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Distinguer bien commun et bien(s) commun(s)

Bien commun et bien(s) commun(s) C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis. L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1]. La note tourne autour de la distinction nécessaire entre « Bien commun » et « biens communs ». Un peu d’étymologie Non seulement les notions, mais le vocabulaire lui-même proviennent des romains. Commun vient de communis, adjectif = commun, accessible. Les romains connaissent le(s) bien(s) public(s) : bonum publicum. Le(s) bien(s) commun(s) On utilise ici les notions de base du droit romain, telles qu’elles ont rebondi avec le Code civil (Napoléon).

HackerspaceWiki Le cri d’une femme, d’une mère : Il nous faut désobéir, c'est urgent ! Désobéir comme un mode de vie tranquille, sincère. Une révolution en douceur. Nul besoin de violence, juste une morale et une saine détermination qui prennent un sens total. La planète ne survivra pas à cette consommation effrénée qui aliène l'homme et détruit tout bonheur de vivre. C'est simple pourtant ! Que mes fils me voient indignée et méfiante à l'égard de tous les grands de ce monde qui ne parviennent plus à stopper cette machine destructrice lancée à vive allure tel un tombereau sur nos vies. Mais qui peut encore croire tout cela ? Ecrit à la suite de la Journée de la désobéissance, 8 octobre 2011, Grigny (69), organisé par la ville de Grigny (69) et le journal « Le Sarkophage ». Source

Licence simplifiée « information publique librement réutilisable » | RIP-MJ L’objectif de cette licence est de certifier la qualification juridique information publique au sens du droit français (loi ° 78-753 du 17 juillet 1978) et de simplifier les conditions de réutilisation Cette information est librement et gratuitement réutilisable, commercialement ou non, à condition de respecter les exigences suivantes (article 12 de la loi du 17 juillet 1978) : Sauf accord de l’administration, la réutilisation des informations publiques est soumise à la condition que ces dernières ne soient pas altérées, que leur sens ne soit pas dénaturé et que leurs sources et la date de leur dernière mise à jour soient mentionnées Voir la licence complète Toute réutilisation d’informations publiques référencées sur le RIP-MJ nécessite de transmettre un courriel à cette adresse Voir la version anglaise/ See the english version Voir la version allemande/ See the german version

[Exclu] Deways lève plus de 1,2 million d’euros pour son service de location de voitures  Les services de consommation collaborative ont le vent en poupe. Après Zilok Auto, c’est au tour de la jeune pousse Deways de lever des fonds. En effet, selon nos informations, la start-up Deways, spécialisée dans la location de voitures entre particuliers, vient de finaliser une augmentation de capital de plus de 1,2M €. Les fonds ont majoritairement été levés par l’américain Eyal Aronoff (co-fondateur de Quest Software). Imaginée en 2010 par Alexandre Grandremy et Gary Cohen, la plateforme Deways permet à ses membres de louer une voiture entre habitants d’un même quartier, d’une même ville ou encore entre collègues et amis. Le site permet de proposer ou de rechercher une location, de gérer les réservations et les aspects financiers, administratifs, juridiques. Outre l’aspect marchand, les utilisateurs ont la possibilité de discuter entre eux, de se rencontrer ou encore d’échanger des bons plans.

Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ? La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides. Cela est-il donc si nouveau ? Dans les temps anciens, vous vous donniez rendez-vous quand le soleil se trouvait au zénith. Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ? En quelque sorte si. Le progrès et le rythme auquel nous le construisons nous détruit-il nécessairement ? Pourquoi cherchons-nous systématiquement une utilité au temps qui passe ? Prenez l’exemple du déjeuner. Pourquoi ? A qui la faute ? Oui ! Voilà. Non, non.

Récit d'un rite de passage vers... Creative Commons. - Le Docablock Blog! Récit d'un rite de passage vers... Creative Commons. Voilà plusieurs jours que j'y pensais: mettre le contenu de ce blog sous licence Creative Commons. Non que je pense que les propos du Docablock doivent être diffusés le plus largement pour apaiser les maux de la planète 2.0 souffrante, mais il me semblait que c'était une idée qui pouvait être intéressante que d'expérimenter ce dont même les médias généralistes parlent de plus en plus, et éventuellement d'en faire un récit aux "apprentis-documentalistes 2.0"... Les licences Creative Commons deviennent incontournables sur Internet. ?? Il ne faut pas confondre le phénomène des Creative Commons (CC) et les logiciels libres. Il s'agit d'adapter le droit d'auteur à Internet, gigantesque jungle informationnelle (dans tous les sens du terme) où le droit se perd souvent dans la masse des ressources produites... La grande originalité est de permettre avant d'interdire. 6 contrats en découlent, au niveau du droit français. 1 et 2

up&net - Permettez aux internautes de payer autrement Groupe Béna Main Page Annuler Modifier Supprimer Prévisualisation rétablir Texte de la note (syntaxe Wiki acceptée) Impossible d'enregistrer la note (conflit d'édition ou autre problème). Veuillez s.v.p. copier le texte entier de la boîte ci-dessous et l'insérer manuellement en éditant cette page. La note sera publiée multi-licenciée sous les termes de la licence CC-BY-SA-3.0 et de la GFDL, versions 1.2, 1.3, ou des versions plus récentes. Voir les conditions d'utilisation pour des informations supplémentaires. Ajouter une note Dessinez un rectangle sur l'image ci-dessus (appuyer le bouton gauche de la souris, tirer, puis relâcher). Enregistrer Vous pouvez modifier des annotations d'images seulement si votre navigateur contient un objet « XMLHttpRequest ». Cancel Edit Delete Preview revert Text of the note (may include Wiki markup) Could not save your note (edit conflict or other problem). Add a note Draw a rectangle onto the image above (press the left mouse button, then drag and release). Save

Le papier se connecte à internet Bienvenue dans l'ère de la réalité augmentée, voilà que le papier passe à son tour au numérique. Si jusqu'ici les médias imprimés et électroniques ont eu des existences bien séparées, une nouvelle technologie s'apprête à concilier les formats antagonistes. Ainsi, on peut s'attendre à voir apparaître des journaux comportant des boutons interactifs, des suppléments audio ou encore des Like reliés à Facebook, des votes, des notations de sujets. Tandis que le défi visant à créer des ponts entre le papier et l'internet mobilise de nombreux chercheurs, l'entreprise Novalia a dévoilé son concept. Pour ce faire, la société, 8 ans d'âge depuis sa création, a collaboré avec les universités de Central Lancashire, de Dundee et de Surrey. Le 'papier connecté' est rendu possible par l'utilisation d'une encre électroconductive. Démonstration en vidéos : Sources : Paid Content , The Digital Reader Pour approfondir

Action pour la Paix Production communautaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La production communautaire, ou « production participative », est une méthode de production de contenu par un très grand nombre de personnes[1]. La mise en commun des apports individuels est facilitée par le développement des réseaux sociaux et des communautés sur internet. L’internaute contributeur peut en échange trouver une contrepartie ou un service ou d’une forme particulière d'investissement, le projet fonctionnant alors comme le ferait une coopérative ou une société de coproduction, qui reverse une participation aux bénéfices futurs. Le financement de la production communautaire peut être assuré par un financement collaboratif. Le principe de la production communautaire[modifier | modifier le code] Une production communautaire fait appel aux internautes pour trouver les fonds nécessaires à l’aboutissement d'un projet de création. L'appel peut être largement ouvert, ou réduit à un cercle de réseaux de contact et d'amis.

Petit lexique de contre-propagande « Winston laissa tomber ses bras et remplit lentement d’air ses poumons. Son esprit s’échappa vers le labyrinthe de la doublepensée. Connaître et ne pas connaître. La langue française est probablement l'une des plus difficiles à maîtriser. La tendance semble s’être inversée depuis lors. La télévision et le cinéma de masse, de plus en plus vulgaires, propagent un langage de plus en plus ordurier, obscène et vide de sens. En vérité, par rapport à il y a seulement dix années, tout semble aller de plus en plus mal ; par ailleurs, nous n'avons jamais été en démocratie, en dépit des assurances constantes et contraires à ce sujet des politiques, des journalistes et des intellectuels. Il s'agit d'une entreprise de démolition volontaire, exécutée avec méthode, qui, à force, produit son effet. Envahir les esprits est bien plus efficient et radical que de mener une invasion militaire classique (1). Le phénomène n’est pas inoffensif, non plus qu’il n’est nouveau dans l’histoire. a. b. a. b. c. d.

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