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La mise à jour d'une croyance

La mise à jour d'une croyance
Voici la dernière partie de ce dossier sur les croyances. Nous allons voir aujourd’hui comment mettre un peu plus de conscience sur nos croyances limitantes, et s’interroger sur une anecdote dont le sujet principal est le thème de ce dossier. Quelques petits rappels avant tout: Une croyance est une conviction profonde sur la réalité que nous percevons de notre environnement.Elle joue un rôle essentiel voire exclusif dans nos stratégies d’adaptation individuelles et nos comportements au sein de notre environnement.Elle n’est ni bonne, ni mauvaise. La question qui titille à ce stade de l’exposé est :« Quand est-il nécessaire de faire évoluer une croyance limitante ? Plus concrètement, il nous arrive parfois d’avoir conscience que certains de nos comportements soient inadaptés ou que certaines de nos stratégies soient inefficaces et pourtant nous continuons à reproduire le même fonctionnement qui irrémédiablement entraînent les mêmes états et résultats. Cela pourrait ressembler à:

Le fonctionnement des croyances Nous avons vu la semaine dernière quelle était la structure d’une croyance. Nous l’avions comparée à un temple composé de piliers principaux et secondaires auxquels il est parfois utile de faire quelque travaux de rajeunissement ou de modification de structure. Un accompagnement en coaching professionnel peut remplir cette mission. Nous allons voir aujourd’hui comment fonctionne une croyance ou un système de croyances, quelle est sa dynamique, son évolution, sa capacité à se camoufler ou à agir au grand jour bref tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les croyances sans jamais osé le demander. Depuis notre premier jour et jusqu’au dernier, nous évoluons en permanence en relation avec notre environnement ou plutôt nos environnements. La plupart de nos croyances se sont construites dans notre enfance selon différentes sources Voyons quelques exemples de croyances qui, en fonction d’une même situation, peuvent être soit limitantes, soit aidantes. La vie est dure. J’explique.

Les croyances Depuis le début de ma reconversion dans le domaine du développement personnel et du coaching professionnel, il y a une notion qui reste, à mes yeux, comme fondamentale dans tout processus de changement ou de développement personnel, les systèmes de croyances. Le mot croyance est habituellement utilisé dans les domaines de la religion ou des quêtes spirituelles. Nous retrouvons alors des expressions comme “avoir la foi”, “être de confession X ou Y”, “Pratiquer tel ou tel culte”, “avoir des convictions religieuses”, etc. Dans le champ humain, les croyances sont de l’ordre des certitudes, des convictions profondes que nous avons vis à vis de ce que nous percevons comme notre réalité, le monde qui nous entoure et avec lequel nous interagissons en permanence. Pour autant, ces mêmes caractéristiques qui font de nous ce que nous sommes et plus exactement QUI nous sommes, sont étroitement liées à nos croyances, qu’elles soient secondaires ou fondamentales. Pourquoi?

Les besoins fondamentaux des humains “De quoi avez-vous besoin?”. Voilà une question simple et qui pourtant peut générer bon nombre de réponses diverses et variées. Nous l’entendons régulièrement dans différents contextes et de la part de différentes personnes. Depuis le vendeur de cuisines ou d’ordinateurs (quand ils sont centrés sur le client et non sur leur bonus ) jusqu’au manager à l’écoute des membres de son équipe, en passant par le coach qui explore la situation actuelle de son client, la notion de besoin est au centre des rapports humains et des relations humaines. C’est donc en toute logique que j’ouvre cette semaine ce dossier scindé en plusieurs parties. Non, je ne remue pas le couteau dans la plaie de ceux qui ont planché sur la philo il y a quelques jours :-). Pour faire court et sans vouloir vous amener à prendre un Doliprane à la fin de ce paragraphe, voici ce que je vous propose en guise de hors d’œuvre: Un besoin est ce qui s’apparente le plus à une nécessité d’ordre vital, fonctionnel, pragmatique.

Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui Nous avions vu la semaine dernière cinq des dix croyances les plus répandues sur l’Autre. Voici cette semaine la suite de ce classement (qui, je le rappelle, n’en a que le nom) avec toujours à la clé une ou plusieurs pistes à explorer pour tenter de voir les choses un peu différemment. Certes, cette croyance pourrait s’apparenter à soi-même, mais elle débouche invariablement sur une autre croyance qui s’y attache tout naturellement: « … donc l’Autre a tort, à priori » J’avais partagé avec vous une expérience relative à cette croyance dans « La guerre des mondes« . Nous sommes ici en plein dedans. Là encore elle fait partie des croyances majoritaires chez nos semblables. Équipement de série, oui, mais avec un sacré vice de fabrication! Qui peuvent-ils être? Question: « Qu’est-ce qui vous fait dire que votre réalité est LA Réalité? En tout cas chez mon voisin, c’est une réalité; sa pelouse est nickel, pendant que la mienne ressemble à la savane africaine :-).

Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui Il y a quelques semaines, je vous proposais un classement (purement informel) sur les dix croyances limitantes les plus répandues sur soi-même. Étant donné que les rapports humains c’est aussi avec les autres, je vous propose cette semaine un top dix des croyances sur l’Autre. A l’instar du billet sur les croyances sur soi, ce classement n’a rien de hiérarchique. Avec cette conclusion issue de la pièce de théâtre Huis clos, de Jean-Paul Sartre, nous avons presque résumé les neuf autres croyances qui vont suivre. Question: « Si l’enfer c’est les autres, qu’en est-il de nous? Derrière cet intitulé connu de chacun, il y a la croyance que si nous faisons preuve d’une attitude serviable, que nous offrons un service (je n’ai pas dit rendu), que nous nous montrons un minimum altruiste, alors l’Autre va forcément nous faire un mauvais coup, abuser de notre gentillesse ou encore nous prendre pour un pigeon. Je ne nie pas l’existence de ce type d’éventualité. Je m’explique. A la semaine prochaine

Les besoins fondamentaux des humains Continuons cette semaine notre exploration des besoins humains. Nous avons vu la semaine dernière les 14 besoins de Virginia Henderson qui associent les besoins physiologiques, psychologiques et sociaux de l’ être humain. Découvrons cette semaine un grand classique, si ce n’est LA référence dans l’exploration des besoins de l’Homme, la pyramide de Maslow. Je continuerai aussi par l’inventaire des besoins relationnels d’après l’auteur et formateur Jacques Salomé. Enfin… des besoins de tout le monde, pas uniquement ceux de Maslow Abraham Maslow (1908-1970) était psychologue et fut à l’origine de la psychologie humaniste en même temps qu’ un autre grand nom de ce courant thérapeutique, Carl Rogers. Une image valant mille mots, voici ladite pyramide: Nous voyons donc que la base de la pyramide concerne tous les besoins d’ordre vital et correspondent en majeure partie avec les huit premiers besoins de Virginia Henderson. Entendons estime de soi. Deux exemples en vidéo: A la semaine prochaine

Top 10 des croyances sur soi Vous connaissez mon intérêt pour les croyances, que je considère être la pierre angulaire dans tout processus de changement. Pour rappel, une croyance est une pensée construite et très personnelle dont nous avons l’intime conviction qu’elle est valide, vraie, réelle, authentique et véritable et qui nous sert de repère dans nos actes quotidiens, notre vision du monde, nos jugements sur nous-mêmes, les autres ou le temps. Parfois, voire même souvent, nos freins, nos blocages, nos difficultés quotidiennes sont issues de certaines de ces croyances qui se qualifient alors de limitantes. Voyons cette semaine, le top 10 des croyances limitantes sur nous-mêmes et quelques pistes pour les ramollir un peu. A noter qu’il n’y a pas une croyance plus limitante qu’une autre; elles le sont toutes à priori et à des degrés divers pour chacun. Ah! Question: « Comment pouvez-vous essayer quelque chose de nouveau en respectant votre besoin de sécurité? A la semaine prochaine…

Les besoins fondamentaux des humains (partie 3) En creusant ce dossier sur les besoins humains, je me suis rendu compte que, finalement, la plupart des auteurs des différents inventaires des besoins tournaient autour des mêmes éléments. Les mots pour les décrire sont souvent différents, mais les grandes familles de besoins de l’Homme se retrouvent de façon relativement homogène. L’exemple de cette semaine ne déroge pas à la règle et vous verrez que les besoins selon Will Schutz et selon Eric Berne ont de nombreux points communs avec ce que nous avons vu jusque-là. En même temps je trouve ça rassurant car, sous l’apparente complexité de notre condition d’être humain, il semblerait que les bases de ce qui constitue notre équilibre ne soit pas si difficile que ça à obtenir dès lors que nous agissons sur les “bons” leviers. Enfin, ça reste à démontrer… Pour le moment, voyons ce que l’ami Will Schutz nous propose comme référencement des besoins humains. Les besoins interpersonnels selon Schutz sont au nombre de trois. A la semaine prochaine.

[Dossier] Les besoins humains (partie 4 et fin) Nous voila au terme de ce voyage au pays des besoins de l’Homme. Pour clore ce dossier, je partage cette semaine avec vous les besoins qui me semblent indispensables de prendre en compte pour un développement équilibré de l’Être humain dans son environnement: les besoins des enfants. Bien que les bases restent les mêmes (les enfants sont aussi des humains; si, si, je vous assure ), il y a des besoins spécifiques que nous autres adultes devrions avoir à coeur d’assurer pour nos “bout d’choux”. Le développement de l’enfant se réalisant par phase, il existe des besoins encore plus spécifiques pour chaque tranche d’âge. Au niveau des besoins physiologiques, nous retrouvons basiquement les mêmes que ceux évoqués par Virginia Henderson dans la première partie de ce dossier. Passons maintenant à des besoins plutôt d’ordre psychologique et relationnel tout aussi important que les besoins physiologiques… voire plus. S’il y a bien un besoin qui caractérise les enfants, c’est celui-ci.

Botter le c... de Caliméro Pour ceux qui ne le connaissent pas, Caliméro est un personnage de dessin animé représenté par un poussin noir avec une coquille d’oeuf ébréchée sur la tête. Il fut diffusé sur le petit écran dans les années 70. Lors de ses (més)aventures, il se trouve (se place) très souvent en position de victime vis à vis des évènements, des relations, des autres personnages, bref de tout ce qui peut faire de lui un opprimé de la première heure. D’ailleurs, sa phrase fétiche et devenue culte à chaque fin d’épisode était:“C’est vraiment trop injuste!” Il arrive parfois que nous soyons face à une situation dont l’issue ne corresponde pas à nos attentes ou dont l’objet de préoccupation fasse vibrer en nous une petite corde sensible. Voyons aujourd’hui 5 stratégies pour botter le cul du Caliméro qui sommeille en nous et lui montrer qui est le boss. Dormir est un bon moyen de laisser passer un peu de temps pour permettre à notre cerveau de se rafraîchir et se refaire une petite santé.

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