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Travail des enfants

Travail des enfants
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mine et le travail des enfants ; ici en 1853 "les esclaves blancs d'Angleterre" En pratique, parmi les enfants travailleurs, on distingue le travail « acceptable » (léger, s’intégrant dans l’éducation de l’enfant et dans la vie familiale, permettant la scolarisation) et le travail « inacceptable » (trop longtemps, trop jeune, trop dangereux, etc.) ; c’est ce dernier que recouvre généralement la notion de « travail des enfants ». On estime en 2000 que plus de 210 millions d’enfants de 5 à 14 ans et de 140 millions d'adolescents de 15 à 17 ans exerceraient une activité économique[2] sont concernés dans le monde ; plus de 8 millions se trouvent dans une des « pires formes de travail des enfants » : enfants soldats, prostitution, pornographie, travail forcé, trafics et activités illicites. Définitions[modifier | modifier le code] Âge minimum et travail[modifier | modifier le code] Type de travail, acceptabilité[modifier | modifier le code]

Le travail forcé génère 150 milliards de dollars par an dans le monde Un travailleur dans une mine illégale en Colombie, le 2 mai 2014 Show captions Showing image 1 of 1 Tuesday, May 20, 2014 6:34 AM GMT Travailleurs du sexe, agricoles ou domestiques, les millions de travailleurs forcés du secteur privé génèrent 150 milliards de dollars de profits illégaux par an dans le monde, a dénoncé mardi l'Organisation internationale du Travail (OIT). "Dans l'économie privée, le travail forcé génère 150 milliards de dollars (109 milliards d'euros) de profits par an", a déclaré Beate Andrees, directrice du Programme d'action spécial de l'Organisation internationale du travail (OIT) pour combattre le travail forcé, lors de la présentation d'un rapport. Ces chiffres s'appuient sur les données de l'OIT publiées en 2012 qui évaluaient à 20,9 millions le nombre de personnes victimes du travail forcé, de la traite ou de l'esclavage moderne, dans le monde, dont 18,7 millions dans le secteur privé.

Hommage à Mandela : quand la France et ses grandes entreprises investissaient dans l’apartheid 1964. La condamnation de Nelson Mandela à la perpétuité laisse les grandes puissances occidentales indifférentes. Et n’émeut pas grand monde. 1964, c’est aussi l’année où la France du général De Gaulle intensifie ses relations commerciales avec l’Afrique du Sud. 85 entreprises françaises opèrent alors en Afrique du Sud. Une centrale nucléaire au service de « l’économie blanche » EDF et Framatome – intégrée ensuite dans Areva – érigent même la première centrale nucléaire sud-africaine ! Si les affaires vont bon train, et que des grandes entreprises françaises privées comme publiques investissent massivement en Afrique du Sud, c’est que le régime de l’apartheid et son « économie blanche » fournissent une main d’œuvre « abondante et peu coûteuse » : les Noirs. « II est vrai qu’il y a des Noirs qui travaillent pour nous. Main d’œuvre abondante et travail forcé Pour se défendre, investisseurs et grandes entreprises prétendent jouer un « rôle réformateur » en Afrique du Sud. Ivan du Roy

à reclasser à fouiller

Voici un des nombreux articles concernant le travail des mineurs,cas toujours présents dans les pays défavorisés. Ce site détaille à travers les époques ce problème toujours d'actualité et donne des statistiques. by cpl_rlaurenceau Mar 13

Voir le chapitre sur la Révolution industrielle et les enfants ouvriers. by cdi_college_stjorodez Feb 18

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