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La mise à jour d'une croyance

La mise à jour d'une croyance
Voici la dernière partie de ce dossier sur les croyances. Nous allons voir aujourd’hui comment mettre un peu plus de conscience sur nos croyances limitantes, et s’interroger sur une anecdote dont le sujet principal est le thème de ce dossier. Quelques petits rappels avant tout: Une croyance est une conviction profonde sur la réalité que nous percevons de notre environnement.Elle joue un rôle essentiel voire exclusif dans nos stratégies d’adaptation individuelles et nos comportements au sein de notre environnement.Elle n’est ni bonne, ni mauvaise. La question qui titille à ce stade de l’exposé est :« Quand est-il nécessaire de faire évoluer une croyance limitante ? Plus concrètement, il nous arrive parfois d’avoir conscience que certains de nos comportements soient inadaptés ou que certaines de nos stratégies soient inefficaces et pourtant nous continuons à reproduire le même fonctionnement qui irrémédiablement entraînent les mêmes états et résultats. Cela pourrait ressembler à:

La cohésion de groupe (sociale - opératoire) comme facteur déterminant dans les performances d’une équipe. | Amélioration continue : Comment on travaille ensemble ?! Le fonctionnement des croyances Nous avons vu la semaine dernière quelle était la structure d’une croyance. Nous l’avions comparée à un temple composé de piliers principaux et secondaires auxquels il est parfois utile de faire quelque travaux de rajeunissement ou de modification de structure. Un accompagnement en coaching professionnel peut remplir cette mission. Nous allons voir aujourd’hui comment fonctionne une croyance ou un système de croyances, quelle est sa dynamique, son évolution, sa capacité à se camoufler ou à agir au grand jour bref tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les croyances sans jamais osé le demander. Depuis notre premier jour et jusqu’au dernier, nous évoluons en permanence en relation avec notre environnement ou plutôt nos environnements. La plupart de nos croyances se sont construites dans notre enfance selon différentes sources Voyons quelques exemples de croyances qui, en fonction d’une même situation, peuvent être soit limitantes, soit aidantes. La vie est dure. J’explique.

Former à la collaboration Il me semble de plus en plus important d’initier nos étudiants à la collaboration. Comment aborder cette initiation ? Par les usages, puis par une réflexion sur les outils. Une fois que ces pistes sont lancées, quelles situations simples peut-on envisager en cours pour créer un contexte collaboratif ? Je me suis posé quelques questions sur la collaboration en cherchant à formaliser comment aborder son initiation dans nos formation. En y réfléchissant un peu à partir d’un article de F.Z. l’équipe : la collaboration nécessite un certain équilibre entre tous les acteurs. Graphiquement, cela donne quelque chose comme présenté ci-dessous : Les 4 piliers de la collaboration A partir de là, il apparaît que les objectifs de nos formations en matière de collaboration portent essentiellement sur les usages. 1 – L’initiation aux usages L’objectif est de leur apprendre à prendre leur place dans une équipe ouverte, composée de membres peut-être variés, voire inconnus. 2 – L’initiation aux outils J'aime :

Les croyances Depuis le début de ma reconversion dans le domaine du développement personnel et du coaching professionnel, il y a une notion qui reste, à mes yeux, comme fondamentale dans tout processus de changement ou de développement personnel, les systèmes de croyances. Le mot croyance est habituellement utilisé dans les domaines de la religion ou des quêtes spirituelles. Nous retrouvons alors des expressions comme “avoir la foi”, “être de confession X ou Y”, “Pratiquer tel ou tel culte”, “avoir des convictions religieuses”, etc. Dans le champ humain, les croyances sont de l’ordre des certitudes, des convictions profondes que nous avons vis à vis de ce que nous percevons comme notre réalité, le monde qui nous entoure et avec lequel nous interagissons en permanence. Pour autant, ces mêmes caractéristiques qui font de nous ce que nous sommes et plus exactement QUI nous sommes, sont étroitement liées à nos croyances, qu’elles soient secondaires ou fondamentales. Pourquoi?

Coaching, entretiens, prise de parole en public, tais-toi quand tu parles ! Souvenez vous : Le repas de famille, l’hôte de maison sert son plat soigneusement préparé, les convives commencent à goûter, et là, le silence s’installe. Jusqu’au moment où l’un des invités fait remarquer : « Ah… Un ange passe ». La remarque brise le silence, les discussions repartent. Eh oui, le silence est gênant. Selon vous, au bout de combien de temps le silence est dérangeant ? Réfléchissez bien… Encore un peu… Un peu plus encore… Désagréable cet espace vide n’est-ce pas ? La réponse : 3 secondes. Vous ne me croyez pas ! Vous verrez qu’il vous faudra plusieurs essais pour obtenir les 3 secondes de silence, et qu’entre 3 et 5 secondes, un participant reprendra la main, fera un commentaire, un rire, tomber une règle… Alors comment mettre à profit cette règle des 3 secondes, comment l’interpréter ? En dessous de 3 secondes : Tout d’abord, cela veut donc dire qu’en dessous de 3 secondes, le silence n’est PAS gênant. Il en va de même dans les situations d’accompagnement individuel.

Les besoins fondamentaux des humains “De quoi avez-vous besoin?”. Voilà une question simple et qui pourtant peut générer bon nombre de réponses diverses et variées. Nous l’entendons régulièrement dans différents contextes et de la part de différentes personnes. Depuis le vendeur de cuisines ou d’ordinateurs (quand ils sont centrés sur le client et non sur leur bonus ) jusqu’au manager à l’écoute des membres de son équipe, en passant par le coach qui explore la situation actuelle de son client, la notion de besoin est au centre des rapports humains et des relations humaines. C’est donc en toute logique que j’ouvre cette semaine ce dossier scindé en plusieurs parties. Non, je ne remue pas le couteau dans la plaie de ceux qui ont planché sur la philo il y a quelques jours :-). Pour faire court et sans vouloir vous amener à prendre un Doliprane à la fin de ce paragraphe, voici ce que je vous propose en guise de hors d’œuvre: Un besoin est ce qui s’apparente le plus à une nécessité d’ordre vital, fonctionnel, pragmatique.

Communication professionnelle La connaissance et la maîtrise des principaux outils de communication professionnelle au sein d'une organisation du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche constituent un préalable à un management individuel et collectif efficace pour son équipe de direction. Circonscrire les différentes situations de communication, connaître les différentes techniques de communication, comprendre son style managérial, identifier et comprendre les acteurs, peser et prioriser les enjeux, former et accompagner les personnels constituent autant d'éléments qui vont permettre à l'équipe de direction d'acquérir un "savoir agir en situation". Contenus Les ressources proposées pour traiter chacune des thématiques sont les suivantes : un clip vidéo (3 à 5 minutes) mettant en scène des situations professionnelles générant des dysfonctionnements provoqués ou amplifiés par des pensées, stratégies, paroles, comportements ou actions inadaptés à la situation. Publics

Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui Nous avions vu la semaine dernière cinq des dix croyances les plus répandues sur l’Autre. Voici cette semaine la suite de ce classement (qui, je le rappelle, n’en a que le nom) avec toujours à la clé une ou plusieurs pistes à explorer pour tenter de voir les choses un peu différemment. Certes, cette croyance pourrait s’apparenter à soi-même, mais elle débouche invariablement sur une autre croyance qui s’y attache tout naturellement: « … donc l’Autre a tort, à priori » J’avais partagé avec vous une expérience relative à cette croyance dans « La guerre des mondes« . Nous sommes ici en plein dedans. Là encore elle fait partie des croyances majoritaires chez nos semblables. Équipement de série, oui, mais avec un sacré vice de fabrication! Qui peuvent-ils être? Question: « Qu’est-ce qui vous fait dire que votre réalité est LA Réalité? En tout cas chez mon voisin, c’est une réalité; sa pelouse est nickel, pendant que la mienne ressemble à la savane africaine :-).

M.EMERY Management Sommaire du site Dernière mise à jour : 11 Septembre 2012 300 000 visites en 9 ans ! Il y a maintenant 9 ans que j'ai décidé de mettre en ligne gratuitement mes documents de formation concernant le management et la gestion de projet dans un site personnel sans publicité. Je suis très heureux que vous soyez aussi nombreux à vous intéresser à ce site: Français, Canadiens, Suisses, Belges, Algériens, Marocains, Tunisiens et Africains francophones plus particulièrement, mais aussi étrangers de très nombreux pays. Merci à tous ceux qui m'ont écrit pour me faire part de leur satisfaction, qui m'ont fait des remarques ou des demandes d'autorisation de reproduction de mes cours. J'ai reçu à ce jour plus de 1000 messages. Je suis heureux que ces cours aient pu être utiles à de très nombreux Formateurs . Merci à tous les sites qui m'ont mentionné ( certains figurent dans ma liste de liens ) . Michel EMERY

Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui Il y a quelques semaines, je vous proposais un classement (purement informel) sur les dix croyances limitantes les plus répandues sur soi-même. Étant donné que les rapports humains c’est aussi avec les autres, je vous propose cette semaine un top dix des croyances sur l’Autre. A l’instar du billet sur les croyances sur soi, ce classement n’a rien de hiérarchique. Avec cette conclusion issue de la pièce de théâtre Huis clos, de Jean-Paul Sartre, nous avons presque résumé les neuf autres croyances qui vont suivre. Question: « Si l’enfer c’est les autres, qu’en est-il de nous? Derrière cet intitulé connu de chacun, il y a la croyance que si nous faisons preuve d’une attitude serviable, que nous offrons un service (je n’ai pas dit rendu), que nous nous montrons un minimum altruiste, alors l’Autre va forcément nous faire un mauvais coup, abuser de notre gentillesse ou encore nous prendre pour un pigeon. Je ne nie pas l’existence de ce type d’éventualité. Je m’explique. A la semaine prochaine

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