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Comment les médias contrôlent nos pensées

Comment les médias contrôlent nos pensées
Savez vous qu'actuellement, et ce, depuis plus de deux semaines, une vague de protestations sans précédent depuis quarante ans secoue les Etats-Unis, dans le Wisconsin ? Certainement pas, et cela, car l'information que vous recevez est partiale, triée, et vous dicte ce sur quoi vous devez réfléchir. Il ne faut pas se voiler la face, les médias n'ont pas pour but la diffusion d'informations, ils ne sont pas dirigés par des philantropes, leur raison d'exister est "faire du profit". Les médias sont des entreprises, qui, pour faire du profit, utilisent le crédo de la diffusion de l'information. Ainsi, les médias sont, pour la grande majorité, des entreprises privées, gérées par des actionnaires privés et par des élites ayant des intérêts à ce que le système capitaliste, avec les injustices qu'il crée et qui leur sont tant favorables, soit imprimé, toujours plus, dans la volonté collective. Non, tout est plus furtif, complexe et sophistiqué. Comment ça marche ? Jumelles disparues : 349 articles

Edward Bernays Edward Bernays en 1917. Œuvres principales Il est considéré comme le père de la propagande politique et d'entreprise, ainsi que de l'industrie des relations publiques, qui ont fortement contribué à développer le consumérisme américain. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Edward Bernays naît à Vienne en 1891. Il est à deux titres le neveu du psychanalyste Sigmund Freud[3],[4], neveu germain et neveu par alliance[5],[6] : son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l'épouse de Freud,sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud[7]. Il a publié en 1965 son autobiographie[8]. Son grand-oncle, le philologue Jacob Bernays, fut « le premier juif pratiquant à être nommé sur un poste proprement universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle »[9]. Il a été marié à l'écrivaine et activiste féministe Doris E. Il est le grand-oncle paternel de Marc Randolph (né en 1958), le cofondateur et premier PDG de Netflix[10]. — E.

Propaganda : Comment manipuler l'opinion en démocratie Vous avez ici gratuitement accès au contenu des livres publiés par Zones. Nous espérons que ces lybers vous donneront envie d’acheter nos livres, disponibles dans toutes les bonnes librairies. Car c’est la vente de livres qui permet de rémunérer l’auteur, l’éditeur et le libraire, et… de vous proposer de nouveaux lybers… et de nouveaux livres. Ouvrage initialement paru sous le titre Propaganda aux éditions H. Liveright, New York, en 1928 et réédité chez Ig publishing en 2004. © Edward Bernays, 1928. © Pour la traduction française, Zones / Éditions La Découverte, Paris, 2007. Par Normand Baillargeon « La propagande est à la démocratie ce que la violence est à un État totalitaire. » Noam Chomsky. Après avoir exposé les fondements, en particulier politiques et psychosociaux, de la pratique des relations publiques qu'il préconise (chapitres 1 à 4), Bernays entreprend de donner des exemples concrets de tâches qu'elles peuvent accomplir ou ont déjà accomplies. Edward L. Que faire, alors ? « 1.

La manipulation de l'opinion en démocratie Comment manipuler l'opinion en démocratie? "Edward Bernays"Edward Bernays (1891-1995) fut l’un des pères fondateurs des «relations publiques» aux États-Unis. Conseiller pour de grandes compagnies américaines, dont GE, Procter Gamble et l’American Tobacco Company, Bernays a mis au point les techniques publicitaires modernes." "Comment imposer une nouvelle marque de lessive ? Comment faire élire un président ? Un document édifiant où l’on apprend que la propagande politique moderne n’est pas née dans les régimes totalitaires, mais au cœur même de la démocratie libérale américaine. Comment se réapproprier démocratiquement l'information ? S’interroger sur les rapports entre médias et pouvoir(s), entre presse et idéologie dominante, entre discours journalistique et discours économico-politique ambiant demande, avant toute chose, de remettre les pendules à l’heure et de battre en brèche certaines opinions trop reçues, qui font obstacle au débat plus qu’elles ne l’alimentent. Cette mise au point pourrait commencer en épinglant trois phénomènes emblématiques. Trois phénomènes emblématiques Soit, d’abord, le phénomène Berlusconi, qui représente, en Europe, le laboratoire du cauchemar politico-médiatique qui s’annonce : celui d’un gouvernement gérant l’État comme s’il s’agissait d’une entreprise et celui d’un chef de gouvernement qui est en même temps patron d’un important groupe médiatique. Le deuxième phénomène est celui de la prise de contrôle grandissante, sur le champ des médias, de grands groupes industriels - certains, en France notamment, spécialisés dans l’armement : songeons à Lagardère et à Dassault. Six pistes

Edward Bernays : la fabrique du consentement ou comment passer du citoyen au consommateur Edward Bernays est né en 1891 à Vienne et il est mort en 1995 à Boston. 103 années d’une vie fructueuse. Une vie consacrée à l’une des tâches majeures de notre siècle : celle qui consista à pervertir les democraties pour faire plier les volontés des masses aux desseins des élites, en toute non-violence. Edward Bernays était le neveu de sigmund Freud et il a su exploiter les avancées apportées par son oncle, ainsi que le rayonnement scientifique de ce dernier dans le domaine de la connaissance de l’irrationnalité, à des fins économiques idéologiques et politiques. Sa discrétion dans notre paysage culturel actuel est inversement proportionnelle à l’ampleur de sa tâche. Même dans les agences de pub ou dans les services de relations publiques, son nom est presque inconnu, tout du moins en France. Au début du siècle, étudiant en agriculture, fils d’un marchand de grains très prospère, Bernays s’ennuie et décide de se lancer dans le journalisme. Pourquoi les relations publiques ? Sources :

Dommages Collatéraux : la face cachée d’un terrorisme d’État Lors des guerres menées par les États-Unis depuis la chute du mur de Berlin au nom d’une certaine idée de leur puissance, est apparue une notion, celle de « dommages collatéraux », qui a été utilisée par les organes des relations publiques du Pentagone pour justifier et faire accepter aux opinions occidentales des actes de guerre provocant des victimes civiles. Ces dommages collatéraux ne seraient pas souhaités par la puissance militaire qui déplore ces tragiques erreurs, fruits de renseignements erronés ou d’une technologie défaillante. Or, a y regarder de plus près, on s’aperçoit que la plupart de ces actes de guerre ayant détruit la vie de milliers de civils en Afghanistan, en Irak, en Libye ces dernières années [1], ne sont pas des erreurs, des dommages collatéraux d’une entreprise militaire qui ne prendrait pour cible que des soldats en uniforme appartenant à la partie adverse, mais bien des actes délibérés visant à tuer des femmes, des enfants et des hommes sans défense.

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