background preloader

Bioplastique

Bioplastique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme bioplastiques désigne des matériaux de deux types. Il s'agit d'une part de matières plastiques agrosourcés, ou agroplastiques, issus de ressources renouvelables, telles que le maïs, la patate douce, le blé, la canne à sucre ou l’huile de ricin, et d'autre part de plastiques biodégradables, y compris issus de réactions pétrochimiques. Les agroplastiques ne sont pas forcément biodégradables au sens de la norme internationale. Les bioplastiques sont des polymères. À l'inverse, il y a des bioplastiques d'origine pétrochimique telle que la Poly(e-caprolactone) qui sont biodégradables. D'autres plastiques sont dits dégradables (ou oxo-dégradables) grâce à des charges métalliques qui vont casser la structure moléculaire de la matière en particule invisible à l’œil nu,afin de le rendre potentiellement biodégradables. Histoire des bioplastiques[modifier | modifier le code] Les bioplastiques sont caractérisés par le fait que : et/ou Related:  Les bioplastiquesChimie "verte"

Les enjeux La canne à énergie est en croissance spectaculaire sur la planète, pour la production d’électricité et d’éthanol carburant. Il faut dire que la canne a de nombreux avantages. Elle est une des cultures les plus « propres » du monde. Sa rentabilité énergétique est très supérieure à celle des plantes de climat tempéré, comme le maïs ou le blé, pouvant aussi être cultivés pour l’éthanol. De plus, produire de l’énergie à la place du sucre ne compromet pas la couverture mondiale des besoins alimentaires de base. Le Brésil, pionnier de la filière bioéthanolL’éthanol carburant, ou bioéthanol, peut être produit à partir de nombreuses cultures, comme le blé, le maïs ou la canne à sucre. Vers des carburants de deuxième générationLe bioéthanol n’aurait pas que des avantages… Exemples : sa combustion présenterait des risques pour l’environnement et pour la santé, et sa production à grande échelle impliquerait d’importantes surfaces agricoles.

Student's Corner download PDF (The characters Achilles and the Tortoise are taken from Douglas Hofstadter's Goedel, Escher, Back: an Eternal Golden Braid.) Achilles (a Greek warrior, fleetest of foot of all mortals) comes across a Tortoise in a forest. Achilles: Good afternoon, Tortoise. Tortoise: I am finished with this plastic packaging, so I am returning it to the earth. Achilles: But all you are doing is hitting it with a hammer. Tortoise: Actually, if you must know, I am degrading it. Achilles: Degrading it? Tortoise: No, no. Achilles: Yes… Tortoise: Well, biodegrading is just one kind of degrading, you know. Achilles: Now wait, but that's hardly the same thing. Tortoise: Why? Achilles: You'll never do it with a hammer. Tortoise: Well, I could use a grinder of some sort. Achilles: That wouldn't… look. Tortoise: Aha, well now I've got you! Achilles: Something you can add now? Tortoise: No, no. Achilles: OK. Achilles: You wouldn't even have to hit it with a hammer? Tortoise: No! Achilles: Oxydolic-degradation?

Biocarburant Ceux qui sont produits par la filière agricole sont désignés sous le vocable d'agrocarburant. Actuellement, deux filières principales coexistent : D'autres formes moins développées, voire simplement au stade de la recherche, existent aussi : carburant gazeux (biogaz, biométhane, dihydrogène), voire carburant solide (gazogène), etc. La production mondiale d'agrocarburants s'élève à 4 113 PJ en 2019, en progression de 56 % par rapport à 2010. Les principaux pays producteurs sont les États-Unis (37,9 % du total mondial), le Brésil (24,1 %) et l'Indonésie (6,7 %). La consommation mondiale de biocarburants a atteint 58,8 Mtep en 2011 (41,6 Mtep de bioéthanol et 17,2 Mtep de biodiesel), soit 3,1 % de la consommation mondiale des transports routiers. En Europe[2], depuis juillet 2011, pour être certifié « durable » un biocarburant doit répondre à des « normes de durabilité »[3], à travers sept mécanismes ou initiatives[4]. Dénomination[modifier | modifier le code] Jatropha curcas.

Bioplastiques Un article de Encyclo-ecolo.com. (Redirigé depuis Bioplastique) Les bioplastiques Les bioplastiques se développent depuis une quinzaine d’années. Précurseurs de la grande famille des plastiques végétaux, ils se distinguent par leur biodégradabilité et leur compostabilité et représentent une solution sérieuse aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux de notre époque. Un bioplastique, qu'est-ce que c'est ? Un bioplastique est un produit renouvelable. Un produit biodégradable et compostable : La biodégradabilité est une notion bien précise, définie par la norme NF EN 13432 pour les emballages et NF U 52 001 pour les plastiques de paillage à usage agricole. Le phénomène "tout Plastique" Un français rejette en moyenne une demi tonne de déchets par an et nous utilisons 500 à 1000 milliards de sacs en plastique par an dans le monde. Le plastique envahit la planète comme le montre les chiffres du Planetoscope. VIDEO : le bioplastique, c'est fantastique Un Bioplastique ?

Chimie verte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La chimie verte, appelée aussi chimie durable ou chimie écologique, prévoit la mise en œuvre de principes pour réduire et éliminer l'usage ou la génération de substances néfastes pour l'environnement, par de nouveaux procédés chimiques et des voies de synthèses « propres », c'est-à-dire respectueuses de l'environnement : désormais, le développement de la chimie industrielle, issu des dérivés hydrocarburés selon un paradigme hérité du XXe siècle, doit intégrer les objectifs que la gouvernance environnementale a identifié dans ses aspects économiques et de préservation de la santé humaine (pathologies en croissance[1] : autisme, maladie d'Alzheimer, cancer, diabètes). Un de ces enjeux consiste à juguler la production massive de neurotoxiques cancérogènes tels le bisphénol A, le phosgène (polycarbonates et polyuréthanes), ou les perturbateurs endocriniens. Généralités et historique[modifier | modifier le code] Laura Maxim, La chimie durable.

Canne à sucre : homologation du 1er plastique biodégradable > Biocarburants, biomasse La certification "biodégradable dans l'eau" (OK Biodegradable Water) a été accordée au bioplastique de l'entreprise italienne Bio-ON pour son premier et unique polymère fabriqué à partir de sous-produits de canne à sucre. Cette reconnaissance majeure a été attribuée par l'organisation Vinçotte, l'une des autorités de certification les plus reconnues au monde, confirmant la biodégradabilité totale du polymère dans l'eau et à température ambiante. Ce nouveau plastique peut être utilisé pour la fabrication d'une gamme complète d'objets flexibles et rigides. Il pourra également remplacer des produits d'utilisation quotidienne hautement polluants fabriqués à base de pétrole, tels le PET, PP, PS, HDPE, LDPE et PE, utilisés pour la fabrication de bouteilles, d'emballages alimentaires, de pièces détachées, de meubles, de fibres, de film d'emballage et de produits électroniques. Bio on est une entreprise italienne qui développe de nouveaux matériaux dans le secteur des biotechnologies modernes.

Q&A: Can I make waterproof bioplastic? Recently we have received a number of comments asking us how people can make their own home-made bioplastics that are waterproof (or at least, water-resistant). Everyone has seen that there are waterproof biodegradable products out in the world. There are bioplastic coffee cups, there are bioplastic bowls, and there are bioplastic soup spoons. There are even bioplastic wrappers that (one imagines) must be at least a little water resistant to work properly. So you think to yourself: "How can I do this at home?" Unfortunately, although it is not impossible, the answer is not as easy as you might think. Let's start by looking at the basic chemical properties of bioplastic, and why the question of waterproofing is difficult. Some biopolymers are intrinsically more water-resistant, and the most well-known example of this is polylactic acid (PLA). Polyhydroxyalkanoates (PHA's) are another naturally produced material, created by microorganisms. Happy experimenting!

Carburants de synthèse, biocarburants, kérosène vert… De quoi parle-t-on exactement ? Ces dernières années, de nouveaux types de carburants (« renouvelables », « verts » ou « alternatifs ») ont fait leur apparition, certains promettant un plus grand respect de l’environnement. Ces produits ont-ils vraiment différents des carburants traditionnels issus du pétrole ? Et est-il correct d’affirmer qu’un carburant est « vert » ? Dans tous les cas, on parle ici d’une seule et même chose : des carburants liquides utilisés pour le transport. Disons-le de suite, le terme « vert » doit nous inviter à la plus grande prudence. Les carburants liquides de transport Un carburant liquide fait référence à une matière composée de molécules combustibles ou génératrices d’énergie pouvant être exploitées pour créer de l’énergie mécanique. La plupart des carburants liquides largement utilisés dans le monde sont dérivés de combustibles fossiles – le plus souvent du pétrole (à plus de 80 %) mais aussi du gaz naturel ou du charbon. Les carburants de synthèse Les e-carburants Le cas du kérosène

Recyclage du plastique Le recyclage du plastique est plus compliqué : les emballages plastiques sont traités selon deux processus, en fonction des contraintes économiques et environnementales. Le recyclage de la matière première pour les bouteilles et flacons et la valorisation énergétique pour le reste. Le problème de l'incinération des plastiques, produits à base d'hydrocarbures fossiles, est l'émission de CO2 et de fumées polluantes qui doivent à leur tour faire l'objet d'un retraitement. En ce qui concerne le recyclage, il y a deux types de plastique : les PET, pour Polyéthylène Téréphtalate, c'est-à-dire les plastiques transparents et les PEHD, pour Polyéthylène Haute Densité, généralement opaques. Une tonne de PET recyclé représente 0,61 tonne de pétrole brut et 0,2 tonne de gaz naturel et 10,96 MWh soit 2,29 tonnes d'équivalent CO2 évitées. Pour le PEHD, cela représente 0,51 tonne de pétrole brut et 0,31 tonne de gaz naturel et 7,98 MWh soit 1,53 tonne d'équivalent CO2 évitée.

Un bioplastique de seconde génération à base... - Agroalimentaire 100 % naturel , le Biomiscanthus est un nouveau bioplastique de seconde génération qui s’émancipe de la controverse liée à l’utilisation des ressources agricoles. Plante vivace appelée communément roseau de chine, le Miscanthus Giganteus est utilisé le plus souvent comme moyen de dépollution en phytorestauration. Au lieu de se limiter à cet aspect, une entreprise française, Biomiscanthus France Holding, a eu l’idée de se servir de cette plante pour la fabrication de bioplastique. Conforme à la norme EN 13432, ce produit est biodégradable et compostable. De part ces avantages, Biomiscanthus France espère développer rapidement ces activités et répondre le plus possible aux demandes d’un marché, estimé à 700 professionnels. Clément Cygler Pour en savoir plus : Presse à injection transformant les granulés de miscanthus en divers produits

Biopolymère, PHA, emballage complexe laminé, papier, carton, marché I - Introduction Ces dernières années ont vu naître un certain engouement pour les biomatériaux en général et pour les biopolymères en particulier. L'augmentation du prix du pétrole n’a fait qu’accentuer cette tendance. Les biopolymères sont-ils réellement utilisés dans le domaine des emballages papiers complexes et laminés ? Après un état de l’art sur les biopolymères et leurs applications possibles, le marché des biopolymères et celui des gobelets en carton couchés avec des biopolymères seront étudiés [Figure 1]. II - Définition des biopolymères Faisons le point sur ce que nous appellons "biopolymère", un mot aujourd'hui utilisé comme un terme générique. II-1 - Définition On dénombre cinq types différents de biopolymères que l’on peut regrouper en trois classes [1] [Figure 2] : Polymères de synthèse : ce sont des polymères d’origine fossile. II-2 - Des plastiques aux biopolymères L’apparition de ce nouveau concept est liée à une prise de conscience économique et environnementale.

Related: