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La Fondation Droit Animal

La Fondation Droit Animal

LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) Réseau Ecole et Nature Politique & animaux SEA SHEPHERD Le nouveau statut juridique de l’animal : une idée audacieuse pour une réforme ineffective - Le petit juriste Gandhi disait « on reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux ». Il est certain que la perception de l’animal diffère d’un Etat à un autre, d’une personne à une autre. La France a longtemps fait pour sa part de l’animal une chose corporelle pouvant entrer dans le patrimoine d’une personne. Or, la société française a énormément évolué depuis l’adoption du Code civil de 1804 qui considérait l’animal comme un objet pratique. Aujourd’hui, elle attend et réclame une plus forte considération de l’animal. Pressé par une opinion majoritairement en faveur d’une réforme du statut de l’animal, le législateur français avait déjà amorcé une certaine revalorisation par une loi du 06/01/1999 relative aux animaux dangereux et errants et à la protection des animaux. Quels sont alors les apports de cette réforme sur la catégorie hybride que représentent les animaux ? I- La spécificité du statut juridique des animaux Un débat éloigné des considérations juridiques

SNPN : Société Nationale de Protection de la Nature Expérimentation animale : la Commission européenne limite, mais ne bannit pas Une fin de non-recevoir, assortie de quelques ouvertures. C’est ainsi que l’on pourrait résumer la réponse de la Commission européenne donnée, mercredi 3 juin, à une initiative citoyenne européenne (ICE), baptisée « Stop vivisection », qui réclamait l’interdiction de l’expérimentation animale. L’ICE est une procédure récente qui permet d’inviter la Commission à soumettre une nouvelle législation, pour peu qu’une pétition en ce sens ait obtenu la signature de plus d’un million de citoyens européens dans au moins sept pays de l’Union. En l’occurrence, « Stop vivisection » et son 1,1 million de signataires demandaient l’abrogation d’une directive de 2010 qui encadre l’expérimentation animale. Bannissement « prématuré » La Commission européenne « se félicite de la mobilisation des citoyens en faveur du bien-être animal » mais souligne que, « pour le moment, l’expérimentation animale reste importante pour protéger la santé des citoyens et des animaux, et pour préserver l’environnement ».

Découvrez AYYA : une association qui veut renouveler l’écologie Elle est toute jeune et pourtant déjà suivie dans les réseaux de l’écologie : l’association AYYA débarque dans le paysage français et ambitionne de renouveler les façons de penser l’écologie. Vers la création d’un nouvel imaginaire de l’écologie. AYYA déploie dans ses espaces de création des personnages anthropomorphes représentant les interfaces dynamiques entre nature et culture. ©AYYA – Palmyre Roigt Pendant longtemps l’action sociale et politique a séparé les espaces de conservation et les espaces de développement humain. Les sociétés animistes ouvrent des espaces de réflexions intéressants pour penser des politiques de développement, au Nord comme au Sud, qui créent du lien entre nature et culture. © Damien Deville ©AYYA – Palmyre Roigt Vous pouvez d’ores et déjà retrouver les premières productions d’AYYA sur le site internet de l’association et suivre leurs différentes actions sur les réseaux sociaux : Site internet

Le Foll veut créer un délit de maltraitance aux animaux Lors d’une conférence de presse de présentation d’un plan pour le bien-être animal, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, a annoncé mardi 5 avril son intention de « créer un délit de maltraitance » aux animaux avec « sanctions pénales », ainsi qu’un statut protégeant les salariés qui dénonceraient de pareils agissements. Le ministre a insisté sur le partage de responsabilité entre l’Etat et les autres acteurs de la chaîne, notamment les exploitants d’abattoirs, objets de plusieurs scandales ces derniers mois. « Ce n’est pas simplement parce que des images horribles ont été publiées que je me saisis de ce sujet », a assuré Stéphane Le Foll, faisant allusion aux enregistrements clandestins récemment diffusés par une association de défense des animaux. Sur ces images tournées dans deux abattoirs du Gard et un troisième dans les Pyrénées-Atlantiques, on peut voir entre autres des employés saigner des animaux sans les avoir correctement étourdis au préalable.

S'engager Alors qu'elles n'étaient que 1 600 dans les années 80, on dénombre aujourd'hui plus de 3 700 Organisations Non Gouvernementales dans le monde. Les ONG jouent un rôle primordial d'interface entre les citoyens et les décideurs, sur lesquels elles essayent de faire pression. Si vous voulez agir pour l'environnement, voici une liste (non-exhaustive) d'organisations que vous pourriez rejoindre. N'oubliez pas qu'elles sont toujours en quête de soutien financier ou humain. Les Amis de la Terre : le plus grand réseau écologiste mondial En France, les Amis de la Terre forment un réseau d'une trentaine de groupes locaux et de groupes associés autonomes qui agissent selon leurs priorités locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base d'un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale. La Fondation Nicolas Hulot : pour la nature et l'Homme WWF : Fonds Mondial pour la Nature Greenpeace : Organisation mondiale indépendante de défense de l'environnement

L’éthique animale avec Florence Burgat Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Robin des Bois | Association pour la protection de l'Homme et de l'environnement L'Argentine reconnaît le droit à un orang-outan d'être libre 2014 LIBERTÉ. Un tribunal argentin vient de reconnaître le droit de vivre en liberté à une femelle orang-outan, résidente du zoo de Buenos Aires depuis vingt ans, en considérant l'animal comme "une personne non humaine". Il s'agit d'une première mondiale. Laquelle laisse la principale intéressée particulièrement zen. La Chambre de cassation pénale de la capitale Buenos Aires a décidé d'appliquer une ordonnance d'Habeas Corpus (le droit de ne pas être emprisonné sans jugement) à l'animal, considérant ainsi que, même s'il ne s'agit pas d'un être humain, il a des sentiments et le droit à une plus grande liberté. Les conséquences immédiates du jugement ne sont pas encore connues Cette fois, c'est l'Association de fonctionnaires et avocats pour les droits des animaux (AFADA) qui avait saisi le tribunal pour demander la libération de Sandra, une orang-outan de 50 kilos, haute d'1,50 mètre, locataire du zoo de Buenos Aires. HUMAIN. LIBERTÉ. HUMAIN.

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