le marché passé par les géants du Web avec le public est resté obscur. Forts de la promesse d’un monde sans frontières, vaste forum où toutes les libertés pourraient s’épanouir et les droits humains prospérer, où le travail serait enrichi par l’automatisation des tâches d’exécution, les promoteurs du numérique nous ont offert un univers fabuleux de messageries instantanées, de réseaux sociaux, de « nuages » aux capacités de stockage illimitées. Nous nous épanchons sur des visiophones planétaires, nous roulons malin grâce aux GPS participatifs, nous retrouvons en deux clics le nom ou l’idée oubliée, et partageons avec le monde entier nos enthousiasmes et nos colères. « Beaucoup de consommateurs croient qu’Internet est gratuit.

Etats-Unis : comment les républicains empêchent les Noirs de voter aux "midterms" Brian Kemp est inquiet, ce 19 octobre. La mobilisation des supporters de son adversaire pour le poste de gouverneur de Géorgie "continue de nous préoccuper, surtout si chacun exerce son droit de vote", confie-t-il dans une réunion de campagne privée, dont le magazine "Rolling Stone" obtiendra l'enregistrement. Exercer son droit de vote ? N'est-ce pas ce que chaque électeur est supposé faire ?

La Commission européenne ordonne à Apple de rembourser 13 milliards d'euros à l'Irlande La Commission européenne a frappé un grand coup mardi contre les "avantages fiscaux" accordés par l'Irlande à Apple, en ordonnant au géant américain de rembourser à Dublin un montant record de plus de 13 milliards d'euros. Dublin a immédiatement annoncé qu'il préparait un appel contre cette décision. "La Commission européenne a conclu que l'Irlande avait accordé à Apple des avantages fiscaux indus pour un montant de 13 milliards d'euros", écrit l'exécutif européen dans un communiqué. "Cette pratique est illégale au regard des règles de l'UE en matière d'aides d'État, car elle a permis à Apple de payer nettement moins d'impôts que les autres sociétés" sur "pratiquement l'intégralité des bénéfices générés" par ses ventes dans l'UE, ajoute la Commission européenne.

Guerre au Yémen : la France et les Etats-Unis appellent à la fin de l’offensive saoudienne Presque quatre ans après le début de la guerre, aucune solution militaire ne se profile tandis que le pays vit la plus grave crise humanitaire au monde. LE MONDE | 31.10.2018 à 10h48 • Mis à jour le 31.10.2018 à 15h42 | Par Hélène Sallon Fragilisé par l’affaire Khashoggi, le journaliste saoudien tué le 2 octobre dans l’enceinte du consulat saoudien à Istanbul en Turquie, Riyad fait l’objet de pressions accrues de ses partenaires occidentaux pour mettre un terme à son offensive contre les rebelles houthistes au Yémen. Alors qu’aucune solution militaire ne se profile, trois ans et demi après le début de l’intervention de la coalition arabe emmenée par l’Arabie saoudite en soutien aux forces progouvernementales, et que l’embarras est croissant dans les capitales occidentales qui fournissent des armes au royaume, les appels se sont multipliés, mardi 30 octobre, à faire cesser les hostilités et à engager des négociations de paix sous l’égide des Nations unies. « Arrêt des bombardements »

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