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Ethique et intelligence artificielle : récit d’une prise de conscience

Ethique et intelligence artificielle : récit d’une prise de conscience
« Nous ne concevrons ni ne déploierons d’intelligence artificielle [IA] dans des technologies qui sont globalement nocives, ou qui présentent des risques de l’être. » Ce serment éthique est tiré des « principes » publiés en juin par Google sur l’intelligence artificielle. L’IA, ce vaste ensemble de techniques visant à faire accomplir par des logiciels des tâches pour lesquelles l’homme utilise son intelligence : trier des informations, conduire une voiture, émettre une recommandation… Cette profession de foi inhabituelle a été élaborée en réponse à une fronde interne à Google : des employés demandaient l’arrêt de la participation au projet militaire Maven, dans le cadre duquel l’entreprise aidait l’armée américaine à analyser des images de drone. Cet épisode est la dernière des sorties médiatiques qui ont poussé le thème de l’éthique sur l’avant-scène de l’intelligence artificielle. Au-delà des déclarations d’intention, comment mettre en œuvre des principes éthiques ? Related:  Articles sur l'intelligence artificielle`test 1014`test 1014

Ce robot est-il le futur de nos échanges avec les machines ? Sur le SIGGRAPH 2018, une journaliste de TechCrunch a présenté un robot assez surprenant. Ne s’agissant que d’un buste, il est équipé de moteurs et de capteurs lui permettant de créer des expressions faciales très réalistes. Ce robot serait-il un aperçu de ce qui nous attend dans nos interactions avec les machines ? SEER, c’est son nom pour Simulative Emotional Expression Robot. Dans le cas d’une intégration sur un vrai humanoïde avec des jambes et des bras, le réalisme de SEER viendrait humaniser l’échange entre l’Homme et la machine. Tout va commencer par nos interactions vocales et auditives. Imaginons maintenant une association de Google Duplex et SEER. On pourrait encore extrapoler un peu, mais ces deux éléments bien concrets sont suffisants pour soulever plusieurs questions importantes.

Et si l'intelligence artificielle simplifiait votre trajet domicile-travail ? (Crédit : Karos) Si en France, 63 % des actifs se rendent au travail en voiture, seulement 2 % le font en covoiturage selon une étude du groupe Randstadt parue en 2015. La raison est simple : il est compliqué de consulter chaque jour les annonces, que l'on soit conducteur ou passager. C'est sur ce marché à fort potentiel, où plusieurs start-up ont déjà échoué, que se lance Karos. Une application française qui entend simplifier le covoiturage domicile-travail grâce aux dernières avancées de l'intelligence artificielle. Tristan Croiset, directeur technique et spécialiste de l'intelligence artificielle et Oliver Binet, PDG de Karos (Crédit : Karos) Plus aucun formulaire à remplir. 10 centimes du kilomètre Mais alors, comment l'application se finance-t-elle ?

Intelligence Artificielle et Big Data : une convergence révolutionnaire L’intelligence artificielle et le Big Data sont deux technologies en plein essor, pleines de promesses pour les entreprises de toutes les industries. Toutefois, le véritable potentiel révolutionnaire de ces deux technologies repose probablement sur leur convergence. Découvrez quelles sont les possibilités offertes par l’alliance entre Big Data et IA. La révolution de l’IA et du Big Data : qu’est ce que l’intelligence artificielle ? Nous sommes à l’aube d’une révolution technologique d’une ampleur supérieure à celle d’internet et des technologies de communication mobiles. Aujourd’hui toutefois, des technologies comme l’IA et le Big Data sont en passe d’évoluer de façon plus rapide encore. Intelligence Artificielle définition d’une technologie qui inspire En 1990, un groupe de scientifiques a entrepris de décoder le génome humain. Les voitures autonomes ont toujours occupé une place privilégiée dans la science-fiction. Le Big Data et l’IA sont les prochaines disruptions numériques Amazon

L’économie, une science inexacte mais estimable Puisque c’est la saison des prix Nobel, on peut rappeler la citation du lauréat Paul Samuelson [1] . Il a déclaré, avec un humour provocateur: « Rien n’est impossible dans une science aussi inexacte que l’économie. » On ne va pas refaire le débat sur cette supposée science molle opposée aux sciences dures comme la physique. L’économie fait partie des sciences sociales. Les économistes dignes d’intérêt suivent une démarche scientifique rigoureuse et acceptent que leurs conclusions soient soumises à la critique. En revanche, il est vrai que dans bien des domaines, il n’y a pas de vérités absolues et il faut se méfier de ceux qui en assènent et discréditent ceux qui n’appartiennent pas au courant dominant (libéral) ou main stream, comme il est de bon ton de dire. On conviendra aisément que c’est perturbant pour le non spécialiste. Les choses se compliquent encore plus quand les experts médiatiques auto proclamés économistes entrent en jeu. Signaler ce contenu comme inapproprié

L’Humain au défi du numérique / 2015-2017 Contribuer à l’émergence d’un nouvel humanisme numérique. La Chaire L'Humain au défi du numérique a réalisé un travail de cartographie des mutations anthropologiques induites par le numérique et élaboré un cadre de pensée qui permette de concevoir le développement des technologies numériques comme un progrès pour l’homme. Le déploiement des objets et usages numériques dans notre vie est en passe d’affecter notre humanité, d’altérer nombre de paramètres par lesquels nous nous pensons humains et agissons comme tels. Ainsi le numérique change le rapport que nous avons à la mémoire et la manière dont nous transmettons les savoirs (opendata …). En ouvrant de vastes perspectives à la médecine prédictive, il modifie la représentation que nous nous faisons de notre santé, et notre capacité à accepter le handicap ou la maladie (homme augmenté, transhumanisme …). On pourrait allonger à l’envi cette liste d’exemples. Méthode Les deux temps forts de la réflexion de la Chaire : Défi des Bernardins

Est-ce que la technologie sauvera le monde Par Hubert Guillaud le 28/10/10 | 5 commentaires | 8,804 lectures | Impression L’université de la singularité est une étrange école, explique Nicola Jones pour Nature. Elle ne décerne pas de diplôme. C’est une école qui, depuis 2009, propose un cursus de 10 semaines à destination d’une élite d’étudiants provenant des meilleures universités et des meilleures entreprises du monde. Sa mission est d’éduquer et d’inspirer les futurs dirigeants à utiliser les nouvelles technologies pour résoudre les grands problèmes de la planète, de la pauvreté à la mauvaise santé ou à l’épuisement des ressources. Elargir l’horizon ou le technocentrer ? Le principe de la SU consiste à élargir l’horizon des étudiants. Le principe du programme divise. Le programme de la SU est simple. Sur 1600 étudiants qui ont demandé à faire le cursus, le programme cette année en a retenu 78, provenant de 35 pays différents. Une manière d’évaluer la SU consiste à examiner les projets qui en sortent, rappelle Nicola Jones.

A.I. Intelligence artificielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. A.I. Intelligence artificielle (Artificial Intelligence: A.I. ou simplement A.I.) est un film de science-fiction américain écrit et réalisé par Steven Spielberg et sorti en 2001, sur une idée de Stanley Kubrick. Il est adapté de la nouvelle de Brian Aldiss, Les Supertoys durent tout l'été (Supertoys Last All Summer Long). Synopsis[modifier | modifier le code] Dans un monde futuriste ravagé par le réchauffement de la planète et où la procréation est strictement encadrée, les êtres humains vivent en parfaite harmonie avec les « méchas », des robots androïdes spécialement créés pour répondre à leurs besoins : tâches ménagères, services et… amour ! Les deux garçons ne s'entendent pas, et Martin provoque David au point de créer des incidents, qui amènent le père à vouloir rendre le petit robot à son créateur pour destruction. Fiche technique[modifier | modifier le code] Producteurs délégués : Jan Harlan et Walter F. États-Unis - Classification :

Cerveau: les quatre piliers de l'apprentissage Le président du conseil scientifique de l'Education nationale, Stanislas Dehaene publie Apprendre ! Les talents du cerveau, le défi des machines (Odile Jacob, septembre 2018), dont L'Express publie des extraits. LIRE AUSSI >> Stanislas Dehaene: "La malnutrition est plus risquée pour le cerveau que l'écran" 1. L'attention Imaginez que vous arriviez à l'aéroport juste à temps pour prendre un avion. Faire attention, c'est donc sélectionner - et, en conséquence, prendre le risque d'être aveugle à ce que nous choisissons de ne pas voir. L'expérience du gorille mérite vraiment d'être connue de tous, et particulièrement des parents et des enseignants. 2. L'engagement actif est le second pilier de l'apprentissage : un organisme passif n'apprend pas. Imaginez que je présente 60 mots à trois groupes d'étudiants. Prenons un autre exemple : l'apprentissage de la physique. 3. Prenons l'analogie du jeu vidéo. Pourquoi le fait de se tester à intervalles réguliers a-t-il des effets aussi positifs ? 4.

Qu'est-ce que le posthumanisme nous dit de l'être humain ? — Philosophie La troisième révolution industrielle, celle de l'informatique et des biotechnologies, est l'époque des robots mais aussi celle des corps génétiquement modifiés, elle est l'époque des êtres hybrides, mi-naturels, mi-techniques, mi hommes, mi-robots dont la littérature de science-fiction nous a donné tant de figures depuis les années 1950. Elle se caractérise par la prééminence d'une pensée de l'homme qui le conçoit comme artificiel, construit. Le posthumanisme, terme utilisé pour la première fois en 1977 puis popularisé dans les années 1990, répond à la nécessité de définir un nouveau paradigme théorique alors que la radicalité de ce nouvel artificialisme humain semble faire voler en éclat les frontières de l'espèce humaine, confrontée à ce qui était jusqu'alors considéré comme son autre : la machine.Le posthumanisme est un concept nouveau né pour caractériser une réalité nouvelle. Première partie Deuxième partie et sur Dailymotion : Première partie - Deuxième partie :

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