écologique | mon oeil sur la planète Il faut croire que j’aime les challenges car non seulement j’essaie d’acheter local, français, bio, équitable, sans emballage dès que possible mais en plus je traque l’huile de palme ! Et ça n’est pas facile croyez-moi car de l’huile de palme il y en a partout. En quoi est-ce un problème ? Faites l’exercice de regarder la composition de la nourriture dans vos placards, si vous voyez huile végétale, palm oil, palm oil hydrogenated, glycol palmitate, c’est qu’il y en a. - bio ne veut pas dire sans huile de palme. - mais j’ai également remarqué que la gamme Monoprix bio n’en utilisait pas (ou alors je n’ai pas vu) dans les céréales, la pâte à tartiner au chocolat, les biscuits, etc… - pour les pommes de terre surgelées ou le poisson pané, je ne prends plus que la marque Findus qui n’utilise que de l’huile de colza (et hop des oméga 3 en prime !). - sur les pâtisseries, dans les grandes surfaces, il y a aussi des pastilles avec une fleur de tournesol collées sur la boîte.
Happy Planète | Ecologies individuelles et collectives à Montpellier (Fr-34) Can 1 Miracle Plant Solve the World’s 3 Greatest Problems? Share This Article With Others Kenaf, the carbon-sequestering monster plant, provides food, shelter and carbon credits. If someone were to tell you that they had a technology — a weed actually — that could sequester huge amounts of carbon permanently while lifting villagers out of poverty by providing both protein-rich food and super-insulated building materials, you might start to wonder if they were, well, smoking a different weed. But it appears that one retired building contractor, Bill Loftus, has actually come upon a brilliant application of the fast-growing, carbon-sucking plant known as Kenaf. Kenaf is in the Hibiscus family and is thus related to both cotton and okra. But researchers have also discovered a corresponding ability of Kenaf to inhale huge quantities of our most abundant global warming gas — CO2. It turns out that Kenaf can absorb 3-8 times more CO2 than a tree. But its not enough to simply absorb CO2. Eddie (1870 Posts)
ConsomActeurs Associés : boutique de produits écologiques Univers Nature – Actualité, ennvironnement, habitat et santé | L'environnement et l'éco-habitat sur le Web depuis 1999 Onpeutlefaire.com | Accueil The Ocean Cleanup : le bateau qui ramasse les déchets Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Écoptimistes : leurs remèdes à l’écoanxiété Le livre de la journaliste Dorothée Moisan « Les Écoptimistes » est disponible dans la collection Seuil-Reporterre depuis février 2023. Rendez-vous lundi 13 février à l’Académie du climat, à Paris, pour la soirée de lancement du livre. J’aurais pu naître dans une famille de militants écolos, être biberonnée aux rapports du Giec [1] et brandir dès 8 ans ma carte d’adhérente à la Ligue pour la protection des oiseaux. Mais ça ne s’est pas passé comme ça. Et puis, il y a eu… l’Éveil. Lire aussi : Écoanxiété : ces jeunes racontent le mal qui les ronge Après l’Éveil est arrivée… la Chute. « Déprimer ne sert à rien, et à l’inverse, ne rien faire rend anxieux » Au beau milieu du tunnel de l’écoanxiété, la lumière se fait rare. Alors attention, je ne recherchais pas des optimistes béats, persuadés que fermer le robinet ou éteindre la lumière suffirait à nous sauver. Corentin de Chatelperron, interviewé dans ce livre, est un as des low-tech : il a vécu quatre mois en totale autonomie sur un radeau
Environnement : « L'Eco-score poussera une partie des consommateurs vers des achats plus durables » Mine de rien, le temps presse. Le gouvernement entend doter les secteurs de l’alimentation et du textile d’un affichage environnemental d’ici le 1er janvier 2024. En clair : un Eco-score, c’est-à-dire une note à l’image du Nutri-Score, sera apposé sur les produits pour renseigner les consommateurs sur les impacts environnementaux liés à leur fabrication. Comment sera calculé ce score environnemental ? Et comment sera-t-il restitué aux consommateurs ? Une note sur 100, des lettres de A à E, des couleurs, la combinaison des trois ? Pourquoi l’affichage environnemental est-il si important ? C’est un outil clé dans la dynamique que nous voulons initier pour changer de modèle dans nos modes de consommation. Dans l’agroalimentaire, il y a déjà l’Eco-Score et le Planet-Score, des affichages environnementaux lancés à grandes échelles par des collectifs d’acteurs. Où en est-on dans l’élaboration de cet affichage officiel ? C’est vrai, c’est complexe. Ces initiatives sont très positives.