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Au coeur du site des hackers

Au coeur du site des hackers
Hackerspaces.org recense les lieux physiques où se rencontrent de plus en plus les adeptes de la bidouille. Esther Schneeweisz, alias Astera, fait partie des fondateurs. Portrait berlinois d'une jeune femme emblématique de la dernière génération de hackers. Astera Schneeweisz à Berlin, novembre 2011 - (cc) Ophelia Noor Elle incarne cette nouvelle génération de hackers, ces adeptes de la bidouille : le nez dans la machine mais aussi dans les objets, habitué des hackerspaces, des lieux de rencontre physique. Esther Schneeweisz, alias Astera, aime tellement les hackerspaces qu’elle fait partie de la petite bande aux contours flous qui a monté et prend soin de hackerspaces.org [en], un site qui liste les hackerspaces du monde entier, entre autres. Cette adepte de la ligne de commande, originaire d’Autriche, vit à Berlin, où nous l’avons rencontré. Astera a fait ses premiers pas dans le milieu en 2008 en Autriche, au Metalab [en], grâce à une bonne dose de sérendipité) relationnelle.

Le Parti Pirate allemand veut chavirer la politique Le Parti Pirate allemand a fait parler de lui en obtenant 15 sièges au Parlement de Berlin. Il revendique une stratégie innovante : rebooter le système. OWNI a rencontré ses élus à Berlin. QG du Parti Pirate à Berlin, novembre 2011 Jouer les « trolls » le plus sérieusement du monde. Un mois et demi après avoir remporté quinze sièges au Parlement de Berlin, le Parti Pirate opte à court terme pour ce rôle, comme nous l’a expliqué Pavel Mayer [de], un des élus : Comme parti d’opposition, vous pointez les failles, vous trollez le gouvernement, c’est votre boulot. Le tout jeune parti, cinq ans d’existence en Allemagne, ne rejoindra donc pas une coalition. En Allemagne, des partis surgis de nulle part ont explosé, ils ont rejoint une coalition et ils ont perdu. Ouvrir la porte par principe S’il a bien été question de laisser la porte ouverte à des négociations, début octobre, c’est par principe et sans illusions. Alex Morlang à la section locale de Prenzlauerberg, Berlin, novembre 2011

Geek Girl Camp Tout ce que peut faire Google Traduction Un ordinateur capable de traduire une «langue naturelle»: tel est le Saint Graal du monde de l’intelligence artificielle. Notre langue est si étroitement liée à notre intelligence et à notre humanité qu'un tel exploit équivaudrait à l'invention d'une conscience artificielle à part entière. Mais jusqu'à une période relativement récente, les tentatives des scientifiques s'étaient soldées par des résultats lamentables. Les prototypes mélangeaient souvent les mots d'une langue avec la grammaire de l'autre, et finissaient par se tromper sur les deux tableaux. Le principal problème: la traduction littérale –le terme allemand «kindergarten» devenait ainsi «enfants jardin», et non «jardin d'enfants». De nouvelles méthodes –pour la plupart élaborées par Google– sont parvenues à surmonter cet obstacle. La grammaire et la syntaxe ne suffisent pas pour traduire La nouvelle méthode de Google Traduction «Ne cherchez pas le sens, mais l'usage.» Dans son merveilleux livre Is That a Fish in Your Ear?

Compagnons du hacking Les hackers, ces personnes qui font un usage créatif des technologies, ont l'image de gens casaniers, planqués derrière un écran. En réalité, certains voyagent beaucoup, contribuant à l'essor de la communauté et au partage des connaissances. Le logo de Hackbus “Transportation hacking” : tel est l’intitulé d’un des projets soumis pour le 28C3, le prochain congrès du Chaos Computer Club (CCC), le plus grand collectif allemand de hackers, qui aura lieu à Berlin en décembre. Mitch Altman, figure du milieu qui a créé Noisebridge, et voyageur inlassable, a même créé un passeport hacker qui “ressemble beaucoup aux passeports américains, sauf qu’il n’y a pas besoin d’empreintes digitales.” Aider à promouvoir les gens qui visitent autant de hackerspaces que possible dans le monde. Mitch Altman avait apporté 2 500 passeports début août au dernier Chaos Communication Camp, le grand camp quadriannuel du CCC. Le dernier CCC a changé ma vie à jamais et celle de tant de gens. Ateliers et conférences

Becky Stern Becky Stern, scanned and RP’d by Jonathan Monaghan/MakerBot for “New York Notables“ Our very own Becky Stern got a fine profile treatment on the wonderful design site Core77. Becky Stern makes objects, for one thing, with unusual properties that occasionally make them difficult to classify… there’s the “Cell Phone Ski Mask”, the tablecloth made out of artificial sweetener packages, her Tron-ified knee brace adorned with electroluminscent wiring. And when I ask her about her persistent knee injuries, she pulls out a stuffed animal, only it’s not a stuffed animal: It’s an articulating plush model of her actual knee, complete with cartilage, ligaments and dislocating action, based on arthroscopy images and MRIs (the latter of which she also, by the way, embroidered). It’s a two-part piece. An Introduction to MAKEr Extraordinaire Becky Stern Becky also contributed to their Summer Gift Guide series. Gareth Branwyn Related

Le Français numérique Randonneurs vigilants ou baroudeurs pragmatiques? Dans une enquête, Inria tire le portrait des Français et de leur rapport au numérique. Découvrez dans quelle catégorie vous vous situez. C’est une première en France : un organisme public, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), associé à un institut de sondage (TNS Sofres), propose une étude sur les perceptions qu’ont les Français du numérique, et établi une typologie. Cette enquête qualitative, réalisée à partir d’entretiens en “face à face” sur un panel de 1 200 personnes, dessine les contours de perceptions paradoxales, entre optimisme et craintes. La perception du numérique, globalement positive, semble avoir évolué avec l’arrivée massive des smartphones et d’Internet dans les foyers français. Retrouvez les principales conclusions de l’étude dans l’infographie ci-dessous:

Hack Day Paris | November 4-6, 2011 Online | What Does it Mean to be a Woman Hackerspace Member? I wasn’t sure what the answer to that question might be, so I interviewed seven female hackerspace members (actually, one is an ex-member) to get their take on what it’s like. Leave a comment with your (constructive) thoughts! Note: All photos in this article were taken by Anne Petersen at Pumping Station: One and used with permission. John Baichtal: Why are you a hackerspace member? Astera, Metalab: Because I love to learn stuff. Carlyn Maw, CRASH Space: I’m a curious person who enjoys learning from other people. Rogueclown, former member, PS:One: i’m not, anymore, but, I was, because I wanted to meet a group of people locally who I could discuss projects with, and who could help me expand my technological skills. Willow Brugh, Jigsaw Renaissance: It’s the school and community I always wanted. Kellbot, NYC Resistor: I first got started with NYC Resistor when I was doing some knitting machine hacking – Bre Pettis introduced me to Diana Eng who also does some knitting machine work.

❊ Lebanese Prime Ministers Play with Twitter

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