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[video] ACTA: s'informer et agir !

[video] ACTA: s'informer et agir !
À l'occasion du Free Culture Forum à Barcelone, La Quadrature du Net publie trois films pour informer les citoyens et les inciter à se mobiliser contre ACTA, l'accord commercial anti-contrefaçon. ACTA est un danger pour les libertés fondamentales des utilisateurs d'Internet, ainsi que pour la libre concurrence et la compétitivité des entreprises de l'Internet. Le Parlement européen décidera bientôt s'il donne son consentement à ACTA, ou s'il le rejette une fois pour toutes. Tout citoyen peut aider à contrer ACTA en diffusant cette vidéo sur Internet, en incitant ses concitoyens à agir et en contactant ses élus. Renseignez-vous sur ce dangereux accord sur NON à ACTA (version longue) Un grand merci à Benoît Musereau pour la réalisation de ces films. Pour savoir comment agir contre ACTA maintenant, rendez vous sur notre wiki. Vous pouvez ajouter cette vidéo à votre site, faites un simple copier/coller du code HTML suivant : NON à ACTA (version Menace sur Internet)

Contre Sopa et Pipa, le lobbying 2.0 est né - INTERNET Publié le : 19/01/2012 - 18:16Modifié le : 19/01/2012 - 19:37 Suite à la grève numérique de centaines de sites, des parlementaires américains ont retiré leur soutien à deux projets de loi controversés sur la protection des droits d’auteur. Les géants du Web pèsent désormais autant que les lobbys traditionnels. La grève numérique - ou opération black-out - de centaines de sites, dont la version anglaise de Wikipedia ou encore la célèbre plateforme de blogs Wordpress, mercredi 18 janvier, a porté ses fruits. La cyber-action coup de poing avait été initiée mercredi 18 janvier par Wikipedia qui avait fermé son site anglais pour la journée, remplaçant la page d’accueil par un message appelant à l’abandon des deux textes. Une première Le succès de l'opération montre que le Web est devenu une arme efficace aux mains des géants de la Silicon Valley lorsqu’il s’agit de rivaliser avec les grands groupes de pressions traditionnels, habitués aux couloirs du pouvoir à Washington.

10 sites pour remplacer Megaupload - Le Nouvel Observateur Avec sa fermeture, le site d'hébergement (et de téléchargement) de fichiers Megaupload laisse un grand vide. En effet, le site -avec sa déclinaison Megavideo pour le streaming- totalisait plus de 100 millions de visiteurs uniques par mois, dont 15 millions de Français. De quoi laisser de la place aux concurrents. Ces sites proposent d'héberger et de partager ses fichiers. Seulement, ces plates-formes, comme pour Megaupload, sont fréquemment utilisées par des internautes pour héberger des documents (musiques, films, séries, etc.) protégés par le droit d'auteur. Entre légaux et illégaux, les plus célèbres sites concurrents de Megaupload sont : Côté streaming, les sites VideoBB.com et MixtureCloud.com vont tenter de reprendre la relève de Megavideo.

MegaUpload MegaPerdus Les gérants de MegaUpload laissent derrière eux un monde d'Internautes esseulés. D'abord malheureux, certains d'entre eux ressentent maintenant une grosse colère. Et organisent une fronde pour récupérer leurs fichiers. Cibles de leurs démarches : les hébergeurs, qui ont décidé de reporter leur suppression des fichiers stockés de deux semaines. Pour la justice américaine, tous les fichiers contenus sur MegaUpload devaient être supprimés ce 2 février. Des serveurs en sursis Depuis le 20 janvier, les entreprises Carpathia Hosting, Cogent Communication et Leaseweb sont sous le feu des projecteurs. Carpathia Hosting n’a pas et n’a jamais eu accès aux contenus sur les serveurs de MegaUpload et ne peut restituer aucun contenu se trouvant sur serveurs aux clients de MegaUpload (…) Nous recommandons à quiconque croit posséder du contenu sur MegaUpload de contacter MegaUpload. Malgré son impuissance revendiquée, la société envisage des solutions. Les utilisateurs à l’assaut du FBI Stopper

Un Acta de guerre Samedi dernier, un peu partout en Europe, des dizaines de manifestations se sont déroulées contre l'Acta ; un texte qui renforce l'arsenal contre les libertés numériques. OWNI a visualisé le processus au terme duquel le Parlement européen permettra ou non à cette nouvelle loi, du marché, d'entrer en vigueur. Acta. Ces quatre lettres s’affichent depuis quelques semaines comme le symbole des velléités de renforcement de la propriété intellectuelle à l’échelle mondiale. Cela fait pourtant plus de trois ans que le traité est négocié dans le plus grand secret. Acta mobilise Vision maximaliste du droit d’auteur, volonté des pays industrialisés de sécuriser un monopole historique, réaction aux évolutions des usages sur Internet, lobbying intensif des industries culturelles, mise en place de mesures liberticides: les questions posées par le traité ont accentué la mobilisation. Des manifestations ont lieu aujourd’hui dans toute l’Europe et dans plusieurs villes de France.

Une pirate contre ACTA OWNI a rencontré Amelia Andersdotter, eurodéputée suédoise du Parti pirate, le seul parti en Europe centré sur les libertés numériques. La jeune fille a un gros dossier sur son bureau : ACTA, l'accord anti-contrefaçon jugé liberticide. Un sujet plus débattu que jamais, comme en témoigne l'annonce ce mercredi de la saisine de la Cour de justice de l'UE par la Commission européenne et de nouvelles manifestations samedi. Amelia Andersdotter, Parti Pirate suédois, en visite à Paris, février 2012. (cc) Samuel Huron/Flickr Pantalon orange pétant, comme la salopette de son collègue élu au Parlement de Berlin, veste violette toute aussi éclatante, la parole spontanée à l’image de ses tweets, 24 ans et des études pas finies, et pour cause : la jeune Suédoise Amelia Andersdotter est très prise par son nouveau job. Élue en 2009, elle n’y est entrée qu’en décembre, après que la ratification du Traité de Lisbonne a donné un siège de plus à la Suède. En général, le processus est long.

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