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Rue89 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Son fonctionnement est basé sur « l'info à trois voix » : la rédaction (les journalistes et les reporters) qui « assure l'organisation du contenu du site et une bonne partie de sa production[2] » ;« les spécialistes », « passionnés » et « témoins » qui « apportent leurs regards et leurs lumières sur l'actualité[2] » ;les internautes, qui soumettent des articles, des commentaires, des liens, « des photos et des vidéos[2] ». Histoire[modifier | modifier le code] Rue89 a été officiellement fondé et lancé le jour du second tour de l'élection présidentielle française, le , par Pierre Haski (président de la société Rue89 et directeur de la publication), Laurent Mauriac (directeur général), Pascal Riché (rédacteur en chef), Arnaud Aubron (webmaster/ éditeur) et Michel Lévy-Provençal. Le , Rue89 annonce sur son site une levée de fonds de 1,1 million d'euros, tout en précisant que ses fondateurs restent actionnaires majoritaires à 51,3 %[7],[8].

Grand-Rouen Meufs Où l’on apprend que le culture du viol est si bien ancrée en Allemagne qu’elle est inscrite dans la loi, qui considère que si la victime ne riposte pas, c’est qu’elle se laisse un peu faire, quand même. Des violeurs jamais condamnés parce que meuf, entre nous, si vraiment t’avais pas eu envie, t’aurais pu lui foutre un bon coup de pied dans les couilles et t’enfuir, il était même pas armé ! Sans parler des viols conjugaux et là c’est le pompon : “En mars 2012, la Cour de cassation avait rejeté le recours d’une femme qui s’était refusée à son conjoint, avant de lui céder par peur de violences, sans crier, pour ne pas réveiller ses enfants. La Cour avait estimé que la victime, malgré ses blessures, pouvait s'enfuir et alerter des voisins.” Suicide « La Grèce a son Bouazizi » Rassemblement, le 4 avril 2012, place Syntagma à Athènes après le décès d’un retraité (John Kolesidis/Reuters) La Grèce est sous le choc depuis mercredi matin, après le suicide de Dimitris Christoulas, 77 ans, qui s’est tiré une balle dans la tête vers 9 heures, devant les passants, sur la place Syntagma à Athènes, face au Parlement. Dimitris Christoulas serait un retraité qui aurait vendu sa pharmacie en 1994. Un appel a été lancé à un rassemblement sur la place Syntagma dès mercredi soir : « Tout le monde à Syntagma. Incidents au centre d’Athènes mercredi soir En Grèce, Twitter a débordé toute la journée de commentaires et réactions à ce tragique suicide : @YanniKouts : « Suicide d’un homme de 77 ans ce matin sur la place Syntagma choque la Grèce. Arkoudos (@arkoudos) exprime ces souhaits au nom de ceux qui sont restés : « J’aimerais que tu ne sois pas parti. Magica (@magicasland) exprime deux opinions opposées sur ce sentiment de honte : Pas un suicide, mais « un meurtre » @xstefanou :

dijOnscOpe Tout voir, tout entendre : les espions en rêvaient, les USA l'ont presque fait Surveiller en temps réel l’intégralité des communications mondiales – Internet, téléphone, satellite –, même « cryptées », un rêve d’espion impossible ? La NSA – l’agence américaine chargée du contre-espionnage, l’équivalent de notre DCRI – s’est lancée dans plusieurs projets qui vont lui permettre de réaliser ce rêve. C’est ce que révèle une longue enquête du magazine américain Wired, écrite par James Bamford, un des meilleurs spécialistes de la question. Un gigantesque complexe A Bluffdale, une bourgade de l’Utah de la banlieue de Salt Lake City, l’agence s’est lancée début 2011 dans la construction d’un complexe – top secret –, d’une ampleur totalement inédite, destiné à stocker et à analyser des quantités phénoménales de données. A compter de sa mise en service, programmée en septembre 2013, ce centre va être abreuvé des données recueillies par les satellites, les antennes à l’étranger et les postes d’écoute secrets de la NSA dispatchés sur tout le territoire américain. L’objectif ?

Montpellier journal Tuerie de Toulouse : la presse étrangère blâme le climat délétère français La fusillade de Toulouse, qui a fait quatre morts, ainsi que l’assassinat de trois militaires, ont été largement relayés et commentés par la presse étrangère. La presse israélienne et juive consacre évidemment une large couverture à l’évènement, notamment le quotidien de gauche Haaretz. Capture d’écran de la une du site internet de Haaretz, 20 mars 2012 Il évoque la sécurité de l’école : La une de Haaretz du mardi 20 mars 2012 La une de Haaretz du mardi 20 mars« Environ 200 étudiants fréquentent cette petite école privée religieuse, qui n’a pas de signe extérieur pouvant indiquer que c’est une institution juive. Son édition papier consacre également sa une à l’évènement. Un contexte délétère ? Orlando Radice, journaliste au Jewish Chronicle, journal juif basé à Londres, n’hésite pas à lier les attaques de Toulouse avec les échéances électorales en France et les déclarations de Nicolas Sarkozy : Le journal britannique The Telegraph fait également ce parallèle : Sur la piste des militaires nazis

« Finance folle » : les robots traders attaquent sur France 2 | Rue89 Eco Kerviel à la Société générale, Ikil chez JP Morgan, Patrice Tourre chez Goldman Sachs : les Bourses, et les banques concernées, ont encore récemment vacillé sous les assauts de traders isolés. Ceux-ci appartiennent pourtant déjà au passé. Ils ont été remplacés par de simples robots bien plus rapides qu’eux. L’équipe de « Cash investigation » réalise une enquête éclairante, diffusée ce vendredi 8 juin sur France 2, sur le « trading à haute fréquence ». Des ordres boursiers chaque microseconde Les hauts plafonds du palais Brongniart ont été troqués contre les tôles d’un hangar en banlieue de Londres. C’est l’intérêt : le plus rapide peut remporter beaucoup sur les marchés financiers. Un crash de 14 minutes Le 6 mai 2010, à 14 heures 42 minutes 44 secondes précisément, les cours du Dow Jones s’effondrent aux Etats-Unis. Il n’en est rien. Extrait de « Finance folle » En France, un tiers des transactions à la Bourse de Paris sont réalisées par ces robots ultrarapides.

Minerai de viande : « Avant, on n’osait pas en faire de la bouffe pour chat » La « viande » de nos plats préparés porte le nom de minerai, « des bouts de machin, de gras notamment, catégoriquement de la merde. Il y a 40 ans, cette matière allait à l’équarrissage pour être brûlée », nous dit un expert. Ma mère n’a jamais cuisiné. J’ai passé mon enfance à manger des petites quiches vertes toutes molles et des lasagnes à la bolognaise surgelées. Le scandale de la viande de cheval 100% pur bœuf a éclaté la semaine dernière, et aucune surprise pour moi : je me doutais bien que ce qu’il y avait dans ma moussaka micro-ondée n’était pas de la vraie viande, saillante et fraîche. Ces petits bouts de trucs marrons étaient denses sous la dent et je crois que cela me suffisait. Je ne pensais pas qu’on me mettrait un jour face à la triste et dégoûtante réalité : j’ai mangé des centaines de kilos de « minerai de viande » donc de déchets. C’est un article publié sur Rue89 par Colette Roos qui m’a appris l’existence de ce mot. C’est le mot « collagène » qui m’ennuie le plus.

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