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Le Damier - Première grappe d’entreprises labellisée DATAR sur le champ des industries musicales et audiovisuelles Yves Bommenel élu président du SMA Publié le mardi 18 février 2014 Version imprimable Mouvement Yves Bommenel, nouveau président du SMA Les 10 et 11 février dernier, le Syndicat des musiques actuelles (SMA), s’est réuni en congrès national à la Coopérative de Mai, à Clermont-Ferrand. A l’issue de ces deux jours, Yves Bommenel, vice-président de l’association Illusion & macadam / Festival Tropisme, structure implantée à Montpellier, a été élu président. Le bureau a également été renouvelé, et est désormais constitué de : Yves Bommenel, Illusion & macadam Janick Tilly, Penn ar Jazz Gilles Garrigos, La Tannerie David Morel, Jarring effect Olivier Dieterlen, Le Noumatrouff Eric Petrotto, Cd1d Philippe Couderc, Vicious Circle Bruno Alvergnat, Fédélima Un nouveau Conseil National, constitué de 39 membres représentant les différentes zones géographiques, mais aussi les différentes activités composant la filière des musiques actuelles, a été élu pour une nouvelle période de 2 ans. Ont été élus au titre des activités :

Le Réseau Ressources / Musiques actuelles Conférence proposée par Sayem, producteur de musiques électroniques Le but de cette rencontre est de comprendre les différentes étapes du développement d’un projet musiques actuelles, à travers le parcours d’un artiste qui dressera « son » état des lieux de l’industrie musicale aujourd’hui. Il vous fera partager sa propre expérience pour vous aider à mieux comprendre la stratégie à adopter pour mettre en lumière son projet ainsi que les pièges et écueils à éviter. Nous aborderons : l’identification du projet, le studio, la scène, les partenaires (manager/label/tourneur/attaché de presse), les différent type de contrats, l’auto production, la distribution numérique, le rôle de l’artiste en 2013. Cette introduction balaiera ainsi l’ensemble des thématiques qui seront ensuite traitées de façons plus approfondie, chaque mois, de janvier à juin, dans le cadre du cycle « DIY » des rencontres professionnelles du Centre.

Ministère de la Culture et de la Communication La dynamique de co-construction a été initiée par les acteurs professionnels et les collectivités territoriales en collaboration avec l’État, dès les premières concertations en 2004, au moment où a été mis en œuvre le processus qui allait conduire à la création du CSMA (Conseil supérieur des musiques actuelles) "pour des politiques concertées..." puis au GTLIMA (Groupe de travail des lieux de musiques actuelles), qui en résulte. L’entrée dans cette démarche a déjà un précédent, la rédaction de la première circulaire SMAC (Scènes de musiques actuelles) en 1998, issue d’ une co-élaboration du texte dont le triptyque équipe/projet/lieu constitue encore la base de la nouvelle circulaire SMAC 2010 à laquelle est adossé le texte SOLIMA et qui confère une dimension territoriale à la concertation. Cette dynamique fait aujourd'hui partie intégrante des politiques territoriales que l’État conduit en faveur des musiques actuelles.

Salles de concerts : quels modèles de gestion pour les Smac ? 80 % des Smac sont gérées par des associations, selon deux modèles : la délégation de Service Public (DSP) C’est le cas de 13 % du total des Smac. A.H. : « C'est la ville qui choisit un délégataire, suite à un appel d’offre. Les DRAC semblent privilégier le basculement vers une CPO, peut-être pour éviter, à l’avenir, d’attirer des acteurs à but lucratif. P.B. : « Ce modèle n’a jamais été dominant à vrai dire. La Cour régionale des comptes a soulevé dans son rapport d’observation relatif à la Scène Nationale du Chanel à Calais un problème de déséquilibre partenarial au détriment de la logique du label. Exemples : le Chabada à Angers (Mainte-et-Loire), la Coopérative de Mai à Clermont-Ferrand (Auvergne). la convention de partenariat (CPO) Sur les 80 % de Smac gérées par des associations, 74 % sont en convention de partenariat. A.H. : « C’est le mode de gestion le plus répandu pour ces lieux. Exemples : Stereolux à Nantes (Loire-Atlantique), Aéronef à Lille (Nord), Le Club à Rodez (Aveyron).

Numéro 6 - Actes du colloque interdoctoral 2010 - Articles - L?action culturelle mise à nu par ses métiers (1788-1988) - Sciences Humaines Combinées La thèse propose d’explorer la question de la professionnalité des acteurs culturels, particulièrement ceux qui contribuent à la mise en œuvre de la médiation. Après avoir fait le constat que ces praticiens forment un ensemble aux contours extrêmement flous qui ne permet pas de définir une profession homogène et structurée, il convient de s’interroger sur les raisons de cette absence de reconnaissance professionnelle. Révélateur d’un déficit de légitimité sociale pour une activité dont les liens avec l’accomplissement du processus démocratique sont affirmés haut et fort, ce phénomène renvoie aux fondements de la construction de la doctrine et du système républicain français. Dès lors s’impose une double exploration, synchronique et diachronique. La thèse présentée ici est le premier travail universitaire consacré exclusivement aux « métiers de la culture », c’est-à-dire aux acteurs de l’ombre qui, à l’écart des feux de la rampe, font que l’art peut devenir culture.

Un cynisme ambiant et des collègues de travail insupportables La première fois que j’ai entendu la voix de JB, c’était sur mon répondeur : un rockeur de banlieue éructait en exigeant une explication franche. J’avais écrit un papier dans un torchon où je disais le plus grand mal d’une de ses compilations. C’était pas malin : je m’imaginais déjà traîné sur le périph’ derrière une grosse cylindrée ou attaqué au cran d’arrêt dans un terrain vague par un loubard surgi d’une BD de Margerin. Au troisième appel, j’ai quand même fini par décrocher. Vice : Tu n’as jamais eu envie de faire de la musique ? Tu aurais supporté d’être dans un groupe ? C’est finalement un taf comme un autre. À la différence près qu’ils se font beaucoup plus de thunes que les groupes… Effectivement, dans le rock tu bosses pour la gloire. Marche ou crève. C’est dur de se faire respecter dans ce circuit ? Born Bad est aujourd’hui un label à la mode, ça ne t’emmerde pas trop ? T’as eu des propositions de publi-reportages dans la presse musicale ? Comment ça s’est terminé ?

Office national de diffusion artistique Association à but non lucratif, l'Office national de diffusion artistique, a été créé en 1975. Subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication (DGCA - direction générale de la Création artistique / sous-direction des Affaires européennes et internationales), les missions et objectifs de l'Onda sont précisés dans le cadre de conventions triennales signées avec le Ministère. L'Onda encourage la diffusion, sur le territoire national, d'œuvres de spectacle vivant qui s'inscrivent dans une démarche de création contemporaine soucieuse d'exigence artistique et de renouvellement des formes, et stimule les échanges en matière de spectacle vivant en Europe et à l'international. Son champ d'intervention couvre l'ensemble des disciplines, théâtre, danse, musique, cirque, arts de la rue ; que ces œuvres soient créées en France ou à l'étranger ; qu'elles s'adressent aux adultes ou aux enfants.

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