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Histoire de la philosophie

Histoire de la philosophie

Histoire des sciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire des sciences est l’étude de l'évolution de la connaissance scientifique. L'histoire des sciences n'est pas la chronique d'une série de découvertes scientifiques. C'est l'histoire de l'évolution d'une pensée, mais aussi d'institutions qui offrent à cette pensée les moyens de se déployer, et de traditions qui viennent l'enrichir. L'histoire des sciences n'est pas l'histoire des techniques. Préhistoire[modifier | modifier le code] Historiquement, la technique précède la science. Le développement de l'agriculture et de l'élevage ne sont pas non plus sans rapport avec l'émergence de certaines protosciences, le calcul et l'astronomie en particulier[réf. nécessaire]. Antiquité[modifier | modifier le code] L'homme pense à son environnement depuis la nuit des temps, comme en témoignent les fresques préhistoriques. Pré-science mésopotamienne et babylonienne[modifier | modifier le code] Sciences égyptiennes[modifier | modifier le code] Aristote

Dikè-philopol Axel Honneth, La société du mépris : vers une nouvelle Théorie critique Une critique par Emilie Devaux. Axel Honneth est actuellement professeur de philosophie à l’Université Goethe de Francfort, et dirige l’Institut de recherche sociale depuis 2001. Né en 1949, il a étudié la philosophie, la sociologie et ces deux inflexions se retrouvent au centre de son projet de réhabilitation d’une philosophie sociale comprise comme « mouvement vers la philosophie politique ». Lire la suite Luc Ferry, Familles je vous aime, Politique et vie privée à l’âge de la mondialisation Une critique par Anna Taton. Agrégé de philosophie et de sciences politiques, docteur d’Etat en sciences politiques, Luc Ferry publie, entre 1984 et 1985 les trois tomes de sa Philosophie politique, co-écrit avec Alain Renaut de même que La pensée 68 – Essai sur l’antihumanisme ainsi que Système et critique (1985), puis Heidegger et les modernes (1988). Lire la suite

Histoire de la pensée économique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire de la pensée économique appartient à la fois au domaine de l'Histoire et à celui de l'économie. Elle s'attache à présenter et à comprendre l'évolution des formes et des contenus de la pensée économique. (voir aussi Histoire de la philosophie, Histoire des sciences) En tant que discipline historique, elle utilise la chronologie et « exige de constantes références à l'histoire générale et à l'histoire des faits économiques »[1]. En tant que discipline économique, elle ne peut s'affranchir « des auteurs eux-mêmes dont il faut connaitre les doctrines. (...) Jusqu'au XVIe siècle, la pensée économique n'est pas formulée en tant que telle. Qu'est-ce que l'histoire de la pensée économique ? Il n'existe pas réellement de définition précise, mais quelques traits majeurs ressortent de l'étude des écrits des économistes : L'histoire de la pensée économique examine les grandes théories économiques de manière rétrospective. En 81 av. Livres

Histoire des Religions - L'Internaute Magazine FERMER Fermeture automatique dans 8 secondes Partager cet article Bernard Friot (sociologue) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il anime l'Institut européen du salariat et l'association d'éducation populaire Réseau Salariat, qui promeut l'idée d'un « salaire à vie » pour tous, une proposition alternative au revenu de base[3], idée que Friot dénonce comme étant « la roue de secours du capitalisme »[4]. Ses recherches portent sur la sociologie du salariat et la comparaison des systèmes de protection sociale en Europe. Ses travaux ont également porté sur les retraites, allant à l'encontre des réformes proposées par le gouvernement en 2010. Il a plusieurs fois contredit des idées communément admises, comme en 2010 quand il explique que le « chômage des jeunes » est un « mensonge d'état », et qu'en réalité « un taux de chômage de 25 %, cela veut dire que le quart de 30 % des jeunes est au chômage. Le quart de 30 % c'est 7,5 %, c'est 1 sur 12.

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Les ecoles de la théorie des organisations - Samir CHAQRI 1) L'Ecole classique Parmi les principaux précurseurs de la théorie des organisations, apparaissent le français FAYOL et l'américain TAYLOR, et l'allemand WEBER. Tous trois sont considérés comme les fondateurs de ce qu'on a coutume d'appeler "l'Ecole classique du management" et leurs idées ont été largement mises en pratique dans les entreprises. FAYOL s'est principalement intéressé aux problèmes de direction de l'entreprise et a jeté les bases de la théorie administrative. TAYLOR s'est quant à lui, davantage penché sur l'organisation des ateliers de production; il a donné son nom au "taylorisme" ou "gestion scientifique du travail".WEBER prône pour une organisation bureaucratique de l'entreprise qui est, selon lui, l'assurance de l'efficacité organisationnelle. Or, on remarque que l'Ecole classique regroupe en son sein des courants de pensée aux préoccupations differentes mais marqués par une même approche de l'organisation, à savoir la recherche de la rationalité. 1. 2. 3. 4. 1. 2. 3.

La conscience et la philosophie orientale Aucun rapport. Je vous parle de grand public, vous me rétorquez : scène intellectuelle.Quant à la soupe New Age, effectivement c'est une dérive. Mais cela n'exclut pas le nombre de centres Bouddhistes ouverts pendant cette période dans les pays occidentaux et qui n'ont rien à voir avec le New Age. Oui, ma réponse était un peu inappropriée ! Ceci dit, je pourrais répliquer que les centres bouddhistes ne sont pas plus "le grand public" que notre monde universitaire ! Il me semble que le Bouddhisme monte en Crescendo depuis la fin du XIXe. C'est même extrêmement compliqué, surtout qu'il n'y a pas de matériel pour définir l'origine du yoga. Vous exagérez un peu... Par contre, qui peut dire que la méditation trouve son origine dans le yoga, ou si ce n'est pas le yoga qui se serait inspiré ailleurs ? C'est loin d'être vague. Quand à la fusion avec le veda...

Les grandes théories économiques 1. Les approches libérales classiques Dans ces théories, l’idée centrale est que le marché est autorégulateur et qu’il assure la mise en cohérence des décisions individuelles. L’analyse des faits sociaux et économiques doit être conduite à partir de l’étude des comportements individuels et de leurs interactions. • Les Classiques : La révolution industrielle britannique du 19ème siècle donne naissance à ce courant de pensée, fondant l’économie politique. • Hypothèses : La théorie repose sur la valeur-travail : la valeur des marchandises est relative au temps de travail incorporé.Le libre-échange*.La « main invisible » ( A.Smith ) : L’individu, en poursuivant son intérêt personnel, contribue inconsciemment à une situation économique conforme à l’intérêt général.Cette autorégulation exclut l’intervention de l’Etat.La loi des débouchés de J.B. Les Néoclassiques : Hypothèses : 2. La crise de surproduction de 1929 conduit J.M. 3. Le monétarisme considère que : Les marchés financiers La Bourse

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