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Presse - Article - Les journalistes français sur Twitter vus comme un graphe

Presse - Article - Les journalistes français sur Twitter vus comme un graphe
En suivant le paradigme méthodologique des Digital Methods, développé notamment par Richard Rogers à l’université d’Amsterdam (2009), nous pouvons envisager un groupe social qui s’active sur l’internet comme un graphe. Dans le cas qui nous intéresse ici, les nœuds du graphe sont les comptes des journalistes français sur Twitter et les connections entre eux sont constitués par des actions de communication comme les retweets et les mentions. Les premiers consistent à rediffuser tel quel un message d’un autre utilisateur. En effet, comme l’ont démontré des nombreuses recherches à ce sujet, l’ « influence » d’un membre du réseau, c’est-à-dire l’impact que ses actions de communication peuvent avoir sur les autres membres, dépend moins du nombre de followers que du taux de citation dont il bénéficie[+] NoteHaewoon KWAK, Changhyun LEE, Hosung PARK, Sue MOON, « What is Twitter, a Social Network or a News Media? [6]. [7]. Carte 1 : vue d’ensemble de la Twittosphère journalistique française.

Compte-rendu de la conférence "Le référencement à l'heure des réseaux sociaux" Le 21 septembre, le Social Media Club faisait salle comble à l’occasion d’une conférence sur « le référencement à l’heure des réseaux sociaux ». Retour sur les interventions de David Degrelle de l’agence 1ère Position, Dominique Cardon, sociologue chez Orange Labs, Stéphane Arnoult, Directeur du Search chez Webedia et Simon Vissol, Directeur technique SEO d’Activis. A retenir de cette soirée : Les réseaux sociaux ne sont qu’un levier à intégrer dans une stratégie globale de SEO : ils ne génèrent pas de trafic à proprement parler. Ils génèrent des liens, qui eux vont améliorer le PageRank.La décentralisation du classement de l’information augurée par le EdgeRank démocratise le web bien plus qu’il ne le dénatureLes interviews de nos invités disponibles ici David Degrelle : « Seuls les bons contenus profitent de la viralité » Premier rappel de la part de cet expert SEO : Facebook génère très peu de trafic vers l’extérieur. Quelques conseils prodigués par Simon Vissol en guise de conclusion :

Live from NY - Mais qu’est devenu mon Tweet? Publié le 08 juin 2011 Nous nous sommes souvent demandés comment une info se retrouvait à l’autre bout de la planète, qui l’avait retweettée, transformée, utilisée, à quel moment… Le Laboratoire de recherche du New York Times a lancé Cascade, un outil permettant de visualiser ce trajet en 3D. Bluffant. Il s’en passe des choses au 28è étage du New York Times, plus exactement à celui du laboratoire de recherche et de développement du quotidien new-yorkais. Non seulement, des chercheurs réfléchissent à de nouveaux supports, et à leur utilisation: écrans, tablettes, miroirs… Mais depuis quelques mois l’équipe s’est plongée dans un travail de fond sur un sujet qui est une grande préoccupation du secteur des media: le partage des infos sur les réseaux sociaux et leur processus de dissémination en temps réel. Cascade reste pour l’instant la propriété du New York Times, mais il peut être appliqué à n’importe quel media. Isabelle Musnik TAGS : project cascade / New York times / Etats-Unis

A quoi sert Twitter Moins d’un cinquième des internautes a un compte Twitter : les usagers sont plutôt jeunes, plutôt masculins et souvent urbains. Sa fréquentation est somme toute modeste comparée à Facebook qui aligne autour de 80 % de comptes pour les 18-29 ans aux Etats-Unis et en France. Son originalité, c’est d’être d’abord pratiqué « en tâche de fond » par des individus travaillant dans les métiers du symbolique (communication, média, marketing…), qui assurent une bonne partie du trafic. Pourquoi se couler dans ce flux autant décousu que continu ? Un travail effectué par Bernhard Riederen février-avril 2011 sur un corpus conséquent d’actifs de Twitter « intéressés par les sujets d’actualité générale et politique »met en lumière certains mécanismes. Cet échantillon confirme la dominance d’un profil : des internautes, fortement centrés autour de Paris, appartenant au monde des médias ou des professions proches. © Telos.

A qui appartiennent les comptes et contenus Twitter ou Facebook Cet article relatif à la propriété des comptes et contenus Twitter et Facebook a été rédigé par Audrey Gauvin du Cabinet Duflos et Cartigny. Propriété du compte Twitter ou Facebook ? Twitter Le compte twitter n’appartient ni au salarié, ni à son employeur, puisqu’il est la propriété de Twitter Article 7 des conditions générales d’utilisation du service : « tout droit, titre et intérêt dans les services (à l’exclusion des contenus communiqués par les utilisateurs) sont et restent la propriété exclusive de Twitter »). Si le compte a été crée par l’entreprise et mis à la disposition du salarié et qu’il porte le nom de l’entreprise, outre celui du salarié, tel que : @monsieurdupont-entreprisetA.fr, => l’entreprise pourra interdire, au salarié qui la quitte, toute utilisation de la marque ou d’éléments d’identification de la société. Cela n’est pas lié à la notion de propriété du compte mais aux limites du droit d’utilisation de patronyme, dénomination ou marque. Facebook Recommandations :

[Infographie] Les chiffres clefs des médias sociaux à travers le monde L’équipe de sociabakers a récemment publié une infographie complète, basée sur ses outils d’analyse, qui dresse un état des lieux des médias sociaux à travers le monde. Cette réalisation nous apprend, par exemple, que le jour le plus propice pour les marques pour communiquer sur les réseaux sociaux serait le jeudi… Vivement demain! Au menu également, de nombreuses statistiques « mises à jour ». (Au regard de l’évolution des réseaux sociaux, ces statistiques valables aujourd’hui, seront sans doute déjà quelque peu dépassées demain). Parmi elles:

Twitter, nouveau média historique ? Faut-il parler de printemps Twitter ? Lundi soir, les journalistes qui n'étaient pas encore acquis à la cause, ont enfin compris le pouvoir de Twitter : son utilité pratique, sa puissance face aux agences de presse et aux journaux. Ce matin Capucine Cousin (Twitter 1 - TV 0, immédiateté, émotion, approximations) et Erwann Gaucher ("Mai 2011: le mois où les médias ont basculé ?") J'étais dans les locaux de BFM et de RMC lundi soir, Twitter était sur toutes les lèvres. - Symbole de la cyber-révolte tunisienne, durant laquelle Twitter et Facebook ont servi d'échappatoire face à la censure, le blogueur et technophile Slim Amanou a annoncé sur Twitter sa nomination au secrétariat d’Etat à la Jeunesse et aux Sports. - L'informaticien pakistanais Sohaib Athar tweete sans s'en rendre compte la raid des Navy Seals sur la demeure d'Oussama Ben Laden : - Plus tard, la mort d'Oussama est annoncée par un membre du staff de Donald Rumsfeld, bien avant l'annonce officielle :

What journalists need to know about the difference between Web apps and native apps Facebook’s recent unveiling of Home, a software suite for Android phones (and soon tablets), offered more evidence that apps rule the mobile world. Just a few years ago, usage of apps lagged Web browsing within that world. But we now spend more than 80 percent of our mobile time with apps, according to Flurry Analytics, comScore and NetMarketShare data. That means news publishers need to prioritize app development when crafting their mobile strategies, as Tom Rosenstiel noted in a recent Poynter.org article summarizing comScore research. But when it comes to developing those apps, publishers have at least two options: 1. 2. Both kinds of apps provide ways to help news consumers solve problems. Web apps A Web app runs in the browser. Web apps rely on the same technological tools that power the rest of the Web, and make use of some of the newest and most-powerful capabilities of those tools. Web advantages Web apps offer three key advantages: 1. 2. 3. Native apps Native advantages 1. 2. 3. 4.

Twitter, quel impact réel sur les audiences TV ? The Voice : un bel exemple de correlation entre l'audience TV et l'audience sociale, mais dans quel sens ? - D.R. Selon cette étude de Nielsen et Social Guide, réalisée à partir de plus de 140 programmes, Twitter apparaît comme l’une des trois variables significatives susceptibles d’influencer l’audience des émissions TV. Les deux autres variables étant les audiences de l’année précédente et le niveau du budget publicitaire. En clair, l’augmentation du nombre de tweets autour d’une émission provoque une hausse de l’audience TV. Une relation de cause à effet que Nielsen a quantifié : chez les 18/24 ans, une hausse de 8,5% du volume de tweets se traduit par une augmentation de l’audience de 1%. chez les 35/49 ans, c’est une hausse de 14% du volume des tweets qui entraîne une augmentation de 1% de l’audience. L’analyse américaine tend à démontrer que les 18/24 ont un impact sur l’audience plus rapide aussi bien pour les débuts de saison que pour les épisodes intermédiaires. @plechevallier

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