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Lire une consigne

Lire une consigne

10 fiches de méthodologie Nous sommes partis du constat que de nombreux élèves ne répondaient pas aux consignes données , non pas forcément parce qu’ils ignoraient la réponse , mais parce qu’ils ne comprenaient tout simplement pas ce qu’on leur demandait , ce qu’on attendait d’eux et qu’ils n’analysaient pas suffisamment la question posée. Nous avons choisi de travailler par l’intermédiaire de « fiches » leur permettant de réfléchir à ce que la lecture des consignes impliquait. Notre objectif a également été de ne pas proposer un travail trop rébarbatif aux élèves en modulant les types d’exercices . Voici le récapitulatif de nos travaux : Fiche 00 : « Evaluation » proposant 4 exercices qui seront repris au cours des heures de méthodologie et proposés de nouveau en évaluation finale . Bien comprendre une consigne Manuela Ferreira Pinto, responsable du Pôle langue française au CIEP, propose quelques exercices à faire faire aux élèves pour les aider à bien comprendre une consigne. Pour comprendre une consigne 1. Lire la consigne 2. Recopier la consigne sur une feuille 3. Attention ! Il faut reprendre une partie des mots de la question. Exemple Extrait d’un manuel d’histoire À quelle date ont été réalisées ces affiches ? Ces affiches datent de 1934. a) Associer la réponse de l’élève à la consigne du professeur. b) Choisis la bonne réponse en fonction de la consigne Rédige un paragraphe sur le sujet suivant : « Caractéristiques des villes des pays en voies de développement » a) Je dois écrire une réponse de manière organisée b) Je dois répondre par oui ou par non c) Je dois faire un schéma pour expliquer ma réponse Trace un cercle a) Je dois dessiner un cercle à main levée b) Je dois faire un cercle avec un compas c) Je dois utiliser le dessin que me donne le professeur

Conférence Michel Serres : l'innovation et le numérique Michel Serres, de l'Académie française, a prononcé le 29 janvier 2013 la conférence inaugurale du Programme Paris Nouveaux Mondes, l'Initiative d'excellence du Pôle de recherche et d'enseignement supérieur "hautes études, Sorbonne, arts et métiers"(Pres héSam). Cette conférence, sur le thème "l'innovation et le numérique", marque le lancement officiel du Programme. La révolution numérique en cours aura selon Michel Serres des effets au moins aussi considérables qu'en leur temps l'invention de l'écriture puis celle de l'imprimerie. Les notions de temps et d'espace en sont totalement transformées. Les façons d'accéder à la connaissance profondément modifiées. Michel Serres a souligné que l'écart entre les pratiques nouvelles nées de la diffusion généralisée, dès le plus jeune âge, du numérique et celles des organisations instituées à une époque où l'humanité vivait autrement, est devenu considérable. Le site web du Pres héSam

Lire, comprendre et interpréter une consigne Par Adeline Sontot L’écart entre le nombre d’inscrits au concours Des mots pour voir (3425 élèves) et le nombre de textes reçus (1194 seulement !) met l’accent sur un problème préoccupant. CONSIGNE: Ordre donné pour faire effectuer un travail. Comprendre des consignes n’est pas une fin en soi, mais cette compétence constitue une des conditions de la réussite scolaire. Les témoignages abondent quant aux problèmes de consignes : « Ils ne savent pas respecter une consigne. « Comprendre la question pose problème parce que, bien souvent, les élèves ne lisent pas ce qu’on demande alors ils répondent à côté parce qu’ils ne comprennent pas. « Le problème est qu’ils ne comprennent pas les consignes en général, que ce soit en français, en histoire ou en math. « Ils ne prennent pas la peine de lire. Concevoir une consigne Concevoir une consigne de travail est une activité délicate qui mérite une certaine préparation. Respecter une consigne, cela s’apprend. - Repérer les contraintes Bibliographie

ENTRETIEN MichelSerres Liberation Travailler Mieux 9 idées d’offres promotionnelles pour rendre les promos de vos annonceurs plus efficaces Ipsos Marketing a publié une étude approfondie des perceptions, comportements et attentes des consommateurs relatives aux promotions. Cette étude nous permet de mieux orienter nos clients sur la manière de concevoir leurs offres promotionnelles. 78 % des personnes interrogées ont au moins une raison de considérer les promotions avec suspicion. Les promotions sont multiples, les mécaniques nombreuses et sophistiquées et, pourtant, elles échouent aujourd’hui à être perçues comme autre chose que des habillages de baisse de prix.Seuls 20% des français sont des chasseurs de promo.Les 80% restants expriment des attitudes différentes vis-à-vis des promos:Les sensibles au prix (27%) ont pour objectif principal de faire diminuer le prix de leur panier.Les qualitativistes (24%) cherchent à optimiser la qualité de leur panier.Les impulsifs (28%) : se laissent tenter et aiment découvrir. La logique de « prix à tout prix » semble donc avoir atteint ses limites. Source : Ipsos

‘L’animation c’est le client’, dynamiser un périmètre pour captiver un flux et entretenir le débit par la pulsion grégaire du concept, un bon aménagement doit, drainer les flux de chaland, les retenir et les conditionner dans une atmosphère de consommation. Quels que soient les décors et la mise en scène, les produits ne prendront vie que si le chaland en crée l’animation. Comme un théâtre de marionnettes. C’est bien connu, le client attire le client (1). Que faire alors lorsque la fréquentation n’est pas au rendez vous pour permettre de franchir un seuil d’animation, indispensable à la pénétration de clients hors comportement d’apprentissage ? Lorsque le besoin d’achat n’existe pas à l’heure dite et que les envies et pulsions peuvent seules pousser le chaland à devenir visiteur puis client ? Quel apport peut fournir le concept magasin et l’organisation des flux pour attirer le chaland ? Le premier objectif , c’est générer l’émotion dès l’approche, et conditionner le chaland dans une atmosphère si possible distinctive et mémorisable. Le concepteur est obligé de réfléchir sur l’efficacité du transmetteur.

Les élèves à risque de décrochage scolaire : facteurs discriminants entre décrocheurs et persévérants | Érudit | Revue des sciences de l'éducation v25 n2 1999, p. 359-374 | Institution : Usager en libre accès Article Résumé Cet article porte sur l'identification des caractéristiques personnelles d'élèves à risque de décrochage scolaire, surtout celles qui permettent de discriminer les décrocheurs des persévérants. Abstract The present study examines the individual characteristics of students at-risk of school dropout which allow for better discrimination between potential drop-outs and non-dropouts. Resumen El présente articulo trata sobre la identificacion de las caracteristicas personates de alumnos que poseen un riesgo potencial de abandono escolar, principalmente aquellas que permitirfan distinguir estos de los alumnos persévérantes. Zusammenfassung Dieser Artikel will persônliche Merkmale potentieller Schulabbrecher identifizieren, vor allem solche Merkmale, die es erlauben, Abbrecher von Fortsetzern zu unterscheiden. Tous droits réservés © Revue des sciences de l'éducation, 1999

Arbre de connaissances Exemple d'intégration des arbres de connaissances dans un outil décisionnel spécifique aux ressources humaines. Un arbre de connaissances est une représentation des connaissances ; c'est par exemple une représentation imagée et structurée de la somme des richesses que chaque membre apporte à une communauté, selon diverses réalités (connaissances, compétences, opinions, événements, projets, besoins etc.) vécues par un groupe de personnes. Histoire[modifier | modifier le code] Édith Cresson, Premier ministre français à partir de mai 1991, s'intéresse aux causes d'exclusion liées au savoir, et interroge Michel Serres[1]. Trois postulats fondamentaux énoncés par Michel Serres sous-tendent le dispositif. Postulat 1 : « chacun sait » : du fait qu'il a vécu, tout être humain sait quelque chose ; le savoir est une dimension de l'être, indissociable de l'expérience sensible et, de ce fait, singulière à chaque individu. Description[modifier | modifier le code] Blason[modifier | modifier le code]

Jean-Claude Ameisen — 28 avril 2012 — France Inter France Inter, émission « Sur les épaules de Darwin » Les battements du temps (32)À la découverte du monde des abeilles Sur les épaules de Darwin — Sur les épaules des géants Se tenir sur les épaules des géants et voir plus loin, voir dans l’invisible, à travers l’espace et à travers le temps. Tenter de percevoir, de ressentir cette splendeur qui palpite au cœur du vivant, au plus près des sensations, au plus près de l’émotion, au plus près des battements du monde. Une splendeur d’avant les mots, dont d’innombrables éclats s’inscrivent jour après jour dans la mémoire des vivants qui nous entourent. Je vous ai parlé, la semaine dernière, de la mémoire des abeilles. Mais la terre tourne sur elle-même, modifiant la position apparente du soleil dans le ciel, en moyenne d’un angle d’environ quinze degrés chaque heure. Sur le lieu de ses récoltes, la butineuse apprend à associer le souvenir d’une couleur ou d’un parfum au souvenir de la qualité du nectar et du pollen des fleurs.

«L’empathie caractérise tous les mammifères» Dans le monde des singes et de ceux qui les étudient (les primatologues), Frans de Waal occupe une place particulière. D’abord, c’est un homme dans un monde de femmes, ou presque. Jane Goodall et ses chimpanzés, Dian Fossey et ses gorilles, Shirley Strum et ses babouins… Ensuite, plus que les autres, Frans de Waal est un théoricien. En 1842, revenant du zoo de Londres, la reine Victoria avait déclaré : «L’orang-outan est trop merveilleux… Il est horriblement, douloureusement et désagréablement humain.» Partant des notions d’empathie et de sens de l’équité, sentiments que, montre-t-il, nous ne sommes pas la seule espèce à éprouver, il s’interroge sur la nature humaine et ses relations avec la société. Nous l’avons rencontré lors de son passage à Paris. D’où vient cette réflexion sur l’empathie ? Tout a commencé il y a trente ans, quand j’ai découvert un comportement dit de «consolation», de réconfort, chez les chimpanzés. Vous avez testé l’empathie chez les primates ?

APPRENDRE GERER SON TEMPS SES PRIORITES La technique David Allen : pour démarrer du bon piedMise au point par le consultant en producvité américain David Allen, ce procédé consiste à lister l’ensemble des tâches à effectuer en commençant par la plus simple. Subdivisés en petites actions anodines, les projets les plus intimidants deviennent ainsi abordables. Exemple : si mon objectif est de lancer une campagne de prospection dans l’Essonne, je noterai d’abord : “Acheter la carte routière du 91. ”Cette première étape franchie, je passe à la deuxième, etc. La matrice Eisenhower : pour y voir clair quand tout est confusL’ancien président des Etats-Unis hiérarchisait ses tâches en les classant selon deux critères, l’urgence et l’importance, qui formaient les deux axes d’une matrice de quatre cases. Les listes de Brian Tracy : pour planifier avec dynamismeA l’instar de la technique GTD mise au point par David Allen, celle du consultant américain Brian Tracy se fonde sur l’inventaire des tâches à effectuer. Laure Cailloce

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