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Média

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Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Media. Le terme média désigne tout moyen de diffusion : ou direct (comme le langage, l'écriture, l'affiche) ;ou par un dispositif technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, Internet, la presse,. permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d'un message), soit de façon multi-latérale par un échange d'informations. Au sein de cet ensemble, l'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise un sous-ensemble important : les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complétée dans de nombreux cas par une demande de distraction. Dans les pays où les médias se sont largement développés, ces médias sont majoritairement détenus par de grands groupes industriels dont les dirigeants sont proches du pouvoir politique. Étymologie[modifier | modifier le code] par l'émetteur lui-même. Related:  Projet

Écologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Écologue » redirige ici. Ne pas confondre avec Écologiste. L'écologie est la science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu et les interactions entre eux. Le terme écologie vient du grec oikos (maison, habitat) et logos (science) : c'est la science de la maison, de l'habitat. Il fut inventé en 1866 par Ernst Haeckel, biologiste allemand pro-darwiniste. Une définition généralement admise, particulièrement utilisée en écologie humaine, consiste à définir l'écologie comme étant le rapport triangulaire entre les individus d'une espèce, l'activité organisée de cette espèce et l'environnement de cette activité. Un écologue est un spécialiste de l'écologie. Définition[modifier | modifier le code] Toutefois, l'orientation néolamarckienne prise en France à cette époque, fit que le concept se développa beaucoup plus chez les anglo-saxons. Différentes disciplines scientifiques de l'écologie[modifier | modifier le code]

Presse ou médias, littérature ou culture médiatique ? Question de concepts 1 Bourdieu (Pierre), « Secouez un peu vos structures ! », dans Le Symbolique et le Social. La récepti (...) 1Pierre Bourdieu aimait à rappeler, après Marx, que les textes ne voyagent pas avec leur contexte1. Façon de souligner qu’il convient, en toute rigueur, de les lire sous le rapport d’ajustement relatif qu’ils entretiennent avec leur champ d’élaboration, qui est également à bien des égards leur aire d’intelligibilité et de pertinence. Invitation aussi à tenir compte des effets le plus souvent réducteurs, mais quelquefois féconds, exercés sur eux par leur exportation en d’autres champs ou d’autres états historiques d’un champ donné. 3Parler de médias et de culture médiatique pour aborder presse et littérature au xixe siècle – même sous l’angle de l’environnement technique et culturel dans lequel celles-ci se trouvent enveloppées l’une et l’autre – demande également un minimum de prudence. 10 Chateaubriand (François-René de), Mémoires d'outre-tombe, XXXII, 8, éd.

LOGO : Définition, exemples de logos Un logotype, plus couramment appelé « logo », est un groupe d’éléments graphiques ou une représentation graphique d’un nom, d’une marque commerciale, du sigle d’un organisme, d’un produit. Un logo peut également être sonore, on parle alors « d'identité sonore ». Le logo est un élément clé de l’identification. Il sert à identifier visuellement, de façon immédiate cette entreprise, cette marque, ce produit, ce service, qu’elle symbolise de manière permanente et spécifique, en vue de se faire reconnaître des clients et de se différencier des concurrents d'un même secteur. Le logotype est l’élément fédérateur des différents produits ou activités d'une entreprise. Les logos sont des modèles déposés c’est à dire que la personne morale ou physique détentrice de ce logo a obtenu un monopole d'exploitation sur un territoire donné et pour une durée déterminée. Le logo véhiculant les caractéristiques de la marque, il doit évoquer l’activité et les valeurs et les idées fortes de l’entreprise.

AMIS Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ami. L'amitié est une inclination réciproque entre deux personnes (ou plus) n'appartenant pas à la même famille. Ignace Lepp pense cependant qu'« Il arrive (…) qu'une vraie amitié existe entre frères et sœurs, mais il ne nous semble pas exagéré de dire qu'elle est née non pas à cause de leurs liens de sang, mais plutôt malgré ceux-ci[1].» Parfois c'est une amitié de groupe. Le meilleur ami est, comme son nom l'indique, l'ami d'une personne avec qui elle a tissé des liens privilégiés qui surpassent les liens qui l'unissent aux autres personnes. Histoire de la notion en Occident[modifier | modifier le code] Aristote[modifier | modifier le code] Aristote distinguait trois sortes d'amitié (philia) : l'amitié en vue du plaisir ;l'amitié en vue de l'intérêt ;l'amitié des hommes de bien, semblables par la vertu. Pour Aristote, la seule véritable amitié est l'amitié vertueuse. Cicéron[modifier | modifier le code] 1. 2.

La culture de jeunesse et la transmédiation | Les dits d'Oldwishes « [La culture de jeunesse est] fondée sur une série de signes qui dépassent largement les frontières propres à chaque médias : les œuvres mettent en valeur leur cohésion culturelle, en empruntant constamment aux thèmes et aux stéréotypes des autres médias[1] ». ———- Au XXIème siècle, il devient difficile d’envisager l’album et par extension la littérature de jeunesse sans les inscrire dans un environnement, des valeurs et des références qui leur sont propres. De ce fait, l’intertextualité est en train de devenir une caractéristique majeure de cette littérature. Mathieu Letourneux va plus loin en évoquant l’idée d’une transmédiation[2]. Bien que non spécifique à la jeunesse, la transmédiation est parfaitement mise en valeur dans ce contexte, aussi bien au niveau de la quantité qu’au niveau de la qualité. Elle s’inscrit, également, dans la culture de masse. « Par « culture médiatique », on peut entendre au moins trois choses. Un support et ses contraintes Une culture propre à un média

Règles de sécurité et législation extincteurs incendie - Eurofeu Arrêté du 2 mars 1995 relatif à l'équipement en extincteurs des véhicules de transport de marchandises Article 1 Les véhicules destinés à être immatriculés en France des catégories suivantes doivent être munis d'au moins un extincteur à poudre ABC d'une capacité d'au moins 2 kilogrammes, placé dans la cabine, dans un endroit aisément accessible au conducteur : véhicules de la catégorie internationale N 2 dont le poids total autorisé en charge n'excède pas 7,5 tonnes ;tracteurs pour semi-remorques des catégories internationales N 2 et N 3. Article 2 Modifié par Arrêté 2000-02-20 art. 1 JORF 20 février 2000 Les véhicules destinés à être immatriculés en France des catégories suivantes doivent être munis d'au moins un extincteur à poudre ABC d'une capacité d'au moins 6 kilogrammes, placé à l'extérieur du véhicule, dans un endroit aisément accessible au conducteur : Article 3 Modifié par Arrêté 2000-02-20 art. 2 JORF 20 février 2000 FOYERS TYPES ÉTEINTS au minimum (1) 21 A et 113 B 8 A et 34 B

Coopération Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : s'entraider, sur le Wiktionnaire Le terme de « coopération », dérivé du latin « co-operare » (signifiant œuvrer, travailler ensemble) recouvre différentes significations. Sens courant[modifier | modifier le code] Selon la signification la plus large et la plus courante, la coopération décrit un état d'esprit et un mode de comportement où les individus conduisent leurs relations et leurs échanges d'une manière non conflictuelle ou non concurrentielle, en cherchant les modalités appropriées pour analyser ensemble et de façon partagée les situations et collaborer dans le même esprit pour parvenir à des fins communes ou acceptables par tous. Dans la théorie des jeux[modifier | modifier le code] Termes spécifiques[modifier | modifier le code] Le terme coopération désigne : De ce fait, on peut ainsi rencontrer :

Communication, transmission, un couple orageux Le schéma linéaire « standard » de la communication, qui privilégie la transmission directe d'information entre un émetteur actif et un récepteur passif, n'a plus cours. La communication comme la transmission sont aujourd'hui conçues comme interactives, pleines d'obstacles et de contraintes médiatiques. Dans le sens commun, communiquer c'est transmettre de l'information, c'est diffuser des idées ou des contenus culturels. Il s'agit là de la transposition spontanée d'un modèle que la linguistique et les sciences de la communication ont formalisé pour tous les processus de communication : une ligne unit deux pôles, l'émetteur et le récepteur, et une entité diversement nommée (signe, signal, message) y subit divers traitements. On trouve une telle conception dite « transitive » dès le Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de Saussure (1857-1913). La communication comme forme active de la culture Le modèle de C. L'examen réel des médiations Yves Jeanneret

Bruit au travail dans le BTP, les mesures de prévention Le secteur de la construction fait partie de ceux où les nuisances sonores affectent le plus les salariés. En continu, le bruit au travail dans le BTP peut rapidement engendrer des problèmes de santé. Alors, que dit la loi sur le bruit en milieu de travail ? Réglementation sur les nuisances sonores dans le bâtiment D’abord, il convient de définir le mot « bruit ». Ensuite, le bruit se révèle qualifié de nocif lorsqu’il atteint un niveau de 80 dB pendant une journée de huit heures. Et le bruit au travail dans le BTP peut provenir aussi bien des engins et véhicules de chantier que des machines ou équipements de travail. Alors, que dit la loi en la matière ? D’autre part, les travailleurs du bâtiment exposés quotidiennement à plus de 80 dB doivent passer un examen médical. Les risques liés à la santé Le bruit au travail dans le BTP génère une gêne susceptible de provoquer l’apparition de troubles auditifs tels qu’acouphène, perte d’audition, surdité, etc. Obligations de l’employeur

ESS RHONE ALPES Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie sociale ou économie sociale et solidaire (ESS) regroupe les organisations privées ou publiques (entreprises, coopératives, associations, mutuelles ou fondations) qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale[1]. Ce secteur représentait en 2012 près de 10% des emplois en France[2]. Les organisations de l'économie sociale adhèrent à des principes fondateurs, parmi lesquels[3]: recherche d'une utilité collective, non-lucrativité ou lucrativité limitée (bénéfices réinvestis au service du projet collectif), gouvernance démocratique (primauté des personnes sur le capital : « 1 personne = 1 voix », implication des parties prenantes)[4][5]. C'est par analogie avec le Tiers état ou le tiers monde, que ce secteur est parfois désigné comme le tiers secteur. Économie sociale : un tiers secteur des économies[modifier | modifier le code] Les économies peuvent être considérées comme ayant trois secteurs[7],[10] :

La mort médiatisée, la mort instrumentalisée Un mort, un mort qui fait sens, qui fait titre, un mort dans la manifestation iranienne d’opposition et voilà la presse qui s’emballe le 15 juin au soir, érigeant ce fait comme significatif. Evidemment, le scrutateur attentif de notre histoire verra quel ressort se dessine dans cette annonce. Allusion discrète mais visible au décès de Malik Oussékine en 1986 (à noter le chiffre de sept morts annoncé le 16 juin) Dans une démocratie, il est interdit de mourir dans une manifestation. C’est devenu un lieu commun pour le citoyen que de constater, lorsque sa réflexion se mobilise, la différence de traitement appliqué à la mortalité par agent pathogène, selon que le patient décédé soit un Occidental ou bien un Africain. Les sociologues avertis le disent, une société se jauge à la manière dont elle traite ses morts et dont elle comprend la mort en général. La médiatisation de la mort participe-t-elle de la présence du religieux*** dans nos sociétés ?

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