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Les nouveaux médias sociaux ne sont peut-être pas si nouveaux que ça

Les nouveaux médias sociaux ne sont peut-être pas si nouveaux que ça
La lecture de la semaine, il s’agit d’un post du blog que Cynthia Haven, critique littéraire, tient sur le site de l’université de Stanford, en Californie. Le titre du post : “Les nouveaux médias sociaux ne sont peut-être pas si nouveaux que ça”. “Si vous vous sentez submergés par les médias sociaux”, commence Cynthia Haven, “sachez que vous n’êtes pas les premiers dans l’Histoire. Une avalanche de nouvelles formes de communication s’est abattue aussi sur les Européens des 17e et 18e siècles. “Le 17e siècle a vu la conversation exploser”, explique Anaïs Saint-Jude, directrice du programme BiblioTech de Stanford, “c’était la version moderne de la surcharge d’information”. La révolution copernicienne, l’invention de l’imprimerie, l’exploration du Nouveau-Monde… tout cela devait être digéré au fur et à mesure que cela se produisait. Et le service public des postes a été pour nos ancêtres l’équivalent de ce que sont pour nous Facebook, Twitter, Google + et les smartphones. Xavier de la Porte

Une définition des médias sociaux Voilà plus d’un an que ce blog est ouvert et je viens de me rendre compte que je n’ai jamais réellement pris le temps de fournir une définition des médias sociaux (contrairement à Cédric). Il existe déjà de nombreuses définitions mais je ne m’y retrouve pas tout à fait. Commençons par les définitions en anglais : Wikipedia – « Social media is online content created by people using highly accessible and scalable publishing technologies. Ces définitions sont intéressantes mais soit trop longues et déstructurées, soit trop courtes et vagues. Intéressons nous maintenant aux définitions en français : Wikipédia – « L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale, et la création de contenu. Idem pour ces définitions, je n’y trouve pas l’essentiel en un minimum de mots. C’est donc à mon tour de me lancer avec cette définition graphique : Plusieurs points à retenir dans cette définition : Voilà c’est fait, je me suis jeté à l’eau.

The Rise Of The Ephemeralnet In the aftermath of the dot-com crash, a new era for the web began to take hold – a turning point whose seismic shift was hyped under the moniker “Web 2.0.” The concept referred to the web becoming a platform, a home for services whose popularity grew through network effects, user-generated content and collaboration. Blogging, social media sites, wikis, mashups, and more reflected a changing consciousness among the Internet’s denizens – one which Tim O’Reilly, whose Web 2.0 conferences helped solidify the term as a part of our everyday lexicon, once described as a “collective intelligence, turning the web into a kind of global brain.” Since that time, because of humans’ intrinsic need to apply a structure to amorphous things to give them a semblance of order – things like the web, for example – there have been many attempts to define what “Web 3.0″ might be. But none of these got to win the Web 3.0 branding, either. So what will come next? Yes, of course, and it’s happening now.

La confidentialité de l'information face au droit De tout temps les hommes ont cherché à préserver des informations qu’ils considéraient comme stratégiques. C’est l’un des aspects des rites initiatiques et au fond, la réglementation du secret de fabrique s’en éloigne assez peu aujourd’hui. Mais bien d’autres dispositifs juridiques ont été forgés pour garantir la confidentialité de l’information. Nous en esquissons ici un panorama. La protection des personnes physiques C’est l’un des premiers fondements de la confidentialité. Le respect de la vie privée L’article 9 alinéa 1er du code civil dispose : « Chacun a droit au respect de sa vie privée ». Sur cette base, la jurisprudence s’est efforcée de définir les contours de la vie privée et de la protéger contre la publication soit d’informations indiscrètes, soit d’images (photo ou vidéo) portant atteinte à celle-ci (c’est l’un des aspects du droit à l’image des personnes physiques). La protection des données à caractère personnel Les données « sensibles » Le droit à l’oubli Comment agir ?

Vers un web éphémère La lecture de la semaine provient de Techcrunch, le magazine en ligne américain et geek, sous la plume de Sarah Perez. Et il s’intitule : « la croissance de l’Ephémérique ». Sarah Perez commence par expliquer que depuis l’avènement du Web 2.0, – en gros le Web que nous connaissons depuis le milieu des années 2 000 -, nous nous perdons en conjecture pour savoir ce que sera le Web 3.0. On a parlé de Web sémantique, rappelle-t-elle, celui où la machine pourrait lire les métadonnées, « ce qui permettra au web et aux services qui en vivent de comprendre les contenus et les liens entre les gens, les lieux et les choses dont les serveurs sont pleins ». D’autres prétendent que le Web 3.0 sera l’internet des objets, on en a déjà parlé plusieurs fois ici même. Mais conclut-elle, pour le moment, aucune des perspectives ne l’emporte sur les autres. Donc, que sera l’internet de demain ? « Oui, répond Sarah Perez, et ce tournant a lieu en ce moment. Xavier de la Porte

ENQUETE SAONE ET LOIRE 2010 Le projet sur la cybercitoyenneté initié en 2009, basé dans un premier temps sur une enquête départementale a aboutit dans un premier temps à la formation de correspondants établissement les 30/03 et 01/04. Les gendarmes N’Tech ne pouvant intervenir dans tous les collèges pour faire de la prévention auprès de nos élèves, il a été proposé de former des correspondants sensibilisés à la loi, aux risques et aux réponses adaptées à apporter aux élèves. Le point sur la loi Que dit la loi ? Un mémento résumant les principaux points de l’intervention du chef Gillet Mémento Cybercitoyenneté Le powerpoint présenté par le Chef Gillet lors de la formation Information des correspondants Résultats de l’enquête en Saône et Loire en 2010 Ce powerpoint présenté par S Pernaton lors de la formation des correspondants établissement présente les points marquants de cette enquête. L’enquête dans votre établissement ? Le questionnaire à faire remplir par vos élèves : un A4 recto verso.

ChEEk Magazine - Le pure player féminin de la génération Y : ChEEk Magazine Questions au sujet de l'utilisation des réseaux sociaux avec de jeunes élèves ? Pour ou contre Facebook et Twitter dès la maternelle ? La question n’est elle pas déjà derrière nous ? Les enseignants ont commencé à utiliser cet outil, de façon très diverses, à travers des projets d’écriture, de communication... Depuis quelques mois j’ai eu l’occasion de lire les twitts de nombreuses classes d’écoles primaires ( maternelles et élémentaires). Le débat sur l’âge à partir duquel il serait possible ou souhaitable de faire telle ou telle chose me paraît bien dérisoire. Le véritable débat et les questions autour des réseaux sociaux me semblent d’un autre ordre. Les projets (y compris le mien ; @camusmat04) des différents enseignants qui utilisent twitter avec leur classe s’inscrivent dans ce qu’il est convenu d’appeler le schéma de la communication, celui finalisé par Jackobson ; destinateur / message / destinataire ; fonction du langage... Les enjeux de twitter et des réseaux sociaux à l’école sont à mon avis à relier à ces réflexions. Sources :

L'étude Mobile Marketing Attitude 2013 consacre "l'avènement de la tablette" Le SNCD souligne l'omniprésence du smartphone et la forte montée en maturité de la tablette dans la relation commerciale entre les marques et les consommateurs. Les résultats de la 2ème édition de l'étude MMA - Mobile Marketing Attitude consacrent "le véritable avènement de la tablette". 39% des possesseurs de smartphone et de tablette emportent cette dernière partout, et 42% ont remplacé leur ordinateur par leur tablette. 24% interagissent avec des programmes TV via leur tablette. 46% préfèrent leur tablette à leur smartphone pour consulter des offres et préparer un achat. Selon le SNCD, ces résultats "confirment l'omniprésence du smartphone et la forte montée en maturité de la tablette dans la relation commerciale entre les marques et les consommateurs". L'échantillon interrogé comprend 1 118 répondants âgés de 18 à 65 ans, possesseurs de smartphone ou de tablette, se connectant à Internet via leur appareil. En savoir plus sur Offremedia.com

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