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Graphique des dispositifs d'aide en faveur des élèves Dys

Les élèves présentant des difficultés scolaires dues à des troubles de l'apprentissage (dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyscalculie, dyspraxie) peuvent bénéficier d'aides de deux manières différentes : plan d'accompagnement personnalisé ou projet personnalisé de scolarisation. On vous explique tout en images. Les élèves présentant des difficultés scolaires dues à des troubles de l’apprentissage (dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyscalculie, dyspraxie) peuvent bénéficier d’aides de deux manières différentes : soit grâce au Plan d’accompagnement personnalisé (PAP), soit grâce au Projet personnalisé de scolarisation (PPS). Le PAP se destine donc aux élèves pour lesquels il n’est pas nécessaire de demander des moyens de compensation. Le PPS concerne les élèves reconnus handicapés par la MDPH*. C’est la famille qui doit le demander Il est renouvelable chaque année et révisable au moins à chaque changement de cycle Le PPS est un droit opposable. Remerciements Related:  Enfants atypiques, à besoins particuliersPhobie scolaire[DYS]

L'association - HyperSupers HyperSupers – TDAH France est une association française pour aider les familles, adultes et enfants concernés par le Trouble Déficit de l’Attention / Hyperactivité (TDAH) HyperSupers – TDAH France est une association Reconnue d’Utilité Publique créée en 2002, elle a été Reconnue d’Utilité Publique par décret du 18 juin 2019, agréée par le Ministère de la Santé depuis 2008 pour la représentation des usagers. + d’info sur Association Reconnue d’Utilité Publique RNA W952001008 Se rencontrer : pour permettre aux « HyperSupers » d’échanger, afin de s’entraider pour surmonter leurs difficultés. Statuts de l’association Télécharger les statuts de l’association HyperSupers TDAH France Reconnue d’Utilité publique

Enfants hypersensibles : 8 conseils aux enseignants pour faciliter leur scolarité Elaine Aron est la spécialiste mondiale de l’hypersensibilité et son best seller sur les enfants hypersensibles vient d’être traduit en français (Mon enfant est hautement sensible aux éditions Leduc S.). Elle y livre notamment des conseils à destination des enseignants pour faciliter la scolarité des enfants hypersensibles. 1.La portion d’enfants hypersensibles est de 15% à 20% donc un enseignant est forcément amené à rencontrer des enfants hypersensibles Un enfant hypersensible possède de naissance un système nerveux qui fait qu’il va préférer observer toutes les subtilités d’une situation donnée et traiter en profondeur toutes ces informations avant d’agir. – Elaine Aron Les traits de tempérament des enfants hypersensibles sont : Ces comportements sont typiques de l’hypersensibilité et ne sont pas anormaux. lls comportent des avantages et des inconvénients selon les situations mais, quoi qu’il en soit, l’enfant hypersensible ne doit pas être brusqué ni forcé. 7.Pas de punition Related

Extrême maladresse ou dyspraxie : comment faire la différence ? Il tombe, se cogne, renverse son verre ou casse ses lunettes ? Plus que le simple fait d'être maladroit, la dyspraxie est un trouble du développement. Comment le reconnaître et comment aider son enfant à mieux gérer ses gestes ? Eclairage de Marianne Delétang, présidente de l'Association Dyspraxique Mais Fantastique. Souvent surnommée "maladresse pathologique", la dyspraxie fait partie de la famille des troubles dys-. Comment reconnaître un enfant dyspraxique ? La dyspraxie vient d'un dysfonctionnement cérébral qui altère le développement de l'enfant et qui est handicapante dans la vie quotidienne. L'enfant dyspraxique peut également présenter des troubles visuo-spatiaux : il lui est très difficile de fixer un objet ou de le suivre des yeux (ce qui a généralement des répercussions sur l'apprentissage de la lecture), il peut avoir des problèmes pour se repérer dans l'espace et dans le temps, peut avoir du mal à distinguer sa gauche de sa droite ou encore, à suivre un plan. Et à l'école ?

Troubles spécifiques des apprentissages Lecture, expression écrite ou orale, calcul, concentration… Si 15 à 20% des enfants sont confrontés à des difficultés d’apprentissages et scolaires, les troubles spécifiques des apprentissages ne concernent que 5 et 7% des enfants d’âge scolaire. Plus connus sous le nom de troubles « dys », il s’agit de troubles durables, sévères chez 1 à 2% des enfants concernés, avec des répercussions sur leur scolarité et leur vie quotidienne. Leur prise en charge permet cependant d’améliorer et/ou de compenser les fonctions déficientes. Comprendre les troubles spécifiques des apprentissages Différents troubles de l’apprentissage se manifestent chez des enfants qui ont une intelligence et un environnement social adéquat, et ne présentent pas de problèmes sensoriels (vue, audition), psychiatriques ou neurologiques identifiables. Ces enfants éprouvent des difficultés à apprendre à lire, à écrire, à orthographier, à calculer, à s’exprimer ou encore à se concentrer. Ces troubles sont associés au :

On parle beaucoup des enfants atypiques, mais qu’en est-il de leurs parents ? Aujourd’hui, les médias informent et abordent la question des enfants dits « atypiques », bien souvent sous l’impulsion des parents de ces enfants et de professionnels engagés. Ainsi les dyslexies, dysorthographies, dyspraxies, tda/h, hauts potentiels... sont des termes de plus en plus connus par le grand public. Doucement, mais sûrement les professionnels se forment pour apporter des réponses adaptées aux besoins spécifiques de ces enfants. Des associations de parents existent partout en France et font un travail d’information, d’orientation, de recherche. Il existe également des groupes d’entraide sur les réseaux sociaux où les parents trouvent une écoute, des conseils. Cette introduction interpelle à travers un point, nous remarquons que les parents d’enfants atypiques paraissent très engagés et concernés, mais dans le même temps, ils paraissent souvent seuls pour trouver des interlocuteurs professionnels lorsqu’ils sont face à un souci. Un besoin d’écoute à l’école

La phobie scolaire   Le cheval à rayures J’avance, j’apprends… Je range mes préjugés au placard et je les ressors le moins souvent possible. La Phobie Scolaire. Cette nouvelle mode qui se répand tel un buzz sur le Net. Bientôt chacun connaîtra un enfant phobique. Oui bon, Non! Mais c’est quoi ce Refus Scolaire Anxieux ? Il faut comprendre qu’il s’agit d’une réelle incapacité physique et psychique d’aller à l’école. Cette phobie n’est pas toujours verbalisée et s’exprime par des manifestations somatiques comme les nausées, les maux de ventre, les migraines et si l’enfant est forcé d’aller à l’école (c’est bien connu, vous quand vous êtes malade, la réponse adéquate est de vous forcer à aller bosser) cela peut s’aggraver en crises plus ou moins violentes, verbales d’abord, puis physiques. Ces symptômes disparaissent le week-end ou mieux les vacances scolaires… Cette incapacité à aller en classe progresse souvent vers une incapacité à sortir de chez soi et donc un isolement de plus en plus important. Ok, mais à quoi est-ce dû?

Dyschronie - Troubles d'apprentissage La dyschronie consiste en une difficulté à appréhender toute notion du temps ou organisation temporelle. C’est une pathologie très peu étudiée, bien qu’elle semble fréquemment accompagner les autres troubles « dys » et le TDA/H. Elle se caractérise par une peine à se repérer dans le passé et par une absence de projection dans le futur (la notion du temps se limite alors souvent à hier et demain). Les enfants atteints ne parviennent pas à se situer dans le temps et n’arrivent souvent pas à dire dans quel mois, saison, voire année, ils sont. La dyschronie n’étant pas vraiment étudiée, les signes ci-dessous découlent d’observations de parents et non pas d’études scientifiques: Les facteurs de risque ont surtout été étudiés dans le cadre de la dyslexie mais sont probablement similaires pour les autres troubles «dys». Hérédité Un garçon de père dyslexique aurait 40% de risque de l’être également, et 35% si c’est sa mère qui l’est. Trouble du langage Sexe Être gaucher Déficit en certains acides gras

Le Cartable Fantastique : des outils pour adapter les exercices à la dyspraxie © S.Kobold – Fotolia En 2009, Caroline Huron, chercheuse en sciences cognitives à l’INSERM, imagine avec une enseignante de CE1, un projet pour adapter les ressources scolaires aux élèves dyspraxiques. La dyspraxie est un trouble de la coordination, de la programmation et de l’automatisation des gestes volontaires, générant fatigue ou incapacité à exécuter des doubles tâches, comme écrire et écouter. “Lors de mes travaux de recherche sur ce handicap, j’ai constaté que les enfants qui en souffrent ont un quotidien scolaire très douloureux”, se souvient la chercheuse. Dans le cadre de son projet, baptisé “Le cartable fantastique de Manon”, Caroline Huron adapte alors, quotidiennement, les exercices et les leçons de Manon, en classe ordinaire de CE1. Une leçon adaptée (géométrie) du Cartable Fantastique de Manon / utilisée par Manon, dyspraxique, quand elle était en CM1. Le « cartable fantastique » de Manon “L’aventure s’est poursuivie en CE2, puis CM1 et CM2. Rendre l’élève dyspraxique autonome

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