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Vous connaissez sans doute les nuages de mots, issus de la pratique de la folsksonomie, c’est-à-dire de l’indexation personnelle par les internautes des articles qu’ils publient. Ces nuages présentent de façon visuelle les mots-clés, les plus importants apparaissant en caractères plus gros. Dans e-sidoc, ce nuage de mots donne vie aux descripteurs de nos notices. Cette technologie du web 2.0 peut sembler purement ludique, mais elle permet de travailler avec les élèves. Il existe plusieurs générateurs de nuages de mots. PrenonsWordle : il présente de façon simple et automatique les mots clés à partir d’un extrait de texte ou d’une URL. Quelques exemples d’utilisations pédagogiques dans les disciplines : par les professeurs documentalistes : voir le diaporama ci-joint lire ici lire ici par les professeurs de SVT : support d’exposés lire ici par les professeurs de latin : visualiser la fréquence des mots dans un texte en langue latine lire ici

L’apprentissage est un processus chaotique… et c’est bien ainsi! - La grande place Notre époque abonde en documents et rapports portant sur l’apprentissage au XXIe siècle et sur ses résultats. Ces rapports et documents traitent de la nécessité pour les étudiants d’acquérir un esprit critique, une capacité d’analyse ainsi que des aptitudes à la résolution des problèmes, à la communication et au travail en équipe. La plupart des établissements, des enseignants et des gouvernements ont de tout temps eu l’ambition de leur procurer ces atouts. Le contenu des documents et des rapports précités n’est-il qu’abstraction, ou met-il au contraire en lumière des aspects tout aussi essentiels que nouveaux du processus d’apprentissage? En 1828, le rapport Yale sonnait déjà l’alarme devant l’incapacité des universités à répondre aux besoins nouveaux de l’époque : « Certains pensent que nos collèges doivent adopter de nouvelles méthodes. Ce discours vous semble familier? Les établissements d’enseignement ont la prétention de croire que la vie de leurs étudiants tourne autour d’eux.

Des outils gratuits pour créer des nuages de mots illustrés d'exemples d’utilisations Les générateurs de mots clefs sont utilisés tant en marketing, qu’en éducation (notamment apprentissage des langues), ou encore en aide à la navigation. Certains nécessitent une inscription, d’autres non. Les nuages de mots sont des outils populaires permettant une représentation visuelle de mots issus d’un texte. Ces mots sélectionnés mettent en exergue des mots issus d’un écrit, permettant d’en faire ressortir les idées principales, des concepts. Quelles utilisations pour les nuages de mots ? Les usages sont multiples, en voici une liste non exhaustive :Informer les internautes sur les thématiques abordés dans les pages d’un site, d’un blog. Quelques exemples d'utilisation des nuages de mots Utilisation des générateurs de nuages de mots en contexte pédagogique Mais aussi, catégoriser, classer, imager, repérer, identifier…. Ils sont désormais utilisés dans les revues pédagogiques (*), les recherches scientifiques pédagogiques, entres autres. Les meilleurs générateurs de mots Sources :

Usages pédagogiques de Wordle Les usagers du Web sont habitués à voir des nuages de mots clefs en ligne. Cette forme graphique s'est développée avec des services collaboratifs tels que FlickR à travers l'indexation des images téléversées sur les sites de partage de photographies. Des générateurs de nuages de mots bien connus comme Wordle, Tagul ou encore Tagxedo, vont plus loin car ils permettent de créer des produits personnalisés à partir d'un corpus (extrait de texte), d'une URL ou d'un compte del.icio.us. Utiliser Wordle en classe Les enseignants s'intéressent de plus en plus à ces générateurs. Colleen Young propose en ligne un binder (classeur de pages web organisées par onglets) qui recense plusieurs exemples d'utilisation de Wordle en cours ainsi que certains outils alternatifs moins médiatisés comme WorditOut, WordSift et ABCya.com. Le monde francophone n'est pas en reste. Ressources françaises Autres outils de nuages de mots dans cet article de Thot Cursus.

Pourquoi les étudiants universitaires canadiens n’aiment pas le e-learning ? Dans l’étude «The State of E-Learning in Canadian Universities, 2011: If Students Are Digital Natives, Why Don’t They Like E-Learning?» de la Higher Education Strategy Associates (HESA), 1,289 étudiants universitaires canadiens anglais ont répondu à un questionnaire entre le 21 et le 30 avril 2011. Le fond et la forme On y constate que seuls 15 % des cours universitaires offerts le sont dans un environnement électronique «avancé», la plupart se limitant à des outils d’échanges par courriel et la mise en ligne de certaines ressources. Ce sont évidemment les disciplines techniques qui sont les plus connectées alors que les arts et les sciences humaines le sont beaucoup moins. On a ainsi le portrait d'une université branchée en apparence mais assez peu dans les pratiques. Pour quels résultats finalement ? La majorité des étudiants considèrent qu’un cours entièrement ou partiellement en ligne ne change pas grand chose à la quantité de données apprises. On en veut quand même plus

Florilège - Nuages 3 René Magritte Tout au long de l'année 2013-2014, les lycéens d'i-voix ont transformé en nuages de mots des œuvres qu'ils ont lues. Saurez-vous reconnaître celles-ci ? Nuage de Sonia Nuage de Sahra Nuage d'Iris Nuage d'Evane Nuage de Florian Nuage de Gwalonn Nuage de Zoé Nuage de Marco Nuage de Lucie Nuage de Marie Nuage de Camille Nuage de Marine

Plateforme classe inversée L’autre jour, au cours d’un dîner, une amie m’a demandé ce que je pensais de la pédagogie inversée. J’ai tout de suite fait le rapprochement avec l’approche actionnelle telle que je la préconise dans mes ateliers. Pourtant, j’avais l’impression qu’il y avait beaucoup d’autres choses derrière ce concept. J’ai donc eu envie de creuser un peu plus cette idée que je maitrisais mal : j’ai trouvé une somme de documents passionnants sur la question que j’ai mantenant envie partager avec les lecteurs de ce blog. En effet, quand on parle d’approche actionnelle dans la classe de langue, on se rend compte rapidement que les problèmes que pose cette mise en place sont sont nombreux. Samuel Bernard explique la classe inversée Pédagogie inversée On parle de pédagogie (ou classe) inversée parce qu’on veut changer ou plutôt inverser (to flip) les paramètres habituelles de la classe basés sur la taxonomie_bloom. Salman Khan à 60 minutes de CBS News (sept. 2012) Témoignages de profs Like this:

Formation, le besoin d’accompagnement (2) | Le blog de la formation professionnelle et continue Ainsi que je l’indiquais dans le billet précédent, c’est le besoin d’accompagnement qui me semble ressortir comme un axe fort de l’enquête Cegos 2011 sur la formation professionnelle. Accompagnement managérial en amont et en aval de la formation. Et accompagnement dans l’acte d’apprendre lui-même. C’est peut être dans ce besoin que se trouve la clé pour amener vers la formation ceux qui ne demandent rien. La disparité inter pays dans le recours au tutorat et au coaching Lorsqu’on leur demande comment ils se sont formés, les salariés interrogés qui ont accédé à la formation au cours des trois dernières années citent l’accompagnement tutoral ou le coaching en troisième position : Mais ceci reflète une grande disparité entre les 5 pays, la France apparaissant, pour les raisons « administrativo-fiscales » que l’on sait, comme l’un des pays où l’on recourt le moins à des modalités plus informelles comme le tutorat ou le coaching : Le tutorat et le coaching sont des modalités très appréciées

Générateur de nuage de mots Qui n’a pas ramassé des dossiers « copier-coller » fait par les élèves et ne s’est trouvé(e) fort dépourvu(e) quand le temps de la mise en commun de tous les dossiers ne fut venue ? Les TICE peuvent être utiles ! Présentation du logiciel Wordle Wordle est un générateur de nuages de mots en ligne Wordle est un logiciel qui génère des nuages de mots à partir d’un texte librement soumis par un utilisateur. On peut transformer le nuage ainsi généré en changeant de façon aléatoire la police de caractère et la couleur des lettres. Mode d’emploi : voir Pour créer un nuage Insérer le texte dans la fenêtre de l’écran en dessous de « Paste in a bunch of text : » Cliquer sur « go » Pour modifier de façon aléatoire l’aspect, la couleur, la police du nuage Cliquer sur « randomize » Pour modifier intentionnellement le nuage Ouvrir dans une nouvelle fenêtre en cliquant sur « Open in window » Pour sauvegarder le nuage ou Propositions d’utilisation en classe La présentation d’un nuage

Pédagogie, classe inversée ÉDUCATION - À New York, mes collègues ont été convoqués à une réunion durant laquelle le nouveau Digital Officer de l'université fera le point sur les nouvelles techniques d'enseignement en ligne, au premier chef les Moocs, ces cours massifs qui fascinent tant les journalistes et inquiètent tant les professeurs -j'en ai déjà parlé-, accessoirement le Flip Teaching Model, méthode moins révolutionnaire, capable d'amadouer les antimodernes. L'université a donc recruté un Digital Officer, pour ainsi dire un "officier digital". Je me le figurai aussitôt portant un doigtier ou un gant de latex, à la façon de mon médecin lorsqu'il parvient à la dernière étape, la plus hostile, de ma visite annuelle et qu'il me demande d'appuyer les coudes sur la table d'examen afin de s'assurer de ma prostate. "Dans un instant, ce sera fini", annonce-t-il gaiement, puis il retire son gant et quitte la pièce; je me rhabille et le rejoins dans son bureau. Laurent Schwartz dansait devant nous les mathématiques.

Université : vers de nouveaux entrepôts de cours ouverts Le programme Open CourseWare (Wikipédia) du Massachusetts Institute of Technology, lancé en 2001 et ouvert en 2003 a été un modèle imité depuis par de nombreuses universités de par le monde – et non des moindres. Ce sont désormais plus de 200 universités et plus de 13 000 cours qui sont librement accessibles en ligne via le consortium Open CourseWare, comme s’en félicitait le MIT en avril dernier en fêtant les 10 ans de son programme. Reste que pour l’essentiel, ce matériel se compose de vidéos, de présentations et de textes. Est-ce que cela serait en train de changer ? Le 10 octobre, Peter Norvig et Sebastian Thrun, deux spécialistes de l’intelligence artificielle de l’université de Stanford, vont se lancer dans une nouvelle forme de cours gratuits en ligne. Les cours seront délivrés en une multitude de petites vidéos d’une durée d’une quinzaine de minutes maximum. Bien sûr, les professeurs en question ne sont pas des inconnus. Vidéo : l’annonce vidéo du cours par Sebastian Thurn.

Un magazine outil collaboratif pour les devoirs Philippe, professeur d’Anglais au lycée Marx Dormoy de Champigny-sur-Marne, est très accès sur les nouvelles technologies : il tient le blog English Day by Day pour ses élèves. Un devoir sous forme de magazine ? Expliquez-nous votre projet : Nous étions en train d’étudier une séquence sur la mondialisation de la malbouffe et la tâche des élèves était de faire un article de journal reprenant les idées du cours et s’inspirant de l’actualité brûlante en France. En guise de correction à ce devoir, je leur ai demandé de se connecter à MadMagzpour qu’ils mettent le tout en forme avec les corrections que je leur ai suggérées. C’est donc le même sujet mais traité de différentes façons et maintenant accessible à tous de manière ludique pour que chacun puisse apprendre des autres. Avez-vous d’autres projets avec Madmagz ? Les élèves devront se connecter et faire un journal de bord de l’année en reprenant tous les thèmes des séquences d’enseignement abordées pendant les cours.

Quest to learn : l’école où l’on joue à apprendre Les technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (TICE) se concentrent souvent sur des questions d'équipements... Quitte à ne voir qu'elles. Que faire avec les technologies à l'école ? Malgré les multiples de tentatives de réformer l'éducation en France et ailleurs, le rapport entre l'élève, le professeur et la connaissance n'a guère changé : l'enseignant reste l'unique diffuseur du savoir. Image : Katie Salen lors de la conférence Hacking Education organisée par l'Union Square Ventures en 2009. Autant d'attitudes dont Katie Salen prend le contrepied. Cette conceptrice de jeux a créé en 2009, à New York, l’école Quest to learn, un établissement public, qui n'accueille donc pas forcément des enfants issus de familles privilégiées. A terme, cette institution réunira des jeunes de la 6e à la première, avec 75 élèves par niveau. Comment la diffusion des savoirs s’articule-t-elle avec l'attitude ludique ? Image : La home page de présentation de Quest to lean.

Oser la pédagogie numérique ! Au lieu de stigmatiser une profession compétente et de culpabiliser inutilement les élèves et les parents, ne faudrait-il pas, plutôt, revoir les modèles qui sous-tendent l'apprentissage ? Le Monde.fr | 12.10.2011 à 09h27 • Mis à jour le 12.10.2011 à 11h17 | Par Jean-Michel Fourgous, député-maire d'Elancourt Les mauvaises notes que notre pays engrange depuis de nombreuses années dans les différents classements internationaux ne résultent-elles pas plus de la manière d'enseigner, que de la capacité de nos élèves à apprendre ou encore de la bonne volonté de nos enseignants à vouloir gommer les inégalités ? Au lieu de stigmatiser une profession compétente et de culpabiliser inutilement les élèves et les parents, ne faudrait-il pas, plutôt, revoir les modèles qui sous-tendent l'apprentissage ? La question du socle commun de connaissances et de compétences à maîtriser prend ici toute sa dimension. Tout ceci peut devenir un formidable levier de changement des pratiques quotidiennes.

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