KidsAstronomy.com Curiosity : la Nasa, trop prudente, ménagerait trop son rover Aujourd'hui, Curiosity fait route en direction du mont Sharp ne s'autorisant des arrêts que si des roches présentent un intérêt scientifique certain. © Nasa, JPL/Caltech Curiosity : la Nasa, trop prudente, ménagerait trop son rover - 3 Photos La Nasa vient d'accepter de financer le prolongement de sept missions en cours. Six d'entre elles gagnent deux années : les rovers Curiosity et Opportunity, les sondes Lunar Reconnaissance Orbiter, Mars Reconnaissance Orbiter et Mars Odyssey ainsi que les contributions américaines à la mission Mars Express de l’Agence spatiale européene. Clive R. Des capacités insuffisamment utilisées Si ce rapport ne remet pas en cause les choix de la Nasa, qu’il juge pertinent, il pointe du doigt la mission MSL (Mars Science Laboratory) à laquelle ne sont donnés que des objectifs guère ambitieux. Les responsables de la mission ont posé ces limites à cause des roues du rover, qui se sont abîmées plus rapidement que prévu. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet
Le forum de la conquête spatiale Mars (planète) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mars. Mars (prononcé en français : /maʁs/[3]) est la quatrième planète par ordre de distance croissante au Soleil et la deuxième par masse et par taille croissantes sur les huit planètes que compte le Système solaire. Son éloignement au Soleil est compris entre 1,381 et 1,666 UA (206,6 à 249,2 millions de km), avec une période orbitale de 686,71 jours terrestres. Mars a aujourd'hui perdu la presque totalité de son activité géologique interne, et seuls des événements mineurs surviendraient encore épisodiquement à sa surface, tels que des glissements de terrain, sans doute des geysers de CO2 dans les régions polaires, peut-être des séismes, voire de rares éruptions volcaniques sous forme de petites coulées de lave[4]. La Terre et Mars à la même échelle. Le tableau ci-dessous permet de comparer les valeurs de quelques paramètres physiques entre Mars et la Terre : Distance minimale Terre-Mars, période 2010-2060.
Année Mondiale de l'Astronomie 2009 Bienvenue sur le site coordinateur de l'Année Mondiale de l'Astronomie en France En France, plus de 300 actions ont été labellisées: Nous vous invitons à parcourir notre site pour retrouver la liste des projets AMA09, classés par régions. Le but de l'Année Mondiale de l'Astronomie est d'aider les citoyens du monde à redécouvrir leur place dans l'univers par l'observation du ciel, de jour et de nuit, et faire sentir à chacun l'émerveillement de la découverte. Tous les humains devraient réaliser l'impact de l'astronomie et des sciences de base dans nos vies quotidiennes, et mieux comprendre comment la connaissance scientifique peut contribuer à une société plus équitable et plus paisible. Galileo Galilei, Thomas Harriot, Hans Lipperhey, Johannes Kepler
Le futur de l'Humanité passera par Mars d'après Elon Musk - Korben Tentez votre chance pour gagner un Oculus Rift et des montres connectées Pebble en cliquant ici ! Elon Musk, le cofondateur de PayPal, SpaceX, Tesla Motors, SolarCity, et Hyperloop, a une excellente idée pour sauver l'humanité. Dans une interview accordée au magazine Aeon, il explique que le futur de l'Humanité doit passer par Mars. La Terre est fondamentalement condamnée à long terme. Selon lui, en guise d'assurance pour préserver l'espèce humaine, nous devons coloniser d'autres planètes. C'est pour lui, le nombre critique qui permettra à une telle colonie de fonctionner et de recréer une civilisation et une industrie à la surface de Mars. Il faudra aussi lutter contre la folie de l'enfermement, se protéger des radiations cosmiques (il n'y a pas d'atmosphère, je vous rappelle) et concevoir des robots capables de sortir à la surface pour effectuer des tâches courantes ou dangereuses. Vous pensez que c'est un doux rêve, mais je ne crois pas. Source et Photo (CC wikimedia)
Exploration spatiale : 50 nouvelles exoplanètes détectées | Science Impression artistique de l'une des exoplanètes découvertes, la super-Terre HD 85512 b Photo : ESO/M. Kornmesser La plus importante moisson d'exoplanètes à ce jour a été réalisée par une équipe internationale d'astronomes. Les observations ont été faites à l'aide du spectrographe HARPS installé sur le télescope de l'Observatoire Européen Austral situé à La Silla, au Chili. C'est le plus grand nombre de planètes de ce type jamais détecté d'un seul coup. Ces planètes possèdent une masse comprise entre une et dix fois celle de la Terre. La découverte de super-Terres dans les zones habitables autour de leurs étoiles est intéressante pour les chercheurs parce qu'une planète rocheuse contenant de l'eau pourrait aussi abriter de la vie. HARPS observe les étoiles semblables au Soleil par la méthode des vitesses radiales depuis huit ans, et il a permis de découvrir plus de 150 nouvelles planètes. Le détail de ces observations est l'objet d'un article publié dans la revue Astronomy & Astrophysics.
Station spatiale : Les vols habités reprendront en novembre | Science La capsule Soyouz en orbite (archives) Photo : NASA La Russie a annoncé la reprise des vols habités vers la Station spatiale internationale (SSI) pour le 12 novembre après les avoir suspendus en raison de l'échec du lancement d'une fusée Soyouz en août. Cette annonce de l'Agence spatiale russe Roskosmos lève les craintes d'une évacuation éventuelle de la station orbitale. Un autre lancement d'une capsule habitée est prévu le 20 décembre. Les vaisseaux cargos Progress reprennent aussi du service. Soyouz est la seule capsule capable d'amener des équipages jusqu'à la SSI depuis la retraite, cet été, des navettes américaines. L'arrêt des lancements russes inquiétait donc les différents collaborateurs, dont la NASA, qui avait laissé entendre que la station orbitale devrait être évacuée si les décollages ne reprenaient pas avant la fin novembre. L'agence russe avait annoncé la semaine dernière que l'accident qui a causé la perte du vaisseau Progress était dû à une défaillance technique.
File:Woking tripod.JPG — Wikimedia Commons Astronomie : Une planète, deux soleils | Science Luke Skywalker assiste à un coucher de soleils sur la planète Tatouïne Photo : Lucas film/Cobal collection Une planète à deux soleils, comme celle imaginée par George Lucas dans La guerre des étoiles, a été détectée par des astronomes américains. Impression artistique d'un système planètaire circumbinaire Photo : Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics Cette planète se trouve hors de notre système solaire, mais elle est dans notre galaxie, la Voie lactée. Selon le chercheur Josh Carter, de l'Université Harvard, le système binaire se situe à environ 200 années-lumière de la Terre (Une année-lumière équivaut à 9500 milliards de kilomètres). La planète baptisée Kepler-16b, froide et gazeuse, connaît donc deux couchers et deux levers de soleil. Les astronomes excluent la possibilité que la vie puisse y exister. « Kepler-16b est le premier exemple de planète circumbinaire dont l'existence est confirmée [...] La planète
La Guerre des mondes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est l'une des premières œuvres qui confronte l'humanité et une race extraterrestre hostile[1], et le reflet de l'angoisse de l'époque victorienne et de l'impérialisme. La Guerre des mondes a été adapté en feuilletons radiophoniques (dont une version de Orson Welles qui défraya la chronique en 1938), jeux de rôle, bande dessinée ainsi que deux long-métrages (le premier a été réalisé par Byron Haskin en 1953 et le second par Steven Spielberg en 2005). Résumé[modifier | modifier le code] (…) Par delà le gouffre de l’espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec des yeux envieux, dressaient lentement et sûrement leurs plans pour la conquête de notre monde (…) » Par la suite, les autres cylindres envoyés depuis Mars s'écrasent et libèrent d'autres engins mécaniques contrôlés par des créatures tentaculaires.
Exploration spatiale : Un « océan cosmique » autour d'une étoile | Science Représentation artistique de l'étoile TW Hydrae et de son voisinage Photo : NASA Un réservoir de vapeur d'eau froide a été détecté autour d'une étoile à l'aide du télescope spatial Herschel de l'Agence spatiale européenne (ASE). Les informations recueillies montrent que ce réservoir enveloppe un disque de poussière qui pourrait éventuellement se développer en système planétaire. Selon le Néerlandais Michiel Hogerheijde et ses collègues de l'observatoire Leiden, la découverte de cette étendue, qui fait plusieurs milliers de fois la masse des océans terrestres, laisse penser que des planètes recouvertes d'eau comme la Terre seraient communes dans l'Univers. À ce jour, les astronomes n'avaient pu détecter de la vapeur d'eau que dans les régions internes des disques où se forment les planètes. Cet « océan cosmique » est situé autour d'une étoile appelée TW Hydrae, âgée d'environ 10 millions d'années et distante de 175 années-lumière de la Terre.
Martiens, Go Home! Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Martiens, Go Home! (titre original : Martians, Go Home) de l'auteur américain Fredric Brown est un roman de science-fiction publié en dans la revue Astounding, puis chez EP Dutton en 1955, et en France en 1957. Il se divise en cinq parties : Prologue - Arrivée des Martiens - Séjour des Martiens - Départ des Martiens - Épilogue. Synopsis[modifier | modifier le code] L'histoire commence le 26 mars 1964. L'œuvre[modifier | modifier le code] Elle est sans conteste bien plus riche que la trame superficielle semble le suggérer en apparence. La structure du récit[modifier | modifier le code] Le récit se compose de : "Prologue" qui met en place la situation initiale." L'arrivée et le départ se caractérisent par leur brutalité et l'absence d'explication. Le style du récit[modifier | modifier le code] Le récit est humoristique. Thèmes[modifier | modifier le code] Les Martiens[modifier | modifier le code] La conquête spatiale[modifier | modifier le code]