Rétrospective 2018 : une année de chasse aux "intox"
Certains les appellent les "fake news ", d’autres les "infox "… les fausses informations sur les réseaux sociaux ont - malheureusement - marqué l’année 2018, et ce, sur tous les sujets. La rédaction des Observateurs de France 24 surveille chaque jour les réseaux sociaux pour démêler le vrai du faux. Voici une sélection des dix intox qui ont marqué cette année. En 2018, notre rédaction a rédigé 149 articles dans la rubrique "Intox "de notre site.
debunking
Un projet présenté par ... Grégory Lanevère et Luce Vauvy Professeurs documentalistes
C'est quoi FactCheckEU?
20 Minutes La section Fake Off de 20 Minutes a été créée pour pour lutter contre les rumeurs, hoax et fausses informations qui circulent sur le web et les réseaux sociaux. Nous accordons une attention particulière aux intox diffusées par les utilisateurs des réseaux sociaux, du fait de leur rapidité de propagation et de leur puissance. Nous ciblons les fausses informations très virales, mais aussi celles qui s’ancrent dans une actualité récente, ainsi que les rumeurs récurrentes et tenaces, qui peuvent revenir régulièrement sur les réseaux, même à plusieurs années d’intervalle. Nous vérifions ces affirmations de manière non partisane, en accord avec notre charte tout en étant transparents sur nos sources : liens directs vers les sources, citations non anonymes, chiffres et méthodologie.
Peut-on s'informer uniquement avec les réseaux sociaux, sans les médias classiques ?
Pour répondre à cette question brûlante, cinq journalistes ont vécu cinq jours dans un gîte du Périgord, à l'initiative des Radios francophones publiques, avec pour seule source d'information Facebook et Twitter.Ils ont dressé un bilan de l'expérience vendredi matin sur France Info, avec David Abiker. Pour répondre à cette question brûlante, cinq journalistes ont vécu cinq jours dans un gîte du Périgord, à l'initiative des Radios francophones publiques, avec pour seule source d'information Facebook et Twitter. Ils ont dressé un bilan de l'expérience vendredi matin sur France Info, avec David Abiker.
La Marseillaise
Isidore Pils – 1849, Huile sur toile (H. 74 x L. 91 cm), Dépôt du Musée du Louvre à la Préfecture du Bas-Rhin puis au Musée Historique de la Ville de Strasbourg en 1929 Quand débutent les guerres révolutionnaires en 1792, Strasbourg, par sa situation géographique, devient une étape importante sur la route des armées et des diplomates. Plaque stratégique pour l’approvisionnement des soldats, la ville frontière participe aussi à la propagation des idées révolutionnaires vers l’étranger. C’est en outre à Strasbourg que La Marseillaise est composée et chantée pour la première fois.
Fact-checking : comment nous travaillons
Débusquer d'éventuelles infox, ce sont des principes de base, une méthode, des outils... mais aussi du bon sens et beaucoup de prudence. Voici un aperçu des techniques que l’équipe d’AFP Factuel emploie au quotidien. Remonter à la source
Ateliers Déclic' Critique - CLEMI
Des ateliers filmés en classe par des formateurs du CLEMI Le CLEMI intervient dans les classes et propose des ateliers Déclic’Critique dans le premier et le second degrés. Objectif? Apprendre aux élèves à décoder les médias et l’information. Chaque atelier dure environ 1h et sensibilise les élèves aux problématiques du numérique. Info-intox, sources, fact-checking, protection des données : comment et quand les élèves sont-ils confrontés à ces sujets ?
Fake news : 30 ressources essentielles pour les cerner et lutter contre
Après avoir analysé les points importants pour comprendre les fake news (chiffres, pratiques, réseaux sociaux, médias, algorithmes et challenges…), nous allons vous communiquer quelques ressources essentielles : sites web, journalistes spécialisés, canaux, méthodes et outils pour mieux comprendre les infox, apprendre à vérifier l’information et lutter contre ces fake news. 1.Les services web dédiés au fact-checking AFP Factuel : Le fact-checking par l’AFP Le fact-checking à l’AFP existe dorénavant en arabe, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, depuis @AFP_Beirut sur C’est une cinquième langue après le français, @AFPFactCheck (anglais), @AfpFactual (espagnol) & @AfpChecamos (portugais). Sur Twitter : @AfpFactuel Sur Facebook : Les journalistes de l’équipe : @GuillaumeDaudin @RemiBanet @greglemarchand @ACEFSami Les Décodeurs par Le Monde
Tous producteurs d'info - Vidéo Spécialités
- Je suis Anne-Sophie Lapix, je présente le journal de 20h sur France 2. - Je suis Manon Bril, de la chaîne Youtube “C’est une autre histoire”. Alors, d’habitude je fais plutôt dans l’Antiquité, mais là on voulait vous parler d’un phénomène assez récent. - Vous avez probablement entendu parler de Mamoudou Gassama, ce jeune homme qui a grimpé à mains nus les étages d’un immeuble pour sauver un enfant de 4 ans.
# Je dessine
La République s’est aussi trouvé des symboles : un hymne, un emblème, une fête nationale, une incarnation. Le 14 juillet, on chante La Marseillaise en brandissant le drapeau tricolore. Dans les mairies, on se marie et on vote sous le regard de Marianne.
Après les fake news, la menace du «deep fake» prend de l'ampleur sur le web
Cette technologie consistant à remplacer le visage et la voix d'une personnalité dans une vidéo s'améliore de jour en jour. Aux États-Unis, certains élus la considèrent comme une «menace contre la sécurité nationale». L'actrice la mieux payée d'Hollywood, Scarlett Johansson, vient d'ajouter son nom à la liste des personnalités qui s'engagent contre le phénomène des «deep fake» - ces vidéos ultraréalistes dans lesquelles les visages et les voix de ceux qui apparaissent à l'écran sont modifiés. Dans une interview accordée au quotidien The Washington Post, l'actrice dont la tête a été utilisée dans des dizaines de vidéos pornographiques s'inquiète de la montée en puissance de ces technologies: «Les personnes vulnérables comme les femmes, les enfants, et les personnes âgées doivent prendre des précautions supplémentaires pour protéger leur identité et leur contenu personnel» déclare-t-elle. La technologie «deep fake» s'est véritablement fait connaître sur le réseau social Reddit.
Caroline Duret : Quand les lycéens créent des fake news
Comment apprendre à distinguer le vrai du faux sur internet ? Et si les élèves se mettaient à créer eux-mêmes des « fake news » pour mieux en comprendre les mécanismes de production et de diffusion ? Tel est le choix original de Caroline Duret, professeure de lettres et référente numérique à l’Institut International de Lancy. Ses élèves de première ont développé un site parodique de fausses informations : « Mystific@ctu ». Ce travail collectif, particulièrement jubilatoire, s’avère tout à la fois créatif et réflexif.
FAKE NEWS et complotisme
I- Fake News et complotisme Ce terme, utilisé quotidiennement dans la sphère médiatique, a émergé en grande partie pendant la présidentielle américaine de novembre 2016 et la campagne du Brexit a également été polluée par ces contre-vérités. La diffusion d’informations délibérément fausses, souvent sensationnelles, qui ont « l’apparence d’une actualité présentée comme vraie afin de tromper son destinataire », constitue pourtant un délit en droit pénal français depuis la loi sur la presse de 1881. Rien de nouveau donc mais, avec le numérique, les sites d’intox pullulent pourtant sur le web avec leur cohorte de « fake news » dont l’intérêt peut être politique, économique ou commercial. Légiférer, boycotter, éduquer ?
lumni
Fin décembre 2015, l'enquête annuelle de l'Institut OpinionWay mandaté par le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) rapporte que seulement 24% des Français ont confiance dans les médias. Ceux-ci ne nous diraient pas la vérité d'où cette perte de confiance…Oui les médias ne disent pas LA vérité et c'est tant mieux ! La véracité des faits face à une pseudo-vérité