background preloader

Lignes de fuite

Lignes de fuite

l'homme sans réseaux Silent Movies les pas perdus « Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Éternité. C’est la mer allée. Avec le soleil. » Rimbaud « Les lourdes voitures massives, espèces de carrosses à la Louis XIV, dorés et agrémentés par le caprice oriental, d’où jaillissent quelquefois des regards curieusement féminins, dans le strict intervalle que laissent aux yeux les bandes de mousseline collées sur le visage ; les danses frénétiques des baladins du troisième sexe (jamais l’expression de Balzac ne fut plus applicable que dans le cas présent, car, sous la palpitation de ces lueurs tremblantes, sous l’agitation de ces amples vêtements, sous cet ardent maquillage des joues, des yeux et des sourcils, dans ces gestes hystériques et convulsif, dans ces longues chevelures flottant sur les reins, il vous serait difficile, pour ne pas dire impossible, de deviner la virilité). » Baudelaire Lire la suite →

A Noise Within will move to Pasadena The former Masonic Temple in downtown Glendale is an old, decrepit and some say haunted building -- a venue perhaps more suited to Hollywood horror flicks than the plays of Shakespeare, Beckett or Molière. For nearly 17 years, the nine-story structure on Brand Boulevard has served as home to the classical theater company A Noise Within. And for most of that time, the building has lived up to its horror-movie image: Electrical blackouts, mysterious drifters and dead birds in the attic are just some of the problems that have plagued the critically acclaimed theater company during its residency. After years of looking for a more hospitable location -- and one that could accommodate its growing audience -- A Noise Within says it has secured half of the $16 million needed to build a new space in East Pasadena. A Noise Within will construct a three-floor facility at the west end of the mixed-use complex. Feud with City Council "When we came back, it was a different climate. david.ng@latimes.com

Pessan Eric Extrait d’un travail en cours dont le titre pourrait être "Nous, les héros". A partir de la photographie "Disparition" de SR. le 5 décembre 2013, Eric Pessan recevait Gérard Azoulay (astrophysicien) et Laure Limongi (auteur, éditrice) pour évoquer la revue de l’Observatoire de l’Espace Note de lecture du roman d’Eric Pessan, par Benoît Vincent Sidération, festival 2013 des imaginaires spatiaux, du 22 au 24 mars, Paris. lectures du 16 juin 2012, à voir et écouter Salutations à un nouvel éditeur et à ses deux premières parutions : Marie Chartres, Eric Pessan. Que peut le langage face à la mort ? rencontre du 6 janvier 2012 avec Christophe Fourvel, écrivain, Natalie Lamotte, plasticienne, François Grosso et Renaud Buénerd, éditeurs rencontre avec Philippe Forest et José Morel Cinq-Mars, animée par Eric Pessan Fragments de journal de visite du camp de Buchenwald le garçon est seul, ses parents ne sont plus là, Mise en espace d’un texte d’Eric Pessan à Théâtre Ouvert. portrait de l’écrivain en Don Juan

«Je ne vois pas d’opposition entre art et histoire» Une masse noire, des mains d’étrangleur, une voix épaisse et une attitude de bon vivant, le prix Turner 1999, la caméra d’or 2008 : l’artiste anglais le plus en vue est inattendu et imposant, à l’image de son film. Quelle distinction faites-vous entre vos œuvres sur pellicule et ce film ? La même séparation que l’on fait entre un poème et un roman. Ils utilisent tous les deux des mots, mais l’un se déploie dans la narration, quand l’autre condense une idée. Ici, vous n’êtes plus seulement dans la narration, mais aussi dans l’histoire contemporaine… Je pense que j’avais besoin, alors qu’on me donnait l’opportunité de réaliser un premier film narratif, de me raccrocher à quelque chose qui avait existé, à des faits, à une expérience humaine et peut-être plus encore à la présence physique de cette expérience humaine. Dans ce mélange de pisse et de merde étalé sur les murs de la cellule, on pense, plus encore qu’à vos propres travaux, à ceux de l’artiste américain Mike Kelley… Non. Jamais.

Mon Nuage - Page d'accueil La vitesse et ses limites La vitesse et ses limites traite de la place prépondérante qu’occupe la vitesse dans la vie moderne, dans les domaines de l’art, l’architecture, l’urbanisme, en passant par celui des arts graphiques, de l’économie et de la culture matérielle de l’ère industrielle et de celle de l’information. Elle souligne le centième anniversaire du futurisme italien, mouvement à qui l’on doit la célèbre déclaration parue dans son manifeste inaugural : « La splendeur du monde s’est enrichie d’une beauté nouvelle : la beauté de la vitesse. » Couvrant la période de 1900 à nos jours, l’exposition explore la toute-puissance et les limites du culte de la vitesse pratiqué à l’ère moderne. Plus de 240 objets, livres, photographies, affiches publicitaires, dessins d’architecture, publications et vidéos, illustrent le discours sur la vitesse et reflètent à diverses échelles, l’apologie de la vitesse et la dénonciation implicite de l’action délétère de la rapidité sur la vie contemporaine. Jeffrey T.

L'oeil bande Eva Hesse, Studiowork, Fruitmarket gallery, Edinburgh | Art review | Culture | The Observer Of the many shows that make this a golden year for contemporary art at the Edinburgh festival, one stands out as momentous: 50 sculptures, some never shown in public before, by American artist Eva Hesse (Studiowork, Fruitmarket Gallery, until 25 October). When the New York Times famously announced that Hesse was "at the outset of a brilliant career" in 1970, its prediction was shockingly mistaken. Not because she had already established herself as a great sculptor by the age of 34, but because she had recently died of cancer. This anecdote is bitter proof for those who still insist upon Hesse as the Sylvia Plath of art: a refugee from the Nazis, her mother a suicide, her marriage ending in desertion just before the tumour was discovered. What looks like a sleeve of corrugated bone holds a glowing light within it, an inviting, red-gold interior into which one might imagine crawling, all achieved with nothing but latex-dipped cheesecloth and light.

ETC-ISTE

Related: