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Carte géolocalisée du métro de Paris - nojhan/art

Carte géolocalisée du métro de Paris - nojhan/art
Géolocalisation Contrairement au plan de la RATP (et à la plupart des autres plans), chaque station est placée à sa position géographique réelle. Cela permet d'éviter de prendre une correspondance ou une station supplémentaire là où un peu de marche à pieds vous aurait permis d'aller plus vite. Par exemple, étant sur le RER, vous pourriez être tenté de prendre la correspondance à Saint-Michel pour rallier Cité... ... alors que vous iriez bien plus vite à pieds ! Des petits ajustements d'ordres esthétiques ont été fait sur certaines positions de stations, par pour les aligner, là où un petit déplacement ne modifiait pas l'information. Par exemple, la boucle de la ligne 7bis a été légèrement ajustée pour former un cercle parfait. Le positionnement absolu permet également de se rendre compte du placement des zones, pour le RER, (parfois absentes des cartes RATP). ... ce qui n’apparaît pas sur le plan RATP ! Couleurs Format Divers Les stations « portes ... » sont intra-muros, mais pas Liberté.

Une société de la requête (3/3) : Comprendre Google Dans le monde numérique d'aujourd'hui, il est nécessaire de comprendre le fonctionnement intrinsèque des systèmes que nous utilisons. En novembre 2009, la conférence sur la "Société de la requête" s'est ainsi intéressé à Google, pour comprendre la manière dont il nous manipule et à partir de là, imaginer comment le contourner et le subvertir. Retour sur la Googlisation de nos vies... La machine à globaliser : réinterpréter les résultats des machines Pour la chercheuse Esther Weltevrede, membre de GovCom.org, une association hollandaise dédiée à la création d'outils politique en ligne, et de l'Initiative Méthodes numériques (Digital methods initiative), la question clef à se poser est "quel type de machine à globaliser est Google ?" Image : Esther Weltevrede photographiée par Anne Helmond. Si le PageRank est considéré comme un système de classement mondial de toutes les pages web, conçu pour toutes les informations du monde, que se passe-t-il quand Google passe à l'échelle locale ?

Learn the history of typography, find typefaces | Typomapp - Navigate Typography Guidelines and quick tips Please use your real First and Last Name when creating an account, it will help us better track edits and resolve edit conflicts, if any.Please use the search function before adding a new POI (avoid duplicates)Please document your edits (provide photo credit link, source links for the text and samples)We own the platform (webapp and mobile apps), users own the content. Users are responsible for the content of the POI they create (information accuracy and references). It is up to every user to allow foreign edits from other users (by using the ”lock POI” feature in the Edit POI view or not). Terms and Conditions Using the website The content of the pages of this website is for your general information and use only. Your use of any information or materials on this website is entirely at your own risk, for which we shall not be liable. We use traffic log cookies to identify which pages are being used. Accounts creation Creating or Editing POI (Points of Interest)

Can an algorithm be wrong? Twitter Trends, the specter of censorship, and our faith in the algorithms around us The interesting question is not whether Twitter is censoring its Trends list. The interesting question is, what do we think the Trends list is, what it represents and how it works, that we can presume to hold it accountable when we think it is “wrong?” What are these algorithms, and what do we want them to be? (Cross posted from Culture Digitally.) It’s not the first time it has been asked. Gilad Lotan at SocialFlow (and erstwhile Microsoft UX designer), spurred by questions raised by participants and supporters of the Occupy Wall Street protests, asks the question: is Twitter censoring its Trends list to exclude #occupywallstreet and #occupyboston? The presumption, though Gilad carefully debunks it, is that Twitter is, for some reason, either removing #occupywallstreet from Trends, or has designed an algorithm to prefer banal topics like Kim Kardashian’s wedding over important contentious, political debates. The charge of censorship is, on the face of it, counterintuitive. Like this:

“Data Art” : de l’art d’ordonner les données… …ou comment marier l’utile à l’agréable ! Data Art, "art des données", de quoi s’agit-il exactement ? Tout simplement, pourrait-on dire, d’organiser visuellement des données (quelle que soit leur nature) de la façon la plus esthétique et attrayante possible. Les applications sont innombrables : d’une présentation marketing "impactante" à une œuvre d’art à part entière. La référence en la matière est le blog Information is Beautiful, tenu par David McCandless. Il se présente comme un "journaliste de données" et un "designer d’information", travaillant en free-lance. I’m interested in how designed information can help us understand the world, cut through BS and reveal the hidden connections, patterns and stories underneath. En d’autres termes, faire servir l’information à de nobles causes : comprendre le monde, combattre la connerie (BS=bullshit), démystifier… ou, tout simplement, produire de beaux visuels. The BBC-o-Gram : visualisation du budget de fonctionnement de la BBC en 2008-09

Eduquer après la Révolution numérique J'étais invité aujourd'hui à intervenir au Séminaire Sankoré "Faire la classe à l'heure du numérique", deux journées passionnantes d'échanges et de débats sur les transformations éducatives. Après de table ronde, intitulée "l'innovation technologique au service de l'éducation" était visiblement pensée comme celle des représentants de la technologie et des éditeurs, et l'on m'avait demandé de parler de l'éducation à l'heure de la troisième Révolution industrielle. Pour moi, la question de l'impact de la Révolution numérique sur l'éducation doit être pensée à partir de trois convictions. 1- Nous vivons aujourd'hui une nouvelle Révolution industrielle. 2- Les systèmes éducatifs ne font pas seulement de la pédagogie. On ne peut donc pas penser un projet d'éducation de masse sans se demander aussi ce qu'il produit à l'échelle de la société, et à quelles logiques d'organisation et d'instrumentation il répond. B- Comment utiliser le numérique pour bâtir les systèmes de cette nouvelle donne ?

On a piraté le droit de propriété intellectuelle On a piraté le droit de propriété intellectuelle. C’est en gros ce qu’affirment 180 professeurs de droits et juristes du monde entier qui se sont rassemblés le mois dernier à la Faculté de Droit de l’Université de Washington et ont conclu leurs travaux par une déclaration commune [1]. Que dit cette déclaration ? Tout simplement que les extrémistes du copyright ont étendu au cours des 25 dernières années l’application du droit de propriété intellectuelle à un point qui menace les fondements même de nos sociétés : la liberté d’expression, le droit d’information, la culture, l’éducation et même la santé publique. Autrement dit, c’est le bien public qui est pris en otage par des intérêts privés au nom d’un droit devenu absolu et opposable à tout. Le droit de propriété intellectuelle a toujours été une question d’équilibre, affirment les universitaires, entre les revendications légitimes des créateurs et les besoins de la société.

West 86th - Kafka - From the Desk of Roland Barthes Ben Kafka Ben Kafka's article will be appearing in the Vol. 18 No. 2 / Fall 2011 print edition of West 86th. This is an exclusive online preview of his forthcoming article. In this essay, the author examines a brief account by the historian Jacques Le Goff of Roland Barthes's years as an administrator in the Sixth Section of the École Pratique des Hautes Études (which eventually became the EHESS). So you will find here, mingled with the “family romance,” only the figurations of the body’s prehistory—of that body making its way toward the labor and pleasure of writing. —Roland Barthes, Roland Barthes Not long after the death of Roland Barthes in 1980, the journal Communications published a series of tributes in his honor. In his short essay, Le Goff recounts how one of his first tasks upon becoming president of the École had been to constitute the bureau, or central committee. “It turns out I didn’t know him very well,” Le Goff writes. The result could be funny or profound.

Planned Obsolescence: Publishing, Technology, and the Future of the Academy Alessandra Tosi on a must-read for the massed ranks who fret about the future of the humanities At a time of great uncertainty about the future of the humanities, this informed and stimulating book buzzes with excitement for the opportunities that digital technology can offer to humanities researchers. Considering all aspects of the academic process, from authoring to the nature of text and from referring to dissemination and engagement with readers, Planned Obsolescence enthuses about digital technology's potential to reconnect humanities research with broader social debates, policymakers and general readers. But it also carries a stark warning: do nothing and our disciplines will cease to be relevant. The prolonged economic crisis has given new urgency to debates about the role of the humanities. Fitzpatrick goes to the heart of the matter while avoiding the temptation to voice yet another pessimistic meditation on the humanities "crisis". The Author By Kathleen Fitzpatrick

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