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Cradle To Cradle Le cas de la Chine est vraiment préoccupant en matière de gestion des déchets. Il est important que les entreprises de recyclage se développent sur le territoire chinois en pleine expansion. Entreprise de recyclage sur Le recyclage en Chine : un marché méconnu et peu médiatisé | 2 réactions Google est une entreprise innovante. Il est plutôt logique qu'elle investisse dans le secteur de l'énergie solaire photovoltaïque. Devis installation photovoltaïque sur Photovoltaïque : Google investit dans un projet de quatre parcs solaires en Californie | 2 réactions L'ammoniac est le seul liquide frigogène sans impact sur la couche d'ozone et sur le réchauffement global ! Helioclim sur Helioclim : rafraîchir les bâtiments tertiaires avec une climatisation solaire | 2 réactions

"Vers une économie circulaire (Vol.2) : opportunités pour le secteur des biens de consommation" - Note de synthèse "Vers une économie circulaire (Vol.2) : opportunités pour le secteur des biens de consommation" - Note de synthèse Le document est disponible en téléchargement au format PDF – cliquer ci-dessous Introduction En janvier 2012, la Fondation Ellen MacArthur publiait un rapport exposant les fondamentaux de l’économie circulaire. Étant donné la complexité du sujet, le rapport n’avait alors pu aborder que partiellement les principes d’un modèle de consommation différant du modèle linéaire « extraire-fabriquer-jeter ». Le rapport montrait que ce modèle linéaire entrait en contradiction avec une gestion circulaire des ressources, visant à la récupération et la régénération des matériaux en fin de vie. Cette année, la Fondation s’est penchée sur les biens de consommation courante, c’est-à-dire des produits qui par nature ont un coût par unité relativement bas, qui sont fréquemment achetés, et dont la durée de vie est beaucoup moins longue que pour les biens durables. Note de synthèse • Textiles. 1.

Economie circulaire : la fondation Ellen Macarthur Convaincue de la pertinence de l'économie circulaire, la fondation de la navigatrice Ellen Macarthur vient de publier sur son site des nouveaux contenus pédagogiques autour de ce concept porteur. L'économie circulaire est cette nouvelle façon de penser et de concevoir les industries productives, autour d'une hypothèse maîtresse : celle de la finitude des ressources. De plus en plus populaire, le modèle conceptuel de l'économie circulaire, qui s'apparente à l'écologie industrielle dont j'ai déjà eu l'occasion de parler ici, reste pourtant peu familier aux industriels : contrairement à l'approche linéaire classique de la production (ressources infinies, production de d'objets jetables, accumulation de déchets non réutilisables), le modèle proposé par l'économie circulaire raisonne en terme de flux de matières et de cycles d'énergie, à l'image des écosystèmes naturels. Voici la définition de l'économie circulaire que propose Ellen sur son blog :

Les Ekovores Le "cradle to cradle" peut-il sauver l'industrie française ? - Journal du Net Economie Le développement durable ? Déjà dépassé. Le produit réutilisable à l'infini débarque dans l'Hexagone. Imaginez un siège de bureau, qui, une fois usé, est entièrement recyclé pour produire un autre siège à l'identique. "A l'inverse du développement durable, qui cherche à diminuer la consommation et à réduire son empreinte écologique, le cradle to cradle est une approche déculpabilisante. Ce laboratoire a été fondé en 1992 par un chimiste allemand, Michael Braungart, et l'éco-architecte américain Bill McDonough. L'EPEA accompagne les entreprises pour les aider à repenser leur processus de fabrication. A l'heure actuelle, plus de 1 000 produits ont été certifiés C2C dans le monde, dont un jean, des couches pour bébé, du savon pour les mains, de la moquette, de meubles de bureau, mais aussi des matériaux de construction comme du béton ou des aciers spéciaux. "Le C2C n'est pas une mode", insiste-t-elle. Le déchet, nouvel "or vert" ?

Quel système monétaire et financier dans une économie circulaire Si la mondialisation et l’unification des monnaies avaient pour but performance et simplification, force est de reconnaître que la mécanique s’est enrayée, victime d’un gigantesque surrégime. Admettons - Que finalement nous acceptions de renoncer à cette course effrénée du profit à court terme - Que nous cessions de polluer autant la planète et que nous renoncions en toute conscience à nos repères et réflexes d’aujourd’hui. - Que les grandes entreprises de distribution abandonnent l’idée du seul enrichissement à court terme voulu par les marchés et les actionnaires ainsi que son modèle passéiste d'économie linéaire du Produire - Consommer - Jeter, pour basculer dans l'économie circulaire et dans le cercle vertueux duProduire - Utiliser - Recycler. Quel serait alors les bases de ce nouveau modèle économique ? Que serait cette finance solidaire et primitive en dehors du doux rêve de quelques fous utopistes ? SEL: (Systèmes d'Echange Local). Une autre piste très intéressante, le social business

Cambodge : Des balles de riz pour produire de l’électricité, le recyclage proche de la perfection Cambodge / / Asie Un grand producteur de riz a mis en service une centrale électrique qui fonctionne avec les déchets de la production de la céréale. Elle va alimenter les moulins à riz de la société dans un premier temps, avant peut être d’éclairer les habitants des villages voisins. Golden Rice a investi 2 millions de dollars dans cette centrale électrique aux biocombustibles. Pour la première fois, on va directement fournir de l’électricité à nos industriels. La centrale consomme 5 tonnes de balles de riz par heure, pour fournir 3MW. Nous produisons du riz principalement pour les marchés européens, aussi un peu pour l’Asie. On gagne donc sur les deux tableaux : économique et environnemental. Je pense que les exportations vont augmenter, notamment avec une compétitivité améliorée grâce à la réduction des coûts énergétiques. phnompenhpost.com

Introduction au biomimétisme, "l’innovation inspirée par la nature" Le biomimétisme ? Créer et inover en se posant sans cesse les questions : que ferait la nature dans ce cas ? Que ne ferait-elle pas ? Pourquoi ? Ou pourquoi pas ? Ce texte fait suite à un séminaire sur le sujet, autour du livre natural capitalism (voir notre page sur ce sujet) et la conférence de Luc Schuiten et Gauthier Chapelle aux Rencontres écologiques d’été 2005 (voir notre article sur cette conférence) Ce texte est une traduction libre par Lydia Blaise pour étopia. Le biomimétisme est une méthode innovante cherchant des solutions soutenables en s’inspirant de concepts et de stratégies ayant fait leurs preuves dans la nature, comme par exemple le capteur solaire imitant la feuille végétale. Le but est de créer des produits, processus et protocoles -de nouvelles lignes de conduite- mieux adaptés à une durée de vie prolongée sur terre. Le site de référence : www.biomimicry.net Deux autres sites de référence : www.n100best.org

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