Un jeune ingénieur présente sa « douche infinie » écologique Que vous y restiez une minute ou une heure, cette douche révolutionnaire consommera la même quantité d’eau et pas une goutte de plus. Une création extraordinaire qu’on doit à un jeune finlandais qui teste en ce moment son idée en France, dans le cadre de la COP 21. Histoire d’une idée simple qui change le monde. Les occidentaux nagent dans son apparente abondance, mais à l’échelle du monde, l’eau est une ressource rare et son manque est déjà à l’origine de violences dans certaines régions. Alors que nous gaspillons plus de 60 litres d’eau par douche, cette invention incroyablement simple pourrait remettre les pendules à l’heure et nous éviter un gaspillage colossal ici comme partout ailleurs. Jason Selvarajan, un ingénieur finlandais de 29 ans, y songe depuis qu’il est adolescent. En Août de cette année, le jeune homme présentait son prototype dans le cadre de l’aventure POC21. Source : industrie-techno.com / showerloop.me / latribune.fr
They're Ants That Collect Skulls. Now We Know How And Why. For 60 years, scientists observing Formica archboldi, a species of ant native to Florida, have documented something…odd. The ants’ underground nests are littered with skulls and other body parts, primarily of Odontomachus, trap-jaw ants. Trap-jaws are formidable predatory badasses. F. archboldi are not. So what’s going on? [Update for the TL;DR crowd: The skull-collecting ants appear to be trap-jaw ant prey specialists, which is unusual. Of the 15,000 or so ant species out there, relatively few are prey specialists. There have been no documented predator-prey interactions in the wild between skull-collecting and trap-jaw ants. What’s especially peculiar about going after trap-jaws is that these ants are no easy targets. Florida: Where Weird Stuff Happens To understand F. archboldi‘s unusual nest-decorating aesthetic, study author Adrian Smith of the North Carolina Museum of Natural Sciences went to Florida. Wax On, Wax Off Two Ants Enter, One Ant Leaves! Ant Profiler
(20+) Sommet des Oasis, réussir votre projet d'éco-lieu | Groupes Ginkgo biloba : posologie D'abord exploité pour les troubles urinaires et respiratoires, on utilise, depuis les années 50, principalement le Ginko Biloba pour les soucis de circulations et la mémoire. Les feuilles du Ginko Biloba, sous formes de teinture mère, d'extraits secs ou d'infusion, permettre de combattre divers problèmes de santé et amélioreraient la mémoire. Ginkgo biloba : partie utilisée En phytothérapie, on n'utilise que les feuilles du ginkgo biloba. A noter que les graines, nommées pa-kwo en Chine, sont consommées dans la cuisine asiatique. La pharmacopée chinoise les référence dans le traitement des troubles urinaires et les difficultés respiratoires. Ginkgo biloba : propriétés A la vue des nombreuses propriétés attribuées au ginkgo biloba, on peut se douter que celui-ci a de multiples intérêts en phytothérapie. Comme vous pouvez le voir, les usages du ginkgo biloba en phytothérapie sont très nombreux. Ginkgo biloba : posologie Ginkgo biloba : mise en garde dangers
Remplacer les œufs Côté cuisine » Les bases de la cuisine végétale » Remplacer les œufs Remplacer les œufs De nombreuses alternatives végétales permettent de remplacer les œufs ! Le saviez-vous ? Du jus de pois chiche fouetté permet de réaliser toutes les préparations qui nécessitent du blanc d’œuf battu. Cuisiner et réussir de délicieux gâteaux sans œufs ni lait est tout à fait possible, et l’immense majorité des recettes classiques sont adaptables en « 100 % végétal ». De nombreuses options végétales existent pour remplacer les œufs en fonction des propriétés que l’on recherche. Découvrez nos dépliants Pourquoi refuser les œufs et Comment remplacer les œufs, disponibles sur la boutique L214. Aller plus loin Faut-il remplacer un œuf unique ? Très souvent, lorsque la recette ne fait appel qu’à un seul œuf, il n’est sans doute pas essentiel. → Voir des recettes simples pour remplacer les œufs dans le salé Graines de lin moulues et graines de chia : alternatives aux oeufs Fonction des œufs en cuisine Les graines de lin
Enduits de terre crue - Sylvain Moréteau Colorés ou bruts, lisses ou granuleux, droits ou arrondis... Les enduits de terre se sont taillés une place de choix dans la gamme des parements écologiques. A faire soi-même ou prêts à l'emploi, ils ont de quoi séduire : impact environnemental très faible, capacité de régulation de la température et de l'humidité, absorption des odeurs et des bruits, respect du bâti ancien... Pour passer à l'action, l'auteur donne toutes les informations : quelle terre choisir, où se la procurer, comment la mettre en oeuvre selon que l'on désire faire des enduits en extérieur ou en intérieur, à vocation isolante ou simplement décorative, pour réguler l'humidité et la chaleur de l'habitat... Pour réaliser soi-même son enduit, il propose un carnet de recettes fournies par des artisans exerçant dans toute la France et des conseils de pro. Pour tous ceux qui veulent aménager un intérieur sain et chaleureux tout en préservant la planète...
Sites et livres sérieux sur les plantes et leurs usages A savoir : la botanique et la mycologie, pour fonctionner, font souvent appel à d’autres sens que la vue (le toucher, l’odorat, et même le goût). Aussi, on n’est pas forcément certain d’une identification avec juste une photo ! Dans ce cas, mieux vaut utiliser des clés de détermination, c’est à dire des outils qui vous permettent de déterminer pas à pas de quelle famille, voire espèce, une plante fait partie, en vous proposant des choix sur la base des caractères (caractéristiques) de la plante. De nombreux sites internets ou applications vous proposent désormais des solutions afin d’identifier vos plantes. Les sites de botanique proposent également des clés de détermination en ligne. Quelques cours en ligne existent également, bien qu’ils ne soient pas ouverts toute l’année. Il existe des dizaines de livres simples, compilant 100, 200 ou 300 fleurs par couleurs ! Pour aller plus loin (ressources pour confirmés) Tison, J. Viennent ensuite une pléthore d’ouvrages et de flores régionales.
vintage everyday ENDUITS REPARATION DES ENDUITS D'UNE MAISON EN PAILLE SUR L'ILE DE VANCOUVERReplastering a strawbale house , Courtenay, Vancouver islandReparando el repello de una casa de paja J'ai eu le plaisir de re enduire les murs d'une maison en paille construite par mon amie Elke Cole. Elle avait construit cette maison pour elle même voilà déjà 10 ans! Maintenant, propriété de quelqu'un d'autre. Les Mudgirls (et l'un de ces fidèles compagnons) ont été engagées afin de réparer l'angle et rafraîchir les enduits (après 10 ans de bons et loyaux services). angle après réparation happy corner angulo reparado A Mudgirls crew job.Replastering a straw bale house Elke Cole built 10 years ago.Because of a missing roof overhang, the plaster of one of the corners was eroded. Las Mudgirls repellando...Se nos encargo de volver a repellar una casa en balas de paja en la isla de Vancouver. ENDUITS A LA CHAUX SUR MURS EN PIERRELOT, FRANCERepello de cal sobre muros en piedra, FranciaLime plaster on stone walls, France
Le poison dans l’Antiquité – Les poisons à travers l'Histoire et la Littérature Dans la Grèce et la Rome antique, le recours au poison a été prouver grâce aux traités médicaux de l’époque. Les fouilles réalisées dans les tombeaux de l’Egypte pharaonique et les textes médicaux rédigés sur papyrus ont permis d’identifier certaines substances toxiques employées à l’époque. On retrouve ainsi l’aconit, la belladone, la ciguë, la jusquiame, le pavot, le ricin… L’antimoine et le plomb, deux poisons minéraux, sont également présents. Dans l’antiquité romaine, le poison est également très courant. Dès 331 avant J. En l’an 54, l’empereur romain Claude meurt empoisonné sur ordre de sa femme, Agrippine. «Il la força de préparer, dans sa chambre et en sa présence, le poison le plus rapide et le plus efficace. Le poison, servi à Britannicus lors du repas qu’il prit avec Néron, le tua immédiatement. Pendant cette période une vague de suicide s’abat également. Suite à l’usage fréquent de poison, des antidotes ont été recherchés dès l’Antiquité. WordPress: J'aime chargement…
TÉMOIGNAGE - "J'ai senti la mort de près" raconte Laure, victime d'agression sexuelle Cette semaine, Montpellier accueille pour la première fois le congrès international francophone sur l'agression sexuelle. Il commence ce mardi et se tient jusqu'à vendredi, au Corum. Un congrès qui a lieu tous les deux ans pour rassembler des chercheurs, des intervenants de la communauté scientifique pour trouver des solutions pour réduire le nombre de victimes d'agressions sexuelles. Témoigner pour encourager les victimes à parler Laure Chelle, la présidente de l'association Stop aux Violences Sexuelles dans le Gard, accepte de témoigner pour la première fois. "Mon père conduisait, j'étais devant, assise sur les genoux de mon grand-oncle. "J'ai été une morte vivante." Plus tard, à trois ou quatre reprises, elle est victime d'attouchements de la part de son grand-oncle. "J'ai arrêté mes études, ma santé commençait à se dégrader par rapport à ce que j'avais vécu. C'est finalement à 34 ans que la mémoire lui revient. La mémoire lui est revenue à 34 ans
La science antique des poisons. La connaissance des poisons est aussi ancienne que le crime; ce qui revient à dire qu'il est impossible de fixer l'époque de son origine. Soit par souci éthique, soit par obéissance à des lois étables, les auteurs de l'Antiquité s'étaient imposé le silence le plus absolu sur la matière toxicologique. Qu'on se rappelle seulement le serment d'Hippocrate qu'on faisait autrefois prononcer dans toutes les facultés de médecine de l'Europe . Galien, dans son Traité des antidotes (II, 7), dit que les seuls auteurs qui aient osé s'étendre sur les poisons, sont Orphée, surnommé le Théologue, Horus, Mendesius le Jeune, Héliodore d'Athènes et quelques autres. « Il est imprudent, observe-t-il de traiter des poisons et d'en faire connaître la composition au vulgaire qui pourrait en profiter pour commettre des crimes. » Malgré cela, il ne se fait pas scrupule d'indiquer une série de substances réputées vénéneuses, et qui sont les mêmes que celles indiquées par Nicandre et Dioscoride. . ). , de crustacé .
Joyce Maynard’s Second Chances Joyce Maynard did not fit in at Yale the first time around. When she arrived on campus as a freshman, in 1971, she was a lonely, aloof eighteen-year-old. She would wake at sunrise to compose letters to her parents about campus life, as though, she’d later recall, she were “Margaret Mead observing the behaviors of some South Sea island tribe.” When she could not find a “safe place to sit” in the dining hall, she’d smuggle small meals into her dormitory. On many weekends, she stood by the side of I-91 to hitchhike home, to New Hampshire. In the decades since, Maynard has published more than fifteen books, among them three memoirs, several novels, two children’s books, a young-adult novel, and a true-crime thriller. Last February, she travelled to Yale for a campus visit. Last spring, nearly five decades after withdrawing from the university, Maynard made the decision to rematriculate at Yale, as a sophomore. Maynard’s class at Yale was the third coed one in university history.