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Visions cartographiques

Visions cartographiques

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À quoi sert la néogéographie (introduction) Aujourd’hui nous entamons une série de plusieurs billets sur la néogéographie. L’objectif est de présenter cette notion et d’étudier ce qu’elle permet réellement. À quoi sert la néogéographie (introduction) Le cyberespace moderne propose une palette d’outil qui permet à tout individu, contre certaines bases dans le maniement des outils informatiques, de pouvoir créer et diffuser du savoir géographique. Pour faire simple, tout individu est un amateur géographe potentiel. Le blog SIG Difficile pour moi de ne pas revenir sur la mise à disposition du cadastre en opendata, annoncée très largement et rappelée par le blog parcell’air il y a peu ( Même si la démarche parait aujourd’hui évidente, que de chemins et galères parcourus avant d’en arriver là ! Les discussions sur le GeoRezo relatent bien cette évolution : Merci à qui ? Avant même la tempête opendata, INSPIRE avait enclenché la démarche d’ouverture en considérant que le fond cadastral était une donnée de référence (annexe I).

Les mots de la culture numérique du professeur d'histoire géographie C2i2e : Le C2i2e est la certification informatique des enseignants qui atteste l’acquisition de compétences dans le domaine du numérique. Cette certification n’est plus obligatoire dans le recrutement actuel des professeurs, mais elle permet, plus facilement, d’investir des « charges » liées au numérique dans les établissements (référents numériques…). Accès au référentiel des compétences C2i2e : Classe inversée : Scribble Maps, une application gratuite en ligne pour un travail simple de géographie avec de jeunes élèves Les projets de recherche auxquels EducTice participe. Les recherches EducTice reposent sur des contrats et des conventions qui impliquent des partenariats en particulier pour constituer l'équipe d'accueil S2HEP. Projets européens FP7 MC-Squared (2013-2016) Responsable : Christian Mercat (S2HEP), démarrage octobre 2013, projet sur 36 mois

Parcell'air SIG La Lettre fait de 2012 l’année de la convergence parcellaire. Dans son édito du numéro 133 de Janvier 2012, Françoise de Blomac nous dévoile un nouvel acronyme avec lequel il faudra se familiariser, la RPCU pour « représentation du parcellaire cadastral unique« . Outre le fait que 2012 sera plutôt une année de tests en tous genres, on apprend surtout (et l’acronyme est révélateur) qu’on s’oriente en fait vers un troisième produit, issu de la fusion (dans des proportions variables) des principales couches des deux produits vectoriels actuels : plan cadastral et BD-Parcellaire. On partirait donc du tronc commun, composé des 7 couches communes au PCI-Vecteur et à la BD-Parcellaire. Reste à savoir ce que deviendront les autres couches du PCI-vecteur (une douzaine, qui, pour certaines ont leur utilité dans les collectivités locales notamment (SUF, détail topo, axe de voies etc…). Comme l’écrit Françoise de Blomac dans son édito, …encore quelques articles en perspective !

DES CARTES POUR COMPRENDRE LE MONDE Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 20:35 "Derrière les cartes", un blog de cartographie très bien fait pour tout comprendre aux différentes projections!! cliquez ICI Quelques exemples de cartes: ent2d.ac-bordeaux La sixième édition de la conférence « state of the map » s’est déroulée en juin dernier à Pessac, Université Bordeaux Montaigne… l’occasion de parler d’OSM – OpenStreetMap, un outil numérique qui peut nourrir nos pratiques pédagogiques et didactiques, en histoire-géographie, en EMC, en lettres ou encore dans le cadre d’un projet pluridisciplinaire. OpenStreetMap est une carte libre du monde. Lancé en 2004 par un féru d’informatique, Steeve Coast, ce projet mondial vise à constituer une giganstesque base de données géographiques présentée sous forme d’une carte où chacun peut contribuer : à ce titre, OSM est souvent présenté comme « le wikipedia de la cartographie » Copie d'écran d'openstreetmap.org, réalisée le 11/06/2018 (21h13) « Ca ressemble à Google maps »

Sites pour l'enseignant - Carte collaborative avec UMAP Umap est un site de cartographie collaborative libre qui utilise les fonds de cartes OSM (Open Street Map). Il vous permet de créeer vos cartes thématiques, de les rendre collaboratives et interactives. Exemples pédagogiques : La carte des poilus morts pour la France de la 1ère guerre mondiale (projet collaboratif de plusieurs écoles en lien avec un travail sur les monuments aux morts lancé par Frédéric Adamczak, Animateur Tice de Meurthe et Moselle et l'association Abuledu.fr) Voir la carte Voir le projet [BILLET] Concevoir une carte c’est rendre visible l’invisible – Carnet (neo)cartographique Comme la banane, la conception cartographique peut s’attaquer par les deux bouts. D’un côté, c’est une question qui déclenche le processus de fabrication de la carte. Pour y répondre, il faudra sélectionner une (ou plusieurs) information géographique, la traiter, l’analyser et in fine la représenter selon les règles de la sémiologie graphique. Ce processus heuristique, scientifique, à pour but de mettre en image des réalités objectives, de rendre explicite les données géographiques de la façon la plus neutre qui soit (cet objectif n’étant jamais complètement atteint). C’est la carte pour « faire vivre les statistiques » de Roger Brunet. De l’autre côté, c’est un savoir, une idée, une intention qui déclenche le processus de construction cartographique.

Les projections cartographiques par G. Dawidowicz par Gilles Dawidowicz Les cartographes ont depuis longtemps été confrontés à un problème majeur dans l'élaboration de leurs cartes - figuration conventionnelle, sur un plan, de la répartition de phénomènes géographiques, géologiques ou autres - : celui de représenter le mieux possible leurs observations terrestres. 1) Une carte circulaire. La Terre est un solide sphéroïde, c'est-à-dire dont la forme approche plus ou moins la sphère, elle-même solide limité par une surface fermée dont tous les points sont à la même distance (rayon) d'un point intérieur appelé "centre". Par convention, l'ensemble de la communauté scientifique, et donc les cartographes, considère la planète Terre comme une sphère parfaite pour la représentation de celle-ci. Il faut donc, représenter en deux dimensions, ce qui existe en trois dimensions, et cela en convertissant un certain nombre de données.

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